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La harpe tremble encore et la flûte soupire, Car la valse bondit dans son sphérique empire, Des couples passagers éblouissent les yeux, Volent entrelacés en cercles gracieux.

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Mar 22 Déc - 18:49


❦ CORDELL ALHÉNA AUVA ❦


Nom ❧ CORDELL
Prénoms ❧ Auva Alhéna.
Âge ❧ Seize Printemps.
Sexe ❧ Hermaphrodite. Officiellement, un garçon.
Nationalité ❧ Irlandaise.
Orientation sexuelle ❧ Asexué.
Situation amoureuse ∠ Amou- ? Quéquecc'techose ?
Groupe ❧ Stagiaires.
Métier ❧ Apprenti en Facture Instrumentale (spécialisé dans les Harpes).
Option(s) ❧ Latin ; Anglais ; Histoire.
Avatar ❧ Scheherazade de Magi ! ❤



« You see me but you don't know me »




Une mélodie indistincte. Quelques cordes qui résonnent élégamment, dans la pénombre des soirées hivernales. Le murmure d'un chant inaudible. Les bribes d'une voix qui explose, à la fenêtre d'une enseigne éteinte. Délicate. Légère comme un susurre. Sinueuse comme les bourrasques qui emportent vos cheveux et caressent votre peau. Elle réveille des frissons insidieux à votre échine, brisant cette barrière d'indifférence que la société inscrit sur les visages.
Et, sans conscience de vos tourments, l'enfant aux traits enjolivés par les lumières tamisées poursuit son jeu insipide. Ses phalanges trouvent les cordes avec facilité et pincent. Les sons qui s'ensuivent s'apparentent à une berceuse qui pénètre les cœurs et les corps. Sa voix, toujours mesurée, esquisse de nouvelles paroles dans une langue incompréhensible, hormis pour ceux qui préférèrent le latin aux autres dialectes.

Par curiosité, sûrement, vos jambes lourdes s'insinuent jusqu'à la baie vitrée qui découvrent des instruments entreposés. Des harpes, principalement. Quelques guitares, également. Les géantes triangulaires dessinent des ombres sinueuses sur les murs recouverts de tableaux peints avec soin.
Vous saisissez, à cet instant, que la passion dévore ce petit être aux penchants musicaux. Peut-être à cause de ce sourire qui étire ses lèvres délicates. Un éclat sincère et doux, uniquement adressé à ce moment paisible. Vos iris embrassent la pièce spacieuse où les flocons de poussière s'envolent pour former un halo lumineux autour de sa frêle silhouette. Elle est petite. Chétive. Visiblement touchée par une vulnérabilité qui n'accentue que davantage la beauté ensorcelante de son jeu bienheureux. Parce qu'à la tendresse qui naît dans ses prunelles verdâtres, il est aisé de comprendre que son bonheur n'est plus à faire, et que sa vie trouve son but dans la réalisation de ces œuvres magnifiques. Définitivement, Alhéna est de ceux qui, avec l'innocence des bambins juste nés, répandent les sourires sur les lèvres.

Vous reculez à-demi, sans quitter des yeux les filaments dorés de ses cheveux. Ils sont étonnamment longs. Étrangement ondulés, en s'éparpillant sur ses reins dissimulés. Ils tombent si bas qu'il est facile de s'imaginer qu'ils s'animent à chacun de ses mouvements et qu'ils accueillent une auréole à leur sommet. Que son sourire s'évanouisse est improbable. Autant que d'entendre des grossièretés effleurer ses lèvres fines. Non, cette pureté qu'inspire son toxique mètre soixante-trois ne peut supporter d'être entachée de souillures communes aux vivants qui croisent son chemin. La haine est une inconnue. La colère n'est qu'une moue désapprobatrice qui fêle ses joues rondes, sans atteindre ses billes aux nuances des aiguilles de pin.
Non, n'existe sur ce visage mutin que l'émerveillement de découvrir que l'hiver a apporté son manteau immaculé dans son sillage. Ne subsiste que la gentillesse et les sourires accordés aux passants.

