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Dr. Eli Clarke

Eliott Clarke
Eliott Clarke
Psychologue
Date d'inscription : 13/02/2016
Messages : 21
Age (du personnage) : 35 ans
Orientation sexuelle : Homosexuel
Etudes/Métier : Psychologue
Pounds : 952
Jeu 13 Oct - 8:09


Eliott Clarke
NOM : