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« Try not. Do or do not. There is no try. » Yoda maggle | Mélulu

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Mar 29 Déc - 22:51


⌊ Hammer Mélusine ⌉


Nom ∠ Hammer
Prénoms ∠ Mélusine
Âge ∠ 20 ans
Sexe ∠ F
Nationalité ∠ Britannique
Orientation sexuelle ∠ J't'en pose, des questions ?
Situation amoureuse ∠ Nothing to see here
Groupe ∠ Etudiante
Année/Métier ∠ 1ère année + serveuse dans un fast food
Option(s) ∠ /
Avatar ∠ OC Fait par mua



« You see me but you don't know me »





Mélusine est un garçon manqué. Clairement, papa et maman ont foiré quelque chose à sa conception. Elle aurait du avoir encore moins de poitrine, et plus de poil dans l'pantalon. Elle aurait du s'appeller 'Michel' ou 'Patrick', mais clairement pas 'Mélusine', et aurait du s'inscrire au club de foot de son quartier, à défaut du club de danse classique. Oui, Mélusine a clairement été privée de quelque chose à sa naissance. Un pénis. Qui aurait probablement tout changé.

Au lieu d'apporter le magique chromosome Y qui aurait pu changer la face du monde, papa a décidé de fournir un misérable X à maman. Ainsi, Mélusine est née, pourvue de grands yeux bleus, d'une petite touffe rousse et d'un vagin.

Mélusine n'a jamais aimé son prénom, ni les diminutifs qu'on lui a attribué tout au long de sa vie. 'Mélu', 'Mémé' et j'en passe, ça n'a jamais collé à la gamine. Elle aurait préféré qu'on l'appelle 'Eh mec' dans la cour de récré, plutôt que 'Mélulu'. A force, elle s'est habituée et a fini par accepter qu'on l'affuble de ces surnoms ridicules, mais bon.

Pourtant, Mélusine n'a jamais accepté d'être une femme. J'veux dire, une femme aux yeux de la societé : Celle qui s'habille bien, qui se maquille et qui parle bien, qui rigole comme  une potiche aux blagues salaces des virils hommes qu'elle cotoie et à qui elle prouve à chacun de ses mots sa profonde débilité et son infériorité évidente. Mélusine déteste cette image de la femme qu'on lui a forcé à se forger, celle contre qui elle se bat depuis qu'elle est gamine.

La femme, c'est le rose, la cuisine et le balais swiffer, c'est les talons et le rouge à lèvres Chanel, c'est le parfum et les cheveux longs, c'est les régimes miracles et les crèmes amincissantes, c'est la mode et les bijoux dorés, c'est les sacs à main et les bougies parfumées. C'est pas Mélusine, quoi.

Mélusine c'est plutôt les jeans boyfriend troués, les livres et films de science fiction, les pullovers trop grands, les basket sales, les sacs à dos, les lèvres gercées, les chips et les sodas à outrance, le foot et la bière.

Oui, c'est vrai, on est sacrément loin de la miss féminine parfaite qu'on bouffe tous les jours dans les magasines et à la télé. Mélusine est trop contre le système en vrai. Thug life et tout.

En dehors de tout ça, Mélusine est une personne ordinaire. Physiquement parlant, elle ne se distingue pas de la masse. Elle est plutôt petite, peu corpulente et a un style assez passe-partout (comme le gars de Fort Boyard). La seule chose notable au sujet de son apparence, c'est sa masse de cheveux roux -qu'elle coupe elle-même, attention- qui encadrent son visage et tombent souvent sur le devant de sa face. On peut aussi dire qu'elle a un regard profond et de beaux yeux bleus, mais comme elle a tendance à ne jamais regarder les gens dans les yeux et à toujours avoir le regard dans le vague, on a tendance à ne pas le remarquer.

