On demande un surfeur à l'accueil, je répète on demande un surfeur - Travis C. McGrady
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Lun 18 Juil - 21:03
PSEUDO P. PSEUDO
NOM : McGrady PRÉNOM : Travis Conrad ÂGE : 24 ans et séduisant ~ SEXE : Homme. NATIONALITÉ : Australien avec le bronzage offert. ORIENTATION SEXUELLE: Les femmes, oui les femmes... et Louise, mais chut. SITUATION AMOUREUSE : Célibataire, marié, divorcé, c'est ça dans l'ordre. GROUPE : Étudiants ANNÉE / MÉTIER : 7 ème. OPTION(S) : Biologie et Médecine. AVATAR : Portgas D. Ace
IN REAL LIFE
PSEUDO : The Walker ÂGE : 24 ans. COMMENT AVEZ-VOUS CONNU LE FORUM ? Top site everywhere. PETIT MOT : Pingu, nutnut ! CODE : Approuvé par Algernon !
PHYSIQUE / MENTAL
Description physique et mentale, vous pouvez les écrire ensembles ou séparées, sous forme de liste précise et détaillée, ou alors un texte, comme il vous plaît !
Vous vous êtes déjà réveillé entouré d'une bande de gars totalement torchés, dormant sur un vieux meuble, le sol ou encore un tapis ? Moi ça m'arrive très régulièrement même si j'essaye de ralentir la cadence pour m’occuper de mon petit frère. Disons qu’on a pas mal d’année d’ignorance à rattraper mutuellement alors j’en profite autant que possible pour apprendre de lui autant qu’il apprend de moi. En plus, je vois mal un gamin de son âge dans ce genre de représentation publique d'une bande d'alcooliques fêtards et totalement en roue libre. Je ne peux pas vraiment lui en vouloir, il doit préférer les câlins, me voir surfer et dormir contre moi, là, c'est plutôt un ramassis de branleur, étudiant en mousse et bimbos écervelées. Bah ouais, ce n'est pas parce que je m'accommode de ce genre de couillon que je cautionne pour autant. Oui, je fais des soirées avec eux jusqu'à pas d'heure, je bois et fume parfois, mais en attendant, là, il est genre un petit 10h du mat et je suis totalement ready. Vous voulez un petit secret sur mes capacités de super surfeur de l'univers ? Bah pas grand-chose en fait, juste que j'assimile très mal ce que je peux ingérer, y compris l'alcool. Adieu indigestion, gueule de bois et j'en passe et bonjour soif et dalle à toutes heure. Personne n'a dit que c'était aussi cool que cela en avait l'air. Pour en revenir à l'heure, pendant qu'ils étaient tous en train de cuver comme des loques, je me baladais dans la maison, saluais deux trois rescapés et prenais la direction de la plage. L'avantage avec ce sport, c'est que quelle que soit ta tenue, sauf si tu as envie de surfer à poil, tu peux le faire tranquillement. La preuve, j'étais encore une fois sans tee-shirt, avec mon long short de surf rouge pétant et ma planche sous le bras. Comment je l'ai récupérée ? Disons que j'ai été assez prévoyant pour savoir que, le lendemain matin, je devrais attendre que ça émerge un peu partout dans la maison pour pouvoir partir. Bah ouais, j’allais bien devoir quitter ce capharnaüm si je voulais revenir pour voir Louise avant de devoir bosser un peu ou surfer encore une fois, mais autre part en emmenant mon petit frangin.
Poser le pied sur la plage vierge, vide et calme, c'était aussi cool que légèrement déprimant. Sur ce point, j'étais un mec assez illogique, vu que je n'aimais pas une plage vide, pas plus qu'une plage bondée et impraticable. Je voulais le juste-milieu pour pouvoir ne pas me sentir seul. Je comprenais très bien mon petit morpion de cadet, car je n'aimais pas plus que lui quand personne ne se trouvait dans les parages. Même un pauvre con, un simple inconnu, ça rendait au moins l'endroit plus vivant. Non parce que là à part du sable, la mer un peu agitée, c'était mort. Je m'étirais en déformant un peu mon énorme tatouage dans le dos, baillais un grand coup, puis en reprenant ma planche après l'avoir planté lâchement dans le sable, j'avançais vers l'eau. Elle n'était pas bien chaude vu l'heure qu'il était, mais rien d'insurmontable. Encore un truc qui me faisait rire quand je voyais les petits malins en quête d'une preuve de leur virilité en saurant dans la flotte un peu froide. Au contraire de ces couillons, je ne criais pas sur les toits que c'était supportable, j'avouais qu'elle n'était pas bien chaude, point. Je n'en faisais pas une montagne et je rentrais progressivement dans l'eau salée et pas mal claire. Admirer la beauté de la mer, la fraîcheur de cette dernière ou encore la population de poisson et autres animaux aquatiques présents dans cette dernière, n'empêchait pas d'être un minimum prudent. J'avais déjà vu de très près un requin ou un dauphin dans un rouleau et ce n'était pas bien jojo.
