Varvana | Big girls cry when their hearts are breaking (FINI)

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Lun 11 Jan - 0:08


⌊ MCNIEL -- VARVANA ⌉


Nom ∠ -- McNiel --
Prénoms ∠ -- Varvana, Elizabeth --
Âge ∠ -- Vingt et un ans --
Sexe ∠ -- Féminin --
Nationalité ∠ -- Anglaise --
Orientation sexuelle ∠ -- Bisexuelle --
Situation amoureuse ∠ -- Célibataire --
Groupe ∠ -- Étudiante --
Année/Métier ∠ -- Première année --
Option(s) ∠ -- Artistique : arts du spectacle --
Avatar ∠ -- Sansa Stark -- -- Game of Thrones --



« You see me but you don't know me »


« Ah, c’est un peu court, jeune homme ! On pouvait dire... oh ! Dieu ! ...  Bien des choses en somme. En variant le ton, par exemple. Tenez, agressif : … »

Son regard ne parvient pas à se détourner du spectacle que donne la petite silhouette sur scène. Alors même qu’elle ne mesure qu’un mètre cinquante, elle occupe tout l’espace avec une facilité qui doit lui être enviée par un grand nombre de camarades. Elle se tient droite, le menton fièrement redressé. Une attitude bien différente de toutes celles qu’elle peut avoir en-dehors de son rôle d’artiste. Il est ravi de voir qu’elle a encore progressé depuis la dernière fois. Comme s’il pouvait en être autrement ! Sa Varvana est la personne la plus studieuse, la plus acharnée et la plus appliquée qu’il connaisse. Elle avait déjà du talent avant de commencer le Conservatoire, et maintenant, c’est la dernière fois qu’elle donne un spectacle dans son enceinte. Il la regarde changer tour à tour d’humeur avec une aisance qui subjugue toute la salle.

Oh, elle n’a rien d’un Cyrano, petite et frêle comme elle est, dotée de courbes discrètes. Varvana est l’image même de la féminité fragile. Si elle déteste ça, ses parents en revanche en sont très satisfaits. Elle a ce petit air de noblesse, avec ses traits fins et harmonieux, sa peau pâle qui ne supporte pas le soleil et son regard d’un bleu si clair qu’ils devient troublants. Sa chevelure, d’un roux sombre qui paraît presque noir une fois humide, lui caresse les reins avec sensualité. Ils ne sont ni raides ni vraiment bouclés, plutôt un entre-deux qui lui va bien. Lui vont bien aussi ses taches de rousseur, qui parsèment son nez, ses pommettes, sa nuque et ses épaules. Alors que dans la vie de tous les jours, elle cache ses mains qui la complexent – trop petites, pas assez jolies, elle trouve toujours une raison – cette fois elle ne lésine pas sur une gestuelle qui fait oublier la jeune fille derrière le personnage plein de verve.

Varvana est une jeune femme qu’on entend peu. Ses mots hors des planches sont rares et précieux. Aleksei, grand frère de son état, l’a très vite compris. Varvana préfère le silence, un mot ajusté, précis et profond. Elle peut s’interrompre en plein milieu d’une phrase pour réfléchir parfois jusqu’à presqu’une minute avant de poursuivre, comme si de rien n’était. Aleksei a toujours été fasciné… En rongeant son frein quand des camarades se moquaient.

Il se laisse charmer, aussi, par son style vestimentaire. Il a l’impression de le redécouvrir à chaque fois qu’il la voit. Peut-être parce que, jusqu’à trois ans auparavant, elle a toujours servi aux autres l’image que leurs parents attendaient d’elle. Lui, il est un homme, alors il a toujours été plus libre qu’elle, et il sait qu’elle l’a longtemps jalousé… Mais qu’elle exprimait ça avec de la mélancolie plutôt qu’avec de la colère. Il capte un mouvement de tissu et se focalise à nouveau sur ses vêtements. Varvana porte surtout des couleurs assez peu vives, qu’elles soient sombres ou claires. Elle aime la discrétion, les choses peu ornées, mais parfois elle s’autorise des dentelles, des broderies, des décorations qui restent tout de même discrètes.

Varvana déteste attirer l’attention sur elle, tant qu’elle n’est pas sur scène. Elle parle doucement, d’une voix timide qui peine à hausser le ton, garde souvent les yeux baissés et évite instinctivement les gestes brusques. En classe, on la remarque à peine, d’après ses amis. Cela semble changer petit à petit, ces dernières années. Les études au Conservatoire lui font du bien. Il le voit, dans son teint, dans son regard brillant, dans son dynamisme. Là, sur scène, elle s’épanouit, elle vit, elle savoure, et son cœur de grand frère surprotecteur s’apaise en faisant, pour la centième fois, ce beau constat.