Question look, c'est assez simple, Mélusine fuit les couleurs et se réfugie dans les fringues amples et sombres. Elle apprécie le côté pratique de chaque vêtement, au détriment de son côté esthétique. En gros, elle n'en a rien à foutre. La seule chose qui est là pour rappeler qu'on a affaire à une femme, c'est les traits de son visage, ainsi que ses longs cheveux, parce qu'on peut pas compter sur une quelconque poitrine qui trahirait son appartenance au sexe féminin. Déjà parce que ses boobies sont très peu développés, hein, et puis parce qu'elle ne fait pas forcément attention à les mettre en valeur, en portant des charmants décolletés à paillettes. Non, pas trop son truc.

Alors oui, c'est vrai, vu comme ça, on pourrait aisément croire que Mélusine est une fille mal dans sa peau, qui cherche à se cacher, à fuir les autres et tout, mais pas du tout, pas du tout. Mélusine, elle déborde de confiance en elle, de joie de vivre, d'énergie. Elle marche vite, elle a fière allure, elle a la tête haute et le dos droit. Elle n'a pas peur de dire aux gens ce qu'elle pense d'eux, et ne cherche pas à suivre la masse. En plus de ça, elle a une fâcheuse tendance à tout critiquer, à tout juger trop vite, et à catégoriser les gens sans les connaître. Elle s'en veut souvent, s'excuse parfois et révise son jugement parfois.

Spontanée. C'est le mot. Mélusine ne réfléchit pas. Elle agit. Elle mène la danse. Non, pas la danse, elle aime pas la danse. Elle mène le jeu, plutôt. Elle aime bien jouer. D'ailleurs, avec elle, tout est pretexte au jeu. Elle se plait à faire tourner les gens en bourrique, à leur raconter des histoires et à les mener en bateau. Pas pour être méchante, naaan, juste pour s'amuser. Parce que c'est drôle de constater à quel point certaines personnes peuvent être crédules, et aussi parce que c'est rigolo de s'inventer une vie.

Mélusine, c'est une sportive. Elle ne supporte pas d'être innactive et a du mal à rester concentrée en classe, assise sur sa chaise. Ca l'insuporte de rester immobile, alors elle est très souvent entrain de pianoter sur la table, ou entrain de bouger frénétiquement la jambe de manière insuportable, ou de faire les deux en même temps, quand elle est motivée. Elle s'excuse fort auprès de ses camarades de classe, mais c'est plus fort qu'elle : Elle ne peut pas rester immobile.

L'école, ça n'a jamais été son fort. Mélusine n'est pas scolaire. Elle n'a jamais excelé. Elle est moyenne en langues, médiocre en sciences, et absolument pitoyable en art. Elle ne sait pas dessiner ni jouer d'un instrument, même si elle aimerait beaucoup (et secrètement, ça reste entre nous hein ?) se mettre au piano. Si vous voulez, elle aime la musique, mais la musique l'aime pas, quoi. La seule chose pour laquelle Mélusine est douée, c'est le sport. Que ce soient les sports d'équipes ou individuels, Mélusine adore le sport, et plus particulièrement le foot-ball.

Cependant, c'est souvent dur pour elle de s'intégrer dans les équipes sportives. D'abord parce que c'est une meuf, hein, on va pas se le cacher, puis ensuite parce qu'elle ne conçoit pas trop qu'on lui donne des ordres et qu'on lui dise ce qu'elle doit faire, alors qu'elle voudrait faire autrement. Mélusine a du mal avec la discipline et s'entend souvent très mal avec ses suppérieurs. Il en va de même avec les profs qui sont trop sur son dos, à la rappeler à l'ordre lorsqu'elle rêvasse ou qu'elle gribouille dans les marges de ses cahiers. Mais le pire reste quand même en sport, lorsqu'elle est persuadée de bien faire et qu'on lui ordonne d'agir autrement.