Et, à mesure que le vent vous chasse, vous ne pouvez vous empêcher de vous dire que sa vie a dû être simple. Que son sourire trahit l'existence d'une famille heureuse qui enlace l'adolescente au sein d'un cocon protecteur où la malice est synonyme de bonne santé.
Vous n'avez pas idée d'à quel point votre raisonnement est vrai.
Vous dépassez une porte où une enseigne dorée est joliment accrochée, en plus d'être décorée de quelques branches malades d'une plante dont le nom vous échappe, vous lisez Cordell et fils. Dans votre crâne, les codes se bousculent. Vos billes cherchent à nouveau. Fils. Fils… Un vague sourire flotte sur vos lèvres. Vous avez été dupé. Comme tous, finalement. Parce que ses traits ressemblent à ceux d'une fillette. Parce qu'il porte sa crinière aussi longue et soyeuse que celles des gamines maquillées. Parce que lui-même se refuse à dire qu’il est mâle plutôt que femelle.

Malgré sa condition hermaphrodite, Auva est clairement un garçon dans ses formes extérieures, en dessous de la ceinture, malgré ses traits androgynes. L'élément principal de sa féminité est interne - c'est-à-dire un utérus entier. S'il n'a aucune poitrine, l'aspect imberbe de son visage - PAS DE BARBE YOUHOUU - est dû à ses hormones mâles et femelles qui s'inhibent les unes les autres.





« Every life begins with a breath »




Alhéna n'est qu'une succession d'évènements incomplets. Des décisions prises à la hâte. De mesures drastiques, avec l'idée de lutter contre un ennemi invisible. De déceptions ; et même de nombreuses joies.


Belle, tu es si belle…


« Félicitations, c’est un beau garçon. »

Comme tous les enfants - même Jésus, c’est dire - Auva est arrivé de la manière la plus naturelle qui soit. Durant une nuit de mars, surtout. Et, comme tous ses prédécesseurs, Auva est dignement reçu d’une... fessée. Sitôt le médecin déchargé de ses doutes quant à l’activité de ses malingres poumons, la chose violacée est déposée entre les seins de sa mère. Recroquevillé. À peine né, et déjà fatigué. S’ils sont surpris, ses parents, ils n’en montrèrent rien. Seulement deux larmes traîtresses sur les joues du paternel, ému d’accueillir son môme de génie... Qui - selon le gynécologue - aurait dû être une fille. Tant pis. Le sort aime se moquer des bonnes gens.

Comme toutes les femmes récemment accouchées, Abigail est choyée. Dorlotée, et nourrie de tous les savoureux mets balancés aux patients des cliniques environnantes. Non, définitivement. Les débuts de son existence sonnent étonnamment calmes. Paisibles. Dénués de la moindre surprise.


Qu'en te voyant
Je t'ai aimé


Auva ne se pose aucune question. Jamais. Pas même sur les murs roses de sa chambre, ni sur les nombreux jouets qui jonchent ses coffres. Des poupées. Des petites voitures. Elles jouxtent les circuits automobiles façonnés dans un plastic douteux, et une immense masure à l’échelle des blondes peroxydées qui sèment leurs pompes dans tous les coins. Une harpe dans un coin. Même en grandissant. Même en vieillissant aux côtés de ses petits camarades mâles et femelles, Auva continue son bonhomme de chemin sans choisir. Ses anniversaires sonnent l’arrivée de nouvelles peluches aux corps duveteux, et même de vêtements joliment ornés. Foncièrement, Auva est heureux.

Jusqu’à ses six ans, du moins. Peu de temps après les fêtes de la Saint Patrick, Abigail développe de sombres maux. Une lente déchéance. Une déchirante plaie qui suppure doucement. Sa voix s’étrangle à l’occasion d’un concert. Un évènement anodin, diront certain. Un douloureux échec, aux yeux de cette chanteuse envoûtante. Sa voix se meurt.


Depuis longtemps
Je t'attendais


Après de longs mois d’incertitudes, de craintes silencieuses et même de sanglots étranglés, Auva est confronté à une dure réalité. Celle de comprendre que - quoi qu’il en coûte - les parents ne sont pas plus éternels que les autres humains. Qu’ils ne sont pas immunisés contre toutes les maladies. Que, malgré leurs efforts insidieux, ils sont destinés à s’en aller. Accoudé au rebord de la même fenêtre qu’il hante tous les soirs, Auva veille - non, sans renoncer à son sourire. Il darde ses iris sur le corps qui se décharne, bien qu’il conservât les traits de sa mère. Il le fait, sans faillir. Même s’il se trouve fatigué de faire ses devoirs en rentrant. Même s’il s’épuise de voir son père courber l’échine, sans en véritablement comprendre la raison. Il le pense malheureux. Il le soupçonne inquiet. Il est trop jeune pour saisir la vérité, Auva. Il ne sait pas que les soins ne sont pas offerts. Que les médecins - affublés de leurs sourires navrés - ne sont pas de bons samaritains qui ne demandent rien, si ce n’est à sauver des vies.

De son cancer, Abigail décède. Durant le mois de Novembre, avec les pluies battantes. Auva, sans être serein, est soulagé. Là où son cœur réside, la douleur n’existe plus, après tout. Son visage émacié disparaît sitôt dans une tombe délicatement ornée. Et, avec sa dépouille, les berceuses de son enfance sont happées. Les larmes dégueulent sournoisement, accompagnées de toutes les complaintes de sa famille laissée derrière. Néanmoins, la vie continue.


Souviens-toi du temps où tu venais
Chaque soir, pour me rencontrer


Les années défilent, et c’est un lourd secret qu’Auva conserve dissimulé sous ses vêtements masculins. Un secret qu’il enferme dans des cartons - à l’abris des mites et des affres du temps - et cache sous son lit. Certains s’amoncellent dans ses placards. D’autres dans sa commode. Un secret qu’il ne dévoile à personne, sauf à son miroir. Parce que les autres diraient de lui qu’il est bizarre, s’ils savaient. Alors, une fois son dîner avalé aux côtés d’un père morose, le blond s’échappe dans sa chambre. La même qu’à son arrivée en la modeste demeure ; avec ses murs roses, ses coffres à jouets vidés depuis longtemps et ses draps immaculés.
Protégé dans son cocon, Auva se risque à être lui-même. Du moins, c’est ainsi qu’il s’imagine. Il se pare des rares pierreries de sa mère qui luisent sitôt à ses oreilles, et s’affuble d’une robe ou d’un chemisier. Parce qu’à l’intérieur, Auva se sent vraiment fille. Dans les méandres de son esprit, les médecins ne se sont pas trompés avec leurs prédictions. Il est une fille. Simplement, le divin s’est vautré, et a placé des grelots là où ils n’ont pas raison d’être.
C’est tout.


Tu passais
Si belle que j'en rêvais


Bien sûr, son secret est tôt ou tard ébruité. Son meilleur ami - enfant bavard au possible et adolescent turbulent - se risque à oublier le mot confidentialité. Les autres se moquent, évidemment. Parce qu’Auva bouscule les codes, même dans la solitude de sa chambre. Les autres ne cherchent pas à comprendre. Ils sont ainsi. Jeunes. Insolents. Du haut de leurs douze petites années, ils ne saisissent pas la violence de leurs mots et de leurs gestes. Doucement, à l’intérieur, Auva se fêle. Lui-même se trouve étrange. Il endigue méchamment ses envies. Il s’oublie, dans l’idée d’entrer dans le moule. Et, en parallèle, rechigne à retourner à son école. Jusqu’à éveiller les vieux démons de son père. Face au mutisme de son gosse - et aux jeûnes qu’il s’impose, dans sa phénoménale déception - il pense revoir les débuts cancéreux de sa femme envolée.

Les semaines s’égrènent sans que les choses ne changent. Pour Auva, du moins. Pour son patriarche, elles s’aggravent, sûrement. Dans son confinement, le blond comprend aisément que les affaires ne marchent plus si bien. Que les harpes se vendent mal. Et, coincé derrière sa fenêtre, le garçonnet constate les allers-retours d’un homme aux mauvaises allures. Jusqu’à ce que le patriarche revienne avec de surprenantes courbatures. Des pliures sur son ventre. Des brisures à ses mains. Il se bat, désespérément. Peut-être pour protéger son dernier bien.