Il est inquiet pour elle, tout de même. Il sait qu’elle est trop douce, trop effacée. Il sait qu’elle a du mal à gérer ses émotions – et c’est pire avec celles des autres. Elle a repoussé tous les garçons qui voulaient se rapprocher d’elle, et les filles parfois aussi. D’ailleurs, elle ne lui a jamais parlé dans ses lettres et ses messages pendant qu’elle était dans ce collège privé d’amis ou d’entourage. Il sait qu’elle est très solitaire… Et qu’elle manque énormément de volonté. Plutôt paradoxal pour une artiste si douée. C’est comme s’il y avait deux Varvana, celle de l’art et celle de la vie. La première bouillonne d’énergie et de vie, comme si elle ponctionnait celle de la seconde, qui change beaucoup de sentiments en mélancolie, voire en tristesse, et qui s’isole par peur d’être une gêne, de déranger.

Il sait que, depuis qu’elle traîne avec une bande d’amis au conservatoire, elle s’affirme un peu, mais quand il la voit dans leur famille, sous l’ombre de leurs parents, il ne voit pas de différence. Il sait que leurs parents lui font peur, en quelque sorte, qu’elle craint leurs critiques, mais elle s’en libère petit à petit, il en a conscience. Rien que le fait qu’elle soit sur scène aujourd’hui le prouve. Il ferme un instant les yeux, pour formuler un souhait. Qu’elle continue à grandir comme ça, à évoluer. Il sait que ça la rend heureuse, de s’affirmer petit à petit… Quand elle constate une différence. Elle a beau être froide et exigeante avec elle-même – et indifférente, paradoxe intéressant quand on sait qu’elle est hyperémotive – parfois, elle s’accorde un progrès, une bonne chose, souvent encouragée par ceux qui l’entourent.

Elle aime beaucoup de choses, Varvana. La lecture, la musique et le cinéma, le théâtre, la couture, la cuisine, les animaux,… C’est une jeune femme passionnée, qui prend plaisir à vivre ce qu’elle aime. Mais elle le fait discrètement, un sourire rêveur caressant ses lèvres, une étincelle de douceur chaleureuse dans le regard. Elle n’est pas expansive, mais sa discrétion fait parfois chaud au cœur. Souvent, c’est ça qu’on recherche chez elle, cette délicatesse, ce reflet insaisissable, léger comme la caresse d’un papillon.

« Voilà ce qu'à peu près, mon cher, vous m'auriez dit si vous aviez un peu de lettres et d'esprit, mais d'esprit, ô le plus lamentable des êtres, vous n'en eûtes jamais un atome, et de lettres, vous n'avez que les trois qui forment le mot sot ! Eussiez-vous eu, d'ailleurs, l'invention qu'il faut pour pouvoir là, devant ces nobles galeries, me servir toutes ces folles plaisanteries, que vous n'en eussiez pas articulé le quart de la moitié du commencement d'une, car je me les sers moi-même, avec assez de verve, mais je ne permets pas qu'un autre me les serve. »

Elle a parfaitement mené tous les aspects du monologue, et le public, constitué de proches des élèves, se lève et applaudit. Le matin est réservé à la section théâtre, l’après-midi à la musique. Elle fait les deux, alors il reste là. C’est son dernier spectacle dans ce conservatoire. Dans une semaine, réussi ou non, elle s’en ira dans cette université luxueuse, et elle caressera du bout du doigt un rêve jamais énoncé car à peine envisagé.



« Every life begins with a breath »


Je soupire doucement en me tournant entre les draps. Je pars demain et ça me rend nerveuse. Je n’arrive pas à dormir, du coup j’aurai à coup sûr une sale tête demain. Bon, d’accord, je m’en fiche, mais l’impression d’avoir du sable dans les yeux, c’est pas cool, et j’y aurai droit demain. Je grogne en m’enfouissant sous mes couvertures. Elles sont épaisses, je sens la chaleur qui s’accumule, et ça me fait du bien. Je déteste avoir froid. Bon… Il va bien falloir que je m’endorme. J’entends les ronflements étouffés d’Aleksei dans la chambre voisine et ce bruit me berce un peu. Mais ça ne suffit pas. J’aime pas trop faire ça parce que ça prend du temps, mais ça marche bien, alors…

Je suis née un cinq novembre. Dans le pays qui a vécu la Conspiration des Poudres et qui fête le fait qu’il ait été déjoué tous les ans, c’est pas top comme date de naissance, mais bon, personne n’a choisi. Mes parents sont des nouveaux riches d’Angleterre, des bourgeois en quelque sorte. Mon père fait de la politique et ma mère est avocate fiscaliste et conseillère financière d’une grande entreprise. On n’a jamais manqué d’argent, mais on manque d’amour, Aleksei et moi. On n’a jamais passé une journée entière avec nos parents, ces dernières années.