Lorsqu'elle s'énerve, Mélusine, c'est pas jojo. D'abord elle crie, puis elle crie, et elle crie encore, puis encore, et puis encore un peu... Elle pleure, aussi, parfois. Parce qu'elle est contrariée et qu'on ne lui laisse pas entendre raison. Ou alors, lorsqu'elle arrive à se maitriser, elle part dans des "Ok, fais comme tu veux." remplis de reproches, et des "Je suis PAS énervée." dégoulinant de haine.

C'est vrai, Mélusine est fière. Elle n'aime pas trop s'excuser, et même lorsqu'elle est consciente d'être blessante, elle a énormément de mal à ravaler sa fierté. Ses proches le savent, elle fait rarement le premier pas vers les réconciliations lorsqu'elle s'est fâchée avec quelqu'un. Bien souvent, elle se contente d'éviter la personne, de lui lancer des regards noirs dès que possible et d'attendre qu'elle revienne d'elle-même.

Autrement, elle est quand même gentille, la Mélu. Elle est remplie de bonté et de bonnes attentions, et même si souvent, elle est à côté de la plaque, elle n'en reste pas moins une bonne amie, souvent un peu trop naïve et manipulable, loin de toute méfiance. Elle s'en est prit des raclées, mais elle doute rarement des gens auxquels elle tient, et attend souvent beaucoup trop d'eux, finissant déçue la plupart du temps, ce qui ne l'empêche pourtant pas de continuer d'avancer.






« Every life begins with a breath »




Tout commence par une rencontre. Une histoire d’amour qui débute à l’université, là où les rêves commencent à se concrétiser. Ils étaient dans la même classe. Avaient les mêmes ambitions. Papa a réussi. Pas maman. Mais c’était pas grave. Ils allaient vivre ensemble, dès que possible. Construiraient leur propre famille, et de nouveaux rêves. Elle n’avait pas à s’inquiéter. Il allait s’occuper d’elle, prendre soin de sa famille. Il allait réaliser leur rêve.

Elle était jeune quand Mélusine est née. Elle devait avoir aux alentours de 26 ans. Lui en avait 28. Elle ne travaillait pas. Lui subvenait aux besoins de toute la famille. Elle s’occupait de leur bébé. Mélusine n’a manqué de rien, étant gamine. Elle a eut ses légos et ses poupées, ses dessins animés et ses petites robes mignonnes que ses parents ont quand même réussi à lui faire porter jusqu’à ses six ans.

Quand Mélusine a été en capacité de prendre des décisions et de réfléchir par elle-même, les choses se sont un peu corcé. Déjà, maman a du se battre avec elle pour qu’elle accepte d’aller à ses cours de danse classique. Elle en était persuadée, Mélusine allait devenir une grande danseuse étoile dans le futur. Elle porterait des charmants tutus, arborerait de magnifiques chignons et un trait d’eye-liner qui lui ferait des yeux de biche.

La danse classique, à la limite, ça passait. Mélusine pouvait tolérer, même si, vraiment, la prof lui faisait peur, avec son legging beaucoup trop serré qui faisait ressortir les os de ses jambes. Les autres gamines du cours de danse était cragnos aussi, d’ailleurs.  Mais Mélusine ne les cotoyait pas plus que ça, alors ça allait. Ca passait.

Mais après, elle a découvert le sport. Le vrai sport. Le sport de « garçon ». A l’école, le prof leur avait fait faire du foot. Et Mélusine avait sacrément kiffé. Alors elle est rentrée, un soir, avec une idée précise en tête. « Maman, je veux jouer au foot. » Maman a blémit. « Que… Quoi ? » Erreur 404 no found. Deconnexion du système central. Alerte, alerte, surchauffe au niveau des neurones.

La pillule avait eu beaucoup de mal à passer. Autant pour maman que pour papa, d’ailleurs. « Quoi, du foot ? mais enfin Mélusine, t’es une fille toi ! Tu ne peux pas faire du foot, enfin. Et puis c’est mieux, la danse, pour toi. » Qu’il disait en s’agenouillant pour être à hauteur de la gamine, avant de poser sa grosse main sur sa petite tête rousse.

