Freedom is not the truth

Lorelynn est une jeune fille fougueuse. Ceci est bien représenté de par sa crinière feu, symbole de son côté sauvage. C’est une jeune fille qui n’a pas toujours été ainsi, mais aujourd’hui c’est une vraie lionne, une féline indomptable qui ne laissera jamais marcher sur les pieds… Je vous déconseille d’essayer en tout cas, à moins que vous vouliez qu’elle vous remette à votre place et vous refasse le portrait. Cela serait dommage de se retrouver avec un nez cassé ! Malgré son tempérament dur, elle peut se montrer sociable et a beaucoup d’humour quand il faut.

Nouer des relations n’est pas tellement un soucis pour elle, mais s’en défaire non plus. Elle ne s’attache pas assez aux autres pour pouvoir les garder, sauf cas exceptionnels. Sa liberté passe avant, et elle ne veut pas être un poids pour les autres et préfère rester indépendante tantôt que de devoir trop de choses à une personne sans jamais pouvoir lui rendre. Par ailleurs, elle reste assez perspicace et arrive à voir les cicatrices que les autres ne perçoivent pas forcément. C’est un esprit libre, une amie d’un soir, une bougie qui s’éteint rapidement lorsqu’on souffle trop fort dessus.

De plus, la demoiselle dit toujours ce qu’elle pense. Des fois cela peut lui apporter des ennuies, et dans ce cas là, elle restera toujours sur ses idées, têtue comme une mule ainsi qu’assez rancunière.

La jeune fille possède une peau douce, claire, et qui marque assez vite. De plus, elle ne prend pas forcément énormément soin de son physique. Elle n’a pas forcément les moyens de “se peindre” le visage comme elle disait. Alors elle garde ses yeux bleus et sa crinière rousse comme tels et s’assume complètement ou presquedu haut de ses un mètre soixante-deux. Pour ce qui est de son style vestimentaire, la jeune fille aime porter des vêtements assez voyants, sa couleur préférée étant le rouge. Elle aime porter des vêtements simples pourtant, mais tape à l’oeil. On peut aussi la remarquer facilement de par un cache oeil noir qui recouvre son oeil. Que se cache-t-il derrière cela ? Il faudra lire son histoire pour le découvrir !

Plus loin, perdue au fin fond d’un désert vert vivait la famille Hills dans un petit village. Une famille irlandaise qui était restée là malgré les années, la famine, et qui avait vaincu les aléas du temps. Ils étaient quatre, Jane, Uster, Yoric, Lorelynn et Yoric. Les deux enfants de la famille furent toujours entourés de quelques enfants, car dans leur petit village il y avait quelques autres grandes familles qui étaient restées malgré les difficultés économiques. Lorelynn et le petit Yoric étaient heureux, passaient leurs temps à jouer dans les gens après les cours. Leur mère était mère au foyer, tandis que son père travaillait en semaine dans une grande entreprise. La vie semblait si paradisiaque loin de la vie citadine....

À ses dix-sept ans, vu les difficultés économiques que la famille Hills connaissait, il fallait déménager, quitter ce brin de Paradis, ce jardin d’Eden. La famille devait se rendre dans un endroit urbain pour trouver de l’emploi pour la mère, car le seul revenu d’Uster ne subvenait plus à leurs besoins. Les milieux ruraux sont souvent défavorisés de par les inégalités qu’ils connaissent à cause d’un manque d’urbanisation. Cette famille qui était restée depuis plusieurs siècles devait à présent s’en aller. Lorelynn semblait triste, et déçue. La vie qu’elle s’était créée dans ce village était tout ce qu’elle avait. Ce lieu rempli d’une nature verdoyante allez la quittée. Elle comprenait les raisons de ce départ, mais était tellement attachée à son territoire, sa culture, ses coutumes, qu’au final, elle savait que ce dépaysement allait être un choc émotionnel fort à surmonter. C’était encore une fille sage, douce et tout à fait accueillante.

À son arrivée en Angleterre, la donne était différente. Ils habitaient dans un milieu urbain rempli de bâtisses grisantes. La pollution battait son comble et les gens étaient malpolis, parlaient mal et semblaient totalement désintéressés les uns des autres. Voilà le monde urbain individualiste… Malgré le fait que tout le monde se regroupe dans un même lieu, les gens sont centrés dans leurs coins et ne s’ouvrent pas aux autres. La première personne à en souffrir était Lorelynn qui arriva au lycée de Manchester. Celle-ci était rejetée de par ses nouveaux camarades. Ceux-ci la dévisageaient sans cesse, ricanaient dans son dos, et surtout ne se bougeaient aucunement pour l’intégrer aux autres. Son accent de plus n’était pas un atout. Les jeunes faisaient semblant de ne pas comprendre ce qu’elle disait et s’en jouait. Ils lui jouaient de mauvais tours en lui indiquant de fausses indications. Dans tout ça, elle se sentait perdue, légèrement sensible elle s’accrochait à des photos, des souvenirs qu’elle avait de son pays, mais rien ne rattrapait les choses. C’était de pire en pire… Sa famille ne faisait pas attention, ils se sentaient bien, appréciaient ce nouvel environnement et ne percevaient même pas le chagrin de la fille qui commençait à s’enfoncer dans un mal du pays.

Elle prit ses cliques et ses claques, et sans regret jeta ses clés dans une poubelle afin de ne plus jamais retourner ici. Avec un minimum d’argent elle décida de s’affirmer et prit la direction du grand Londres. La capitale était mieux fréquentée à ce qu’il parait, du moins les gens seraient peut-être plus accueillants, et au final, c’était la seule solution qu’elle avait trouvée. Elle prit un transport, le bus, et avec ses affaires, partit pour la grande ville. Quand elle fut arrivée, les difficultés commencèrent à arriver… Elle avait dix-huit ans, et pouvait se débrouiller seule, du moins c’est ce qu’elle croyait. L’Irlandaise n’arrivait pas à se trouver un toit, avait du mal à s’alimenter, fouillait dans les poubelles, et se laver dans des fontaines. Elle commençait à regretter, mais le temps des fleurs était terminé. La jeune fille se sentait mal dans son corps, et plus personne ne la regardait, il faisait froid dehors, et l’idée de se faire aider par un soutien, elle ne l’accepterait pas. Alors, Lorelynn continuait d’errer, sans maison sans foyer, faisant la manche pour se ravitailler.

Un soir, alors qu’elle se gelait sur le trottoir, un homme un peu trop bourré l’interpella. On aurait dit un pouilleux. Celui-ci s’approcha de la jeune fille qui n’arrivait pas à dormir. À la fois apeurée et curieuse de ce qu’il lui voulait, elle l’écouta déballer des mots. Il réclamait de l’argent, mais pas que… Ce type tentait une approche tactile. Lorelynn commençait à se débattre comme elle pouvait, affaiblie par le froid et la famine. Il sortit un couteau et enivré par l’alcool s’énerva. Contrôlant mal ses gestes il coupa une partie du visage de la demoiselle et lui creva l’oeil. C’est alors qu’après avoir compris sa bêtise en entendant le cri de la jeune fille qu’il se mit à s’enfuir en titubant. La douleur était horrible, et son sang s’écoulait de partout sur elle. Ne sachant pas quoi faire elle s’approcha de la voix automobile en faisant des gestes pour recevoir de l’aide.

La jeune demoiselle ne se réveilla que le lendemain, borgne, sans aucune affaire, sans aucun souvenir à l’hôpital. Depuis ce jour, elle a compris que dormir dehors n’était pas la solution. Elle prit la décision d'errer dans des maisons, de se faire héberger, mais jamais trop longtemps pour ne pas devoir quoi que se soit et ne pas s’attacher. De plus, son caractère s’endurcit avec le temps. Aujourd’hui c’est devenu une jeune fille au caractère sanguin, forte, une vraie battante qui ne se laisse plus faire. Mais d’un autre côté, elle boit, fume, et à déjà consommé diverses drogues pour tenir le coup… Lorelynn vit dès à présent dans un logement social et tente de rester chez des inconnus ou des proches, mais reste encore indépendante.

Vie quotidienne : Seule, la rouquine est toujours turbulente, mais elle serait plus calme qu’avec plusieurs personnes. Elle ne pourrait pas s’empêcher d’observer les autres, et n’apprécie cependant pas la solitude, bien qu’elle finit toujours seule volontairement ne voulant pas être un poids pour les autres. Lorelynn fait souvent de grands gestes et se fait facilement remarquée. C’est un peu volontaire, mais pas autant qu’elle émet.

En groupe, cela dépend avec qui elle est. Si c’est une personne qu’elle n’apprécie pas, elle risque de s’énerver et de devenir légèrement violente. Mais si elle se trouve avec des personnes qu’elle apprécie, elle se montrera plus clémente et docile, bien que sanguine.
Aime : L’alcool, la cigarette, la nuit, le rouge, l’Irlande et tout ce qui s’y rapporte, la chaleur, dépenser de l’énergie
N’aime pas : Les égoïstes, les orgueilleux, les personnes vénales, sa famille, la paperasse, les odeurs fortes

Pseudo • Jude (20 ans) Comment nous as-tu trouvé ? • Grâce à un top site ! Un petit message pour nous ? • Le côté graphique du forum est vraiment très attractif, de plus je ne suis pas du genre à jouer un prédéfini, mais je n’ai pas pu résister… Et la formule magique, c'esssssttt ? •

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