Quand on était enfants, je le jalousais atrocement. Nos parents nous avaient imposé des loisirs « de bonne famille » pour meubler les moments où nous n’allions pas dans notre école privée. Lui, il faisait de l’équitation, surtout, et moi de la couture et du piano. J’aime les deux, mais j’ai toujours voulu monter à cheval. Mes parents veillaient à ce que nos employés ne me laissent pas approcher de l’écurie. Je n’osais pas me dresser contre eux, parce qu’on m’a toujours appris qu’une bonne fille était une fille gentille et discrète. Je voulais faire plaisir à mes parents. Les rendre fiers.

Quand j’ai eu onze ans, mes parents m’ont envoyée dans une école privée très strict pour éduquer les jeunes filles de bonne famille. Je ne revenais dans ma famille qu’un week-end sur deux et pour les semaines de vacances. Aleksei me manquait beaucoup et ce manque a totalement effacé ma jalousie. J’avais des cours de cuisine – j’aime la cuisine – de bonnes manières, de français, et d’autres choses encore, en plus des cours normaux. Je n’aimais pas ça. Et je n’aimais pas non plus mes camarades. Il y avait beaucoup de filles méchantes et arrogantes, et comme j’étais très discrète et effacée, elles m’ont prise en grippe. Elles abîmaient mon uniforme – l’administration faisait des rapports à ce sujet car le règlement indiquait qu’il fallait prendre soin de l’uniforme – lançaient des rumeurs sur moi, me faisaient des sales coups. Je n’en parlais pas… Parce que je savais que les éducateurs et la direction parviendraient à ramener la faute sur moi, la minorité.

J’étais toujours triste, dans cette période. Je ne m’amusais pas. Je travaillais énormément, j’avais de bonnes notes dans toutes les matières, mais les professeurs ne me remarquaient pas et puis, je ne participais pas en classe. J’étais juste une petite chose silencieuse au premier rang. Parfois, j’avais droit à une brève félicitation pour un contrôle sans erreur et ça me faisait plaisir, mais tout de suite après je replongeais dans mes pensées sombres.

Avec quelques autres filles marginales, on a commencé à faire du théâtre pendant nos heures libres. On s’amusait beaucoup. Je me sentais… Bien. Douée. Comme quand je chantais ou jouais d’un instrument. On a travaillé beaucoup de pièces. Tous les ans, il y avait une ouverture aux parents qui avaient des élèves dans l’établissement ou comptaient y placer leurs filles. Les élèves pouvaient, avec l’aval de l’administration, dresser un stand ou préparer une activité. À partir de notre troisième année, nous avons organisé une pièce par an. C’était compliqué d’en trouver une de bon goût avec assez peu de rôles pour nous toutes. Nous n’étions même pas une dizaine, mais nous nous arrangions toujours pour que tous les rôles soient remplis, quitte à en jouer plusieurs.

En dernière année, en plus de cette pièce, j’ai aussi tenu un petit spectacle de chant. À la fin, tous les parents se sont levés et ont applaudi. Un peu plus tard, l’un des visiteurs est venu me voir et m’a demandé ce que je ferais une fois mon cursus terminé. Je n’en savais rien, alors il m’a expliqué qu’il était le directeur d’un conservatoire à Londres qui serait heureux de m’accueillir pour une formation artistique. Je n’en ai pas parlé à mes parents avant qu’ils soient devant le fait accompli. On s’est disputés mais, grâce à l’appui d’Aleksei, j’ai tenu le coup, et ils m’ont payé ces fameuses études. J'allais avoir dix-huit ans, et j'étais heureuse, merveilleusement heureuse.

Au conservatoire, j’ai eu l’impression de renaître. Une jeune femme plus âgée m’a prise sous son aile pendant les premiers mois – un peu comme une marraine. Elle était toujours enjouée, et elle avait cette présence lumineuse qui m’apaisait toujours. Je me sentais bien en sa compagnie. C’est elle qui m’a introduite à son groupe d’amis, des gens tellement cools que je n’aurais jamais osé les aborder par moi-même. Et pas cools dans le style « stéréotypes de popularité », hein ? Non, dans mon conservatoire, presque personne n’était comme ça. Ils étaient et sont toujours cools – on reste en contact – avec des caractères variés et toujours assumés. Je les admirais, et plutôt que d’en profiter pour me prendre de haut, ils m’ont accueillie à bras ouverts.