Dans les mêmes temps, le sort s’acharne. Auva s’ingénie à passer ses douleurs sous silence. Mais, lentement, son ventre malingre hurle assez fort pour alerter Alban. Il est mené à l’hôpital. Et, à huis-clos avec le médecin chargé des échographies, les paroles échangées mettent le doigt sur un autre souci.

« Votre fille a une appendicite. »

Qu’annonce la quinquagénaire aux lunettes rondes. Le facteur de harpes se risque à la contredire, naturellement. Jusqu’à être placé devant les faits. Jusqu’à avoir les prunelles posées sur la chose. Un utérus. Un utérus dans le corps d’un garçon. Pressés sur le dossier, certains médecins s’y penchent. Ils observent attentivement les données, et posent un diagnostic douloureux à saisir. Hermaphrodisme vrai. Ils évoquent d’autres éléments qu’Auva n’écoute pas. Il n’y prête aucune réelle attention. Parce qu’à ses yeux, cette découverte sonne le glas de son malaise. S’il veut s’habiller comme une fille, c’est parce qu’il en est une... à moitié.

« Je veux être une fille. »

Qu’il jette à la tête des médecins qui l’entourent, comme à celle de son père bouffé par l’incompréhension. Les regards s’entrecroisent, et se déposent sur la silhouette du patriarche. Lui n’est pas sûr. Il est question d’hormones, de chirurgie et d’autres âneries. De procédé compliqué. Certains se risquent même à parler de réparer la nature. Aucune décision n’est prise, ce jour-là. Du moins, aucune qui concerne le troisième sexe. En revanche, l’appendice est arraché à ses entrailles.


Tu t'en allais,
Sans m'écouter


« Je veux être une fille. »

Les mots d’Auva résonnent souvent dans son crâne, malgré les deux années écoulées. Âgé de quatorze ans, le môme est serein. Mieux sous son casque de filaments dorés qu’il laisse pousser depuis une décennie bientôt. Il ressemble à sa mère, avec ses traits fins et délicats. Il est similaire à une fille. Épargné par les affres de la puberté qui touchent bientôt ses petits camarades. Sa voix demeure inchangée. Les poils se refusent à apparaître sur son menton. Dans son école, ils s’y sont fait. Certains jactent encore à son sujet. Les autres scrutent seulement avec curiosité ce phénomène. Dehors, il revêt des fripes de filles. Du moins, des vêtements suffisamment efféminés pour satisfaire son besoin de ne pas être un garçon - pas complètement - sans heurter autrui. Il est conscient des autres. Il remarque les regards biaisés.

Pourtant, sa routine est bouleversée. L’un de ses vieux cousins - lui-même facteur de harpes - débarque. Ayant eu vent des récents problèmes financiers d’Alban - forcément, les prêts engagés ont consumé depuis longtemps les maigres recettes mises de côté - ; se propose d’embaucher. Trop de commandes sans la main d’œuvre, qu’il prétexte. Ruiné, l’autre acquiesce. Pour le bien de son môme, à ce qu’il paraît. Son jeune - égoïste sûrement - susurre qu’il préfère fuir le fantôme de sa femme. Cette mère qui hante continuellement les couloirs de la vieille bâtisse, située à Latharna.

Bientôt, son Irlande natale dans son sillage, Auva se retourne avec nostalgie. Les odeurs du port s’avère être un souvenir persistant, à mesure qu’ils s’éloignent vers cette Angleterre qu’il ne connaît que de ses livres, des ragots et des dires de Augustin, le cousin de son vieux paternel. Tu iras au lycée qui jouxte Millenium, comme mon fils. Bien sûr, Augustin s’est démené. Il s’est embêté à préparer le terrain avant leur arrivée. Une école. Un stage, même. Et, sûrement dans l’idée de perpétuer l’héritage Cordell, Auva était destiné à aimer la facture de harpes. C’était écrit dans ses gênes. Mais, dans cette nouvelle vie, Auva n’a eu qu’une exigence... Avoir le droit d’être une fille, même seulement dans ses vêtements. S’il réfute catégoriquement les interventions chirurgicales et médicales sur son môme, Alban ne peut rien dire contre ses attentes vestimentaires. À l’aube de sa quinzième année, Auva est devenu une fille, avec ses bottines et ses belles fringues. Ils ne savent pas la vérité à Millenium. Ni même dans les rues.





« Big Browser is watching you »


Pseudonyme ❧ Immortelle, toujours !
Âge ❧ Toujours dix-huit ans ! c:
Comment avez-vous connu le forum ? Muh… Je n'sais plus.
Code ❧ Auto-gobé par Avdy.
Encore un mot ? Vous n'em ❤


©Riva - Andrew


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Invité
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Mar 22 Déc - 20:02
Bienvenue ! :) *te kidnappe parce qu'il veut que tu deviennes sa soeur hehe*
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Invité
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Mar 22 Déc - 21:14
Re-bienvenue cutie !!
J'ai hâte donc, vraiment, de voir ce perso en question c:
Fight pour ta fiche ♥
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Invité
Invité
Mar 22 Déc - 22:08
HELLCOME AGAIN ♥
Sérieux, j'adore l'idée de faire un herma. Vraiment, ça me plaît trop **
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Invité
Invité
Mar 22 Déc - 22:42
Ervin » OWII UN FRÈRE ! *se laisse enlever*
Glenn » Merci Bebey ❤
Keelan » Je suis contente si l'idée te plaît ! ❤
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Invité
Invité
Mer 23 Déc - 1:42
Ouuaaah bel effort pour l'hermaphrodisme, c'est très renseigné chapeau **
Bon courage pour la suite de ta fiche et bienvenu o/
Tysha K. Reed
Tysha K. Reed
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Date d'inscription : 08/09/2015
Messages : 2122
Age (du personnage) : 17 ans
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Etudes/Métier : Lycéenne.
Pounds : 10737
Mer 23 Déc - 14:48
Hermaphrodite non cliché. Je t'aime, tu sais ?

Re-bienvenue, sweetie.
J'ai hâte de lire ton histoire, le caractère de la petite claque kufufu. ~
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Invité
Invité
Mer 23 Déc - 16:33
Re-bienvenudo !
Jolie part d'originalité pour ce nouveau personnage. <:
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Invité
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Mer 23 Déc - 17:32
Zack » Haan. *émotion* Je suis contente si les recherches effectuées se voient, même si je me doute que mes informations pourraient être plus complètes.
Caty » Non-cliché, c'est vrai ? ; w ; Tu ne pouvais rien dire d'autre pour me faire davantage plaisir ! Je te n'em aussi. ❤
Jayden » Ja. J'aime l'originalité, même si ce n'était pas là le but du personnage. Auva est un p'tit bonhomme qui me fait du bien au cœur, après tout… ❤
Tysha K. Reed
Tysha K. Reed
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Date d'inscription : 08/09/2015
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Mer 23 Déc - 20:58
... Lourd passé, en tous cas les harpes ça shine. Je peux le comprendre, en un sens.
Et oui, définitivement, tu n'as pas fait un hermaphrodite cliché et crois-moi, c'est vraiment plaisant à lire. Ta fiche est splendide, sweetie.

On se prévoiera un p'tit lien, peut-être... On verra bien, kufufu. ~
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Invité
Invité
Mer 23 Déc - 21:04
*plore* Merci, ça me touche beaucoup. Pas de soucis pour le lien, ça me ferait plaisir si on en trouvait un ! c:
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Invité
Invité
Ven 25 Déc - 20:28

Validation
Comme toujours, je prends un plaisir fou à te lire. Je n'ai rien à dire dessus, si c'n'est bravo. ♥ Va donc grossir les rangs des verts, si peu nombreux!

Du coup, tu es validée ! Maintenant que tu as ta couleur et ton rang, tu vas pouvoir t'acquitter de tâches administratives ! (Youhou, Ô joie !)

♙ Aller recenser ton avatar ;
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Bon jeu à toi et surtout : HAVE FUN !
©Riva
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