Mélusine en avait piqué des crises à ce sujet. Et encore aujourd’hui, elle se demande si c’est pas ça, la cause du drame, de la méga catastrophe.

La méga catastrophe en question, c’est le divorce de ses parents. Non, pas le divorce. Z’étaient pas mariés. Mais c’était tout comme, hein, ils vivaient ensemble, tout ça. Et puis du jour au lendemain… Tout a changé. Mais quand je dis tout, c’est genre, vraiment tout. Maman et Mélusine ont du quitter la maison. Elles ont dit au revoir à Bobby, le poisson rouge, et aussi à Razor, le labrador. Elles sont allées s’installer plus au nord de Londres, dans un tout petit, petit, petit appartement. Sans jardin. Sans Bobby. Sans Razor. Sans papa.

Mélusine a mit un temps fou à capter la situation. « Oui, c’est ça, tu verras papa seulement pendant les vacances, ok ? Oui, tu vas aller dans une nouvelle école. Tu vas voir, tu vas te faire plein de nouvelles copines ! Oui, on va rester ici. Quoi ? Ca ne te plait pas ? C’est joli pourtant. Non, on ne peut pas avoir un autre chien. Non, on ne peut pas non plus prendre Razor. Ni Bobby. Parce que c’est comme ça, c’est tout. Oh, écoute Mélusine, tu comprendras quand tu seras plus grande. Maman a été très déçue par ton père, alors on s’est séparés. Je ne veux pas parler de lui. Allez, vas jouer dans ta chambre. »

Parfois, Mélusine l’entendait grommeler dans son coin. Crier sur le téléphone. Pleurer. Et même manger du nutella à la cuillère, en cachette. Elle n’appelait plus papa « Papa », mais « Ton père ». Elle n’allait plus au parc le dimanche pour donner du pain aux pigeons et aux canards. Elle passait son temps sur l’ordinateur ou au téléphone, à écrire ou a chercher « des trucs, Mélusine, va jouer. »

Mélusine voyait son père de plus en plus rarement. Ce qui incluait de voir de moins en moins Razor, et de moins en moins dormir dans sa chambre, et de moins en moins joeur dans le jardin. A l’école, elle ne s’était pas fait de nouvelles copines. Juste un copain, parce qu’il était tout seul lui aussi. Il avait de grosses lunettes et des tâches de rousseurs. Pourtant, il était châtain très foncé. Il s’appelait Ben.

Le seul point positif qu’en avait tiré Mélusine, c’est qu’au moins, elle avait arrêté les cours de danse. Et en plus, il y avait un terrain de foot à quelques rues de chez elle.

Maman avait les yeux sombres et de gros cernes, elle avait le teint cireux et les cheveux en bataille. A présent, elle dépendait totalement de la pension que lui fournissait chaque mois papa, mais ne pouvait plus user de son argent à sa guise. Les restrictions budgettaires avaient fait qu’elle n’achetait plus de maquillage, ni de vêtements, ni de nutella, ni de bonbons. Elle faisait toujours attention aux prix et ne parlait plus de noël ni d’anniversaire.

La famille ? Oui, la famille. Elle aurait pu aider, la famille. Sauf qu’il n’y avait plus de famille. Maman n’était plus en contact avec les membres de sa famille. Pourquoi ? Parce que ç’aurait été trop simple autrement. Il a fallu qu’elle se fâche avec ses frères et sœurs, avec ses parents et avec le reste, pour aller avec.

Puis Mélusine est entrée au collège. Et avec ça, au club de foot de son école. Une grande découverte pour elle. Et aussi le début d’une adolescence difficile.