Pour la première fois, j’ai pu m’éveiller au féminisme, dont les valeurs sont aux antipodes de celles qui m’ont élevées, et ont fait de moi une personne que je n’aime pas. Je me trouve trop effacée, sans volonté, surtout quand je les vois, eux. Ils mènent leurs batailles avec le courage aux cœurs et des discours sur les lèvres. Ils m’ont aussi appris les plaisirs du jeu de rôle. Une autre façon de m’exprimer. Je n’ai pas lâché ce loisir. Les loisirs font partie de moi, qu’il s’agisse de cuisiner et de couture ou de musique et de théâtre.

J’y ai passé presque trois ans. Presque trois années merveilleuses, rythmées par l’apprentissage – le vrai, celui qui donne le bonheur et le baume au cœur – et les spectacles. J’étais inscrite dans une double option qui mêlait mes deux passions. J’ai eu l’impression de m’épanouir, bien plus que lors de nos répétitions avec mon groupe, à l’école. Je me suis sentie presque chaque jour entière et… Oui, vivante. Une sensation un peu étrange, même pour moi. Comme si avant ça, je n’existais pas vraiment. Est-ce qu’une vie contrôlée par d’autres, malheureuse et froide est une vie ? Je ne connais pas la réponse à cette question.

Mes années de conservatoire se sont terminées, pas plus tard que la semaine dernière, par un spectacle qui m’a tiré des larmes en coulisse. J’avais du mal à croire que c’était vraiment fini. Mais cela fait un an que je travaille tout mon temps libre en tant qu’artiste pour mettre de l’argent de côté. Bien sûr, j’ai quand même dû piocher dans l’argent que mes parents me mettent sur un compte depuis ma naissance – la somme est juste indécente alors je m’en sers souvent plutôt pour aider ceux qui en ont besoin – pour acheter ma maison. J’aurais pu prendre un appartement, mais pour accueillir des animaux, une maison avec un jardin, c’est mieux quand même. Et puis, celle que j’ai achetée, c’est un vrai coup de cœur.

En une semaine, j’ai acquis des meubles, déménagé mes affaires – il ne reste actuellement que mon lit dans ma chambre, avec mes couvertures et mon réveil, et tout vient avec moi demain – et préparé la maison pour pouvoir y vivre. Demain, Aleksei emmènera ce qu’il me reste ici chez moi pendant que j’irai découvrir cette nouvelle école - la prestigieuse université Millenium. Je suis un peu nerveuse. Ça ne sera peut-être pas aussi facile qu’au conservatoire mais… Je serai pas seule, de toute façon, et puis je vais pouvoir apprendre, apprendre toujours plus. Peut-être qu'un jour je serai vraiment pro... Peut-être pas. Le savoir ne me prive pas du plaisir d'apprendre. Avec un peu de chance, je saurai même à la fin de ce cursus sociabiliser plus facilement. Je n'y crois pas trop... Ce n'est jamais aussi facile qu'avec mon frère. Aleksei vit en ville, pas loin de chez moi. Bien sûr, nos parents n’approuvent pas du tout mes ambitions. Je m’en fiche complètement. Demain, je les laisserai derrière moi. C’est ma vie, pas la leur.

Mes paupières lourdes se ferment, pour ne plus s’ouvrir avant le lendemain matin. Je suis tout à fait épuisée, comme je l’avais prévu, et je m’endors rapidement.



« Big Browser is watching you »


Pseudonyme ∠ -- V. --
Âge ∠ -- Dix-huit ans --
Comment avez-vous connu le forum ? -- Par top-site je crois ! --
Code ∠ -- --
Encore un mot ? -- Je suis vraiment désolée pour cette histoire avec le code mais j'y arrive pas du tout >.< --


©Riva - Andrew


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Invité
Invité
Lun 11 Jan - 0:13
Bienvenue parmi nous !
Je te souhaite bon courage pour ta fiche et j'espère que tu t'amuseras ici ! ♥

PS : Joli choix d'avatar, je surveille ta fiche pour la lire *^*.
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Invité
Invité
Lun 11 Jan - 6:30
Merci à toi ♥
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Invité
Invité
Lun 11 Jan - 11:25
Ouuuh ça promet cette fiche ! *w* L'avatar + le pseudo, j'aime beaucoup ! En tout cas, bienvenue à toi et bon courage pour terminer ! Si tu as des questions, hésite surtout pas <3 Quant au code, pas de problème dans ces cas-là, au moins rien que ta précision nous affirme que tu l'as lu ! :3
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Invité
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Lun 11 Jan - 13:06
Salut, bienvenue parmi nous ! o/
Hâte de voir la suite. :)
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Invité
Invité
Lun 11 Jan - 13:37
Bienvienduuuuue <3
Courage pour la suite de ta fiche.
J'adore ton avatar *^*
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Invité
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Lun 11 Jan - 14:12
Bienvenuuuue cutie. ♥ Sansa rojgozqkprglfikeqpelronjthip!