Je ne sais pas si c'était la déformation professionnelle qui faisait ça, mais je n'étais pas du genre anti-requin ou autre bestioles des océans. Oui, ils attaquaient des gens sur les plages ou dans l'eau, mais la plupart du temps, c'était surtout des abrutis qui avaient voulu faire les fanfarons. Les gens devaient débrancher leur cerveau, je pense. En étant un minimum intelligent, quand tu sais qu'un machin pareil, ça repère du sang à plus d'1 kilomètres de distance, tu ne joues pas avec comme si c'était un hamster. J'étais très bien placé pour savoir cela vu que mon bras gauche avait encore du mal à se plier par moment, surtout au niveau du coude. Pour faire simple, j'avais voulu faire l'andouille en voyant une petite pointe noire non loin de moi dans la flotte. Je suis alors venu l'emmerder, sauf qu'il n'a bien évidemment pas apprécié et m'a choppé sans sommation le coude du bras gauche. Il ne m'a rien arraché, mais le message avait été clair : Lâche-moi la grappe, grand con ou je te bouffe le bras. Autant vous dire que je n'ai clairement pas réitéré ma connerie et que maintenant, j'essaye au maximum de surfer sans emmerder un de ses congénères. En plus, il m'a laissé une belle cicatrice sur le coude, il était énervé le coco, je crois. Par ma faute, donc je pense qu'il avait ses raisons aussi. En un sens, c'est plutôt rare qu'ils viennent nous emmerder vu qu'ils ont l'air d'avoir assez de bouffer pour eux, donc à tous les amateurs de surf, ne vous inquiétez pas vous êtes en paix. Surtout quand il s'agit de faire les cons sur une planche comme la mienne, ah ça vous allez pouvoir vous en donner à cœur joie.
Le son du remous de tout ce liquide presque transparent et remplit de tant de faunes et flore, il n'y avait pas dire, c'était dur de s'en passer. Notamment quand on s'appelait Travis et qu'on en avait fait son métier. J'aurais pu clairement y passer mes journées entre le surf, la plongée et les notes assez nombreuses pour mon boulot, mais cela aurait voulu dire mettre de côté quelqu’un dont j’avais toujours ignoré l’existence avant d’avoir le plaisir de le découvrir. Même si la raison de sa venue et surtout de sa naissance me mirent beaucoup moins en joie. Je savais qu’il se sentait mal à l’aise, totalement étranger à nous et qu'on venait de deux mères différentes, mais je m'en tapais. Je voulais vivre avec ce frère que j’avais pourtant failli ne pas connaitre. Honnêtement si j’avais du virer ces abrutis que je côtoyais, pour faire une soirée jeux vidéo, chips et film avec Louise, je l’aurais fait sans hésitation. J'avais le choix entre continuer de vivre aux côtés de gens qui n'avaient aucun avenir sauf la débauche, qui ne faisait que faire la fête et n'avait pas deux neurones d'actifs ou passer le reste de mon temps à veiller sur une gamin paumé, souvent prit pour une fille et régulièrement martyrisé. Son petit air malheureux quand il était totalement perdu, ses yeux plissés pour me dire que j'étais adorable avant de rougir parce qu’il était gêné, c'était Louise tout craché. Je n’avais pas regretté un seul instant d’avoir fait sa connaissance ni d’avoir pris la décisions de m’en occuper, car sincèrement j »tais pas si naze que ça en grand frère. Enfin pour l'heure, il devait me chercher, pendant que moi, je surfais sur les vagues sans aucun souci et totalement zen. Enfin, c'était faux, car je m'inquiétais de savoir s’il avait réussi à se débrouiller sans paniquer toutes les cinq minutes. Même si j'étais du genre flemmard et relax, me soucier de lui faisait partie des choses les plus importantes dans ma journée.