Mélusine a eu sa période emo-gothique trop dark. Elle s’est teint les cheveux dans toutes les couleurs de l’arc en ciel, a fait n’importe quoi avec son maquillage et ses vêtements. C’était sa manière de se prouver, et de montrer aux gens qu’elle était pas comme tout le monde, bordel. Elle, elle était pas un mouton. Elle était mieux que ça.

Alors oui, forcément, elle s’est pas fait que des copains à l’école. Elle a eu de nombreux rendez-vous dans le bureau du proviseur, parce qu’elle insultait les gens, qu’elle tirait les cheveux aux pimbêches qui la regardaient de travers, qu’elle frappait ceux qui rigolaient sur son passage. Une catastrophe. Et le plus cool, dans tout ça, c’est que maman n’en avait strictement rien à foutre. Elle partait tôt le matin, rentrait tard le soir, signait ses convocations sans y prêter attention, lisait ses bulletins médiocres en diagonale histoire de.

Seul papa essayait encore de rester dans le jeu. Il fut cependant éjecté violemment par la gamine, parce que « Tu t’es jamais occupé de moi, de toute façon, j’te déteste, j’veux plus te voir. »

Mélusine était à présent de ceux qu’on appelle « Les cas soc’ », ceux qui trainent le soir en bas des immeubles et qui demandent aux plus grands de leur payer de l’alcool, ceux qui fument en cachette et qui rackettent les plus petits dans la cour de récrée.

Personne n’est intervenu. Et la crise est passée toute seule. L’ouragan a fini par se calmer. Parce que vint le moment où Mélusine n’arrivait plus à se regarder en face. Elle, et ses cheveux décolorés, devenus secs et cassants, ses extensions à deux sous, son maquillage de mort vivant, son teint blafard, son haleine de chiotte, sa peau abimée, ses yeux fatigués. Au début, elle n’a rien fait. Elle a continué, a attendu que quelqu’un lui vienne en aide.

Sauf que, ma vieille, « On a jamais rien sans rien ».

Mélusine était toujours dans une phase ou elle en voulait au monde entier. Mais la personne a qui elle en voulait le plus, c’était elle-même.

Elle est allée voir une psy. Sous couvert de l’anonymat, Mélusine s’est pointée avec ses problèmes, ses angoisses, son envie de hurler et de taper sur tout le monde. Elle a vidé son sac. Et puis c’est allé mieux. Doucement, Mélusine est retournée dans le droit chemin.

Puis est venu le lycée. Ses cheveux avaient repoussés, et une délimitation se faisait au niveau de ses épaules. Il y avait d’un côté le roux, sa coloration naturelle, et de l’autre, le blond platine ignoble de sa période noire. Avant la rentrée, elle a coupé. De manière approximative, mais au moins, il n’y avait plus de trace de ce blond. Elle a également abandonné ses vêtements provocants, ses jupes ras la moule et ses shorty, et a ressorti les vieux pulls qui étaient restés au fond du placard.

Au lycée, Mélusine s’est reprise en main. Elle s’est remise à travailler. Ses moyennes se sont nettement améliorées. D’un deux, elle est passée à un neuf en maths. D’un quatre, un douze en français. Et d’un petit onze, elle est passée à dix-sept en sport. Les gens aimaient bien l’avoir dans leur équipe au hand ball et au rugby, mais encore plus en foot, parce que là, elle défonçait tout.

Mélusine avait trouvé sa voie.

En parallèle à tout ça, ses relations avec ses parents ne s’arrangeaient pas vraiment. C’était pas folichon. Elle ne parlait quasiment plus avec son père, qui n’avait toujours pas digéré la période noire de sa fille, et sa mère était de moins en moins présente à la maison.

A la fin du lycée, Mélusine se mit à travailler. Elle avait un projet : L’université.

Pendant deux ans, Mélusine économisa. Beaucoup. Elle visait haut, la gamine. Elle n’allait quand même pas se contenter de la première école de son quartier, eh. Elle voulait plus, Mélusine.

Millenium University.