Pour courage pour ta fiche et n'hésites pas si tu as un soucis. Et pour le code, il est situé dans le haut du règlement, si jamais ça peut t'aider. Comme dit Al', je pense que tu l'as bien lu, mais voilà. Je te donne un petit indice supplémentaire. <:
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Invité
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Lun 11 Jan - 15:43
Bienvenue parmi nouuuuus ♥
Ton avatar est so sexy !! **
Je vais suivre ta fiche de près gngn !
Encore une fois si tu as besoin, tu n'hésites pas :3
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Invité
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Lun 11 Jan - 16:43
Oh merci vous tous ♥ Genre je passe un lundi caca puis j'arrive ici et je reçois des messages sweet c'est trop cool ♥
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Invité
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Lun 11 Jan - 17:52
Bienvenue parmi nous !
J'aime beaucoup l'avatar que tu as choisi *^* ... Surtout ses cheveux en fait.

Courage pour ta fiche ♥
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Invité
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Lun 11 Jan - 17:55
Bienvenue jeune demoiselle ♥
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Invité
Invité
Mar 12 Jan - 1:42
Merci vous deux ! ♥

*fait une liste de tous ceux à qui elle devra demander un rp en ignorant la voix intérieure qui lui promet mille supplices si elle ne finit pas sa fiche fissa*

EDIT pour dire que j'avance, la description est finie (je l'allongerai peut-être un peu). Demain je vais chez le médecin donc j'aurai sans doute pas le temps de faire l'histoire en entier, mais on y croit un peu hein ! èé
Cléanthe J. Alevatros
Cléanthe J. Alevatros
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Age (du personnage) : 19 y.o
Orientation sexuelle : Bisexuel.
Etudes/Métier : Art ; design graphique.
Pounds : 24303
Mar 12 Jan - 12:34
bienvenue officiellement !

bon courage pour ta fiche, et je meurs sur ton avatar.
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Invité
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Mar 12 Jan - 12:41
Merci beaucoup ♥
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Invité
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Mer 13 Jan - 16:43
Fiche terminée ♥
Joyce Lawford
Joyce Lawford
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Mer 13 Jan - 20:37

Analyse de fiche
Heeeey! Encore bienvenue parmi nouuuus cutie ladyyyy /pan

Alors. J'ai franchement adoré ta fiche ! Varva' est touchante, j'ai hâte de voir ce que tu vas faire en rp avec elle !

Par contre, avant que tu puisses RP pour de bons, j'ai quelques détails à te demander :
- Je me suis un peu perdue dans ton histoire parce qu'il n'y a pas assez de temporalité. Tu parles de "3 ans ici" "3 ans là" mais on ne sait pas quel âge elle a et c'est un peu gênant pour comprendre où elle en est concrètement dans son cursus ! Si tu pouvais rajouter ça, ça serait nickel.
- Est ce que Varva' va à Millenium? Tu ne l'as pas précisé. Si c'est le cas, il faudra aussi donner les motivations qui la pousse à rejoindre cette université.

Autrement, je crois que c'est tout. Le reste est très bien !

Courage pour ces petits ajouts, et n'hésite pas à me demander si tu as des questions, ou me prévenir quand tu auras terminé.

Fight ! ♥
©Riva
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Mer 13 Jan - 21:57
C'est fait ♥
Joyce Lawford
Joyce Lawford
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Mer 13 Jan - 22:34

Validation
Du coup tout est bon, je te valide de ce pas ! J'ai hâte de voir ce que tu vas nous écrire avec ce personnage ♥

Maintenant que tu as ta couleur et ton rang, tu peux :
♙ Aller recenser ton avatar ;
♙ Créer ta fiche de relations ;
♙ Demander un rp ;
♙ Demander un logement ;
♙ Créer ton téléphone et ton Twitter si tu le souhaites ;
♙ Rejoindre un club si tu es lycéen ou étudiant.

Bon jeu à toi et surtout : HAVE FUN !
©Riva
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