Sincèrement aujourd'hui la mer était vraiment sympathique avec moi, car je n'avais pas besoin de trop chercher pour avoir un spot de surf correct, pas dangereux et où personne ne s'accumulait comme des sangsues. Cela n'empêchait pas que quand je rentrerais chez moi, j'allais sans doute voir Louise en mode paniqué de la vie avant de courir dans mes bras en m’entendant entrer ou même en me voyant. C'était ma petite arme secrète contre ses crises de panique et tout le mouron qu’il se faisait envers moi : Une immense dose de câlins. Il avait beau se mettre en mode parkinson dès que je quittais ma chambre ou la maison, gonfler les joues en rougissant, quand je lui faisais le sourire made in Travis, celui qui te démonterais un pneu tellement il est spontané, ça le rendait timide, doux et câlin. Je n'allais pas m'en plaindre, même si c'était quand même vachement abusé de ma part de m'en servir aussi facilement sur lui. Je ne voulais pas le manipuler ou contrôler ses gestes, simplement ça évitait qu'on se dispute et ça permettait qu'on reste détendu, câlin et totalement qu’on se prenne pas la tête. Je sais que ça parait dur à croire, mais il était quand même capable de me faire sortir de mon surf et de mes fêtes, ce n'était donc pas pour rien. En plus, j'avais même pris le soin de lui apprendre justement à en faire, du surf. Bon, il n'était pas un expert, il finissait plus souvent dans la flotte que sur la planche, mais il avait au moins le mérite d'essayer. Pas comme les trois-quarts des petits cons du coin venu juste pour se pavaner et qui a la première chute se plaignait en mode Caliméro méritant juste des tartes. Je le redis, je ne suis pas un mec violent, mais s'il y avait bien un truc que je ne supportais pas, c'est que l'on ternisse l'image du surf et de ses pratiquants à cause de quelques petits trous du cul pas capable de se comporter correctement et qui méritaient une bonne correction. Houla, on aurait dit mon père avocat ou un de ses collègues, Travis mon gars, tu fais vieux jeu-là, alors on surfe et on se calme.
Je commençais à croiser plusieurs personnes sur l'eau et je me rendais compte qu'il y en avait pas mal qui venaient de la fête qu'on avait faite hier. C'était la poilade de voir leurs tronches décoiffées, totalement crades ou mal réveillées sur la planche, sereins, mais en bad total. Ah bah voilà ce qui arrivait quand on se pensait le maître du monde et de l'alcool alors qu'on ne tenait pas deux verres et qu'on en était déjà à son quatrième coma éthylique en quelque semaine. Ah la jeunesse comme aurait dit ma chère maman et elle n'avait pas totalement tort. On partait quand même relativement en couilles, enfin surtout eux et peu étaient actuellement présentables. Sauf lui, sauf Louise, mon petit rayon de soleil Louise. Je voyais depuis une vague des demoiselles s'amener tout en prenant un rouleau sans me viander. J’avais deviné que tôt ou tard j’allais avoir une ou deux poufs au popotin en quête de ce qui se cachait dans mon short de surf, mais non. La maîtrise d'un homme, d'un vrai, bon ok, j'avais surtout eu de la chance de pas tomber, mais chut. Alors qu'elles m'étaient apparues comme une horde de harpie qui se prenait pour des pin-up sur la plage, avec la fatigue, l'ennui et la chaleur sur le dos en plus, voilà qu'elles m’attendaient. Je fronçais les sourcils sur ma planche et en avançant vers la plage tout en restant dans l'eau, je les apercevais allongée sur le sable. Elles ne s'étaient pas barré ce qui était tout sauf une bonne nouvelle à vrai dire. Je ne dirais pas qu’elles n’avaient pas raison de faire le guet pour me choper surtout quand je mettais trois plombes à revenir du surf, sauf que là j’avais envie d’avoir la paix. Louise devait encore une fois faire les cents pas dans la maison et si je ne me magnais pas un peu, j’en connaissais une du surnom de maman qui allait me tirer les oreilles.