C’était son but, son goal. A vingt ans, elle y a déposé son dossier d’inscription, ainsi qu’un mignon petit chèque.

A la rentrée, elle déménagea au cœur de Londres. Elle retrouva un taf là bas. Dans un vieux fast food pourrit qui allait la dégoûter des hamburgers et des frittes pour toujours. A l’école, elle se spécialisa dans le sport. Elle n’avait toujours pas envisagé ce qu’elle ferait en sortant de là, mais elle trouverait bien. Avec un peu de chance, elle allait tomber sur un mec blindé de thune là bas, et elle n’aurait même plus à se poser la question de « Qu’est-ce que je dois faire pour trouver un bon métier et gagner pleins de sous pour pouvoir vivre correctement dans ma villa avec mes deux poney et mon chien ? »






« Big Browser is watching you »


Pseudonyme ∠ Chromy
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Comment avez-vous connu le forum ? Sur facebook je crois bien. Mais j'avoue que l'argument choc qui m'a fait venir, c'est les petits poissons qu'on peut nourrir en bas de la page. Ah, vraiment, je m'en lasse pas.  
Code ∠ Code ok by June

Encore un mot ? Le design gère sa race, c'est genre tellement cute, tellement doux, ça me plait trop je ♥ Et puis voilà j'espère que, euh, on aura une belle et grande aventure ensemble CCCCCC8


©Riva - Andrew


Xander Winchester
Xander Winchester
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Mar 29 Déc - 22:53
Bienvenue ici ! :)
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Invité
Invité
Mar 29 Déc - 23:06
Un choix d'avatar bien classieux.
Bienvenue parmi nous Mélusine. Au plaisir de pouvoir en lire plus ! :siffle:
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Invité
Invité
Mer 30 Déc - 0:22
Hello et bienvenue, personne au nom qui pue la classe ! Robin Soloviev est déjà prise par Laine du coup tu vas être obligée de changer de personnage sur l'avatar :c

Si tu as des questions, hésite surtout pas ! Bon courage pour le restant de la fiche <3
Joyce Lawford
Joyce Lawford
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Mer 30 Déc - 0:23
Heeeeey bienvenue ~
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Invité
Mer 30 Déc - 0:36
Bienvienduuuue ♥
Courage pour la suite de ta fiche ♥
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Invité
Invité
Mer 30 Déc - 12:36
Oooh je n'avais pas vu Blanche ;-; J'ai modifié du coup ~

Et merci tout le monde guskhdouf ça me fait plaisir ♥
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Invité
Invité
Mer 30 Déc - 15:31
Ton OC est classieux, j'aime !!
Bienvenue parmi nous ♥
Si tu as besoin, n'hésites pas c:
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Invité
Invité
Mer 30 Déc - 16:08
Bienvenue parmi nous ♥
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Invité
Invité
Mer 30 Déc - 20:18
Awwh merci Rubi, ça fait plaisir ;m;

Merci Ervin! ♥

Je pense que c'est fini huhu ~
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Invité
Invité
Mer 30 Déc - 20:36
Bienvenue ! ♥
J'aime ton avatar, les couleurs sont jolies comme tout. *u*
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Invité
Invité
Jeu 31 Déc - 18:23

Analyses
Hii à toi, ici Avdy ! J'espère que tu as passé de bonnes fêtes, tout ça !
Déjà, Mélusine est un personnage très attachant, surtout dans ses travers et ses réactions. On sent que c'est une sensible, mine de rien. Hormis des fautes qui se sont glissées ça-et-là, je n'ai rien à redire sur la partie physique et caractère. Elle est très fournie, on sait à qui on a à faire. Par contre, une petite incohérence s'est glissée dans ta fiche. Tu dis qu'elle a de grands yeux verts, mais sur ton avatar, ses yeux sont d'un bleu quasiment océan… D8 Je ne pense pas être devenue daltonienne, donc est-ce une petite erreur de ta part ? Si tel est le cas, n'hésite pas à rectifier. ❤

En revanche, on va avoir un problème avec l'histoire. Je dis UN parce que le reste est cohérent. En réalité, si Mélucine souhaite postuler à Millenium, elle doit avoir achevé le lycée. Elle doit être détentrice du fameux A-level qui ouvre les portes de l'université. Au passage, tu gères d'avoir dessiné ton personnage toi-même. C'est classieux, définitivement !

©Riva
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Invité
Invité
Sam 2 Jan - 13:18
mdr le fail

Ouuuh je ne savais pas pour le lycée,j'ai modifié du coup ! :B J'espère que ça ira ~
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Invité
Invité
Sam 2 Jan - 15:15
Bienvenue PAR minou cutiiiie. ♡ COMMENT CA JE SUIS À LA BOURRE. :<

J'espère que tu te plaira ici! ♡
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Invité
Invité
Sam 2 Jan - 18:36

Analyses
Hii ! C'est encore moi. Non, ce n'est pas la validation tant attendue. J'ai encore un problème, toujours avec ce même passage. Ce qui me chagrine, ma belle, c'est que c'est assez peu clair. Dans un premier temps, tu dis qu'à la fin du lycée, Mélusine commence à travailler pour économiser. Néanmoins, tu précises qu'elle le fait pendant deux ans. Déjà, tu termines le lycée à 18 ans, sauf dans de quelques cas d'un saut de classe, où l'élève sort à 17 ans. Néanmoins, tu précises qu'elle entre à Millenium à 18 ans. Pour économiser "pendant deux ans" comme tu le stipules, Mélusine aurait dû quitter les bancs du lycée à 16 ans.
Par conséquent, si tu tiens à ce que ta p'tite rousse entre à Millenium après avoir économiser deux ans - ce qui serait normal, étant donné les frais de scolarité - tu devras vieillir ton personnage. ❤
Voilà voilà !

Des biiisous sur ton petit nez !

©Riva
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Invité
Invité
Sam 2 Jan - 18:49
MDRRR omg déjà je vois l'avatar j'me dis "HEY MAIS JE RECONNAIS ce style de dessin ptin c'est qui déjà-
je look le pseudo "chromy"
« Try not. Do or do not. There is no try. » Yoda maggle | Mélulu  Tumblr_m8hpixhhcY1rtx6bf
CA FAIT DEUX FOIS QUE JE TE CROISE SUR UN FORUM jpp de toi sale faible tu m'as reconnu ? no ok
Citation :
Elle est plutôt petite, peu corpulente et a un style assez passe-partout (comme le gars de Fort Boyard).
comme le gars de Fort Boyard
comme le gars de Fort Boyard

.................mdrr

bienvenue petite rousse-chan  « Try not. Do or do not. There is no try. » Yoda maggle | Mélulu  1596383424
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Invité
Invité
Sam 2 Jan - 18:57
Oups c: je change l'âge alors pour que ça coïncide ! ♥

(TOMODAMOUR ♥ ♥ ♥ JE PLEURE ON A L'OEIL POUR REPERER LES FORUMS
JE TE SUIVRAIS A LA VIE A LA MORT BB TU PEUX PAS ME FUIR

BSX JTM :sltbb:)
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Invité
Invité
Sam 2 Jan - 20:02

Validation
Voilà, merci de tes modifications ! ❤

Du coup, tu es validé ! Maintenant que tu as ta couleur et ton rang, tu vas pouvoir t'acquitter de tâches administratives ! (Youhou, Ô joie !)

♙ Aller recenser ton avatar ;
♙ Créer ta fiche de relations ;
♙ Demander un rp ;
♙ Demander un logement ;
♙ Créer ton téléphone et ton Twitter si tu le souhaites ;
♙ Rejoindre un club si tu es lycéen ou étudiant.

Bon jeu à toi et surtout : HAVE FUN !
©Riva
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