J'avais bien surfé pour une matinée comme celle-là et les gamins commençaient déjà à s'amener dans l'eau par paquet de douze, donc autant dire qu'il était temps de sortir de l'eau. En plus, il y avait Louise qui m'attendait encore en courant sans doute dans la maison comme Freakazoid ! . Je n'avais pas envie d'en rajouter une louche sur le fait qu'elle devait quand même m'en vouloir d'avoir été à une fête sans vraiment laisser de mot sur sa table de chevet, mais si je l'avais réveillé, je savais que j’aurais pas pu me résoudre à sortir or j’en avais parfois besoin. Quittant l'eau en avançant sur le sable pas à pas, ma planche sous le bras, j'arrivais enfin au niveau des greluches. Je les esquivais sans rien dire en ramassant sa serviette et en portant ma planche pour filer vers mon van. Elles devaient me trouver totalement chelou, mais je m’en foutais autant que d’ordinaire, voir plus encore. Je me séchais un peu à l’arrache avant d’allumer le contact pour quitter le parking, cette bande de timbré et rentrer en terre connue et paisible. Je savais que j’allais revoir ma mère, mon petit frère et que j’allas pouvoir décompresser plus normalement avec eux. Je fonçais dans ma voiture vers la maison a une sacrée allures et en entrant je prenais directement Louise dans les bras.
« J’ai fait la fête, j’ai surfé comme toujours, mais je suis toujours aussi heureux de te retrouver petite bouille d’ange. Je sais que je t’ai manqué, mais maintenant je suis là. ~ »
HISTOIRE
L'histoire de votre personnage. Il n'y a pas de minimum, tant que celle-ci contient toutes les informations nécessaires.
Laël Smith
Professeur de Philologie
Date d'inscription : 14/02/2016 Messages : 193 Age (du personnage) : 32 ans. Orientation sexuelle : ... Il est déjà fiancé. Etudes/Métier : Représentant littéraire. Pounds : 1199
Mar 19 Juil - 12:07
AAAAAAAAAAAAAAAAAACE. Oh, le cri du fanboy est puissant. ACE. En plus t'as trouvé une image super belle de lui pour la bannia de ta fiche ( et ton ava gère, mon petit ).
De ce que j'ai pu lire, tout ça m'a l'air très fort intéressant. ( Conrad, j'adore ce prénom, Travis aussi ) ( ton pseudo gère... girl/man, il gère ) Et septième année chez les étudiants, j'pense que t'es parmi les premiers à être aussi avancé. En Bio et en Médecine, dude, let me love you.
Bienvenue ici, sweetie. ~♥ J'ai plus que hâte de lire ta fiche en entier donc j'te mets absolument pas la pression vu que je ne suis pas absolument pas un enfoiré doublé d'un connard de la pire espèce, non, absolument pas, n'est-ce pas.... ~
Invité
Invité
Mar 19 Juil - 16:08
Welcome !
Xander Winchester
Chef de gang
Date d'inscription : 29/09/2015 Messages : 383 Age (du personnage) : 30 ans Orientation sexuelle : Hétérosexuel Etudes/Métier : Chef de gang Pounds : 4354
Ven 22 Juil - 20:07
Bienvenue ici et bon courage pour la suite ! :)
Invité
Invité
Sam 23 Juil - 0:41
Bienvenuuuuuuu, j'espère que tu ne seras pas découragé par l'inactivité saisonnière du fofo o/// C'est juste car nous sommes en vacances :D En tout cas bienvenu chez nous et je te souhaite bonne chance pour ta fiche.
Finn McIntosh
Agent d'entretien
Date d'inscription : 04/07/2016 Messages : 113 Age (du personnage) : 27 ans Orientation sexuelle : Bisexuel Etudes/Métier : Agent de nettoyage Pounds : 1317
Lun 25 Juil - 9:10
AAAAAAAAAAAACE! TU ES VIVANT! T^T
Ah, excuse ce moment d'émotion mais Ace est mon personnage préféré de la série et j'ai chialé pendant des mois après sa mort, donc le voir là vivant et bien portant...
Bwef, welcome buddy! Et bon courage pour la fin de ta fiche. o/
Nolan T. Connor
Surveillant à mi-temps
Date d'inscription : 28/07/2015 Messages : 521 Age (du personnage) : 22 ans Orientation sexuelle : Homosexuel Etudes/Métier : Lettres Classiques - Surveillant à mi-temps Pounds : 29942
Sam 6 Aoû - 17:01
Hello !
Les deux semaines de délais sont terminées ! Est ce que tu as besoin d'un délai supplémentaire? N'hésite pas à demander, on peut toujours s'arranger.
Si je n'ai pas de nouvelle de toi d'ici la semaine prochaine, ta fiche sera archivée !
Reviens :c
Kiseki Nakajima
Éducateur de jeunes enfants
Date d'inscription : 18/06/2016 Messages : 213 Pounds : 1219
Dim 14 Aoû - 19:31
Comme dis sur skype, je déplace la fiche en attente de ta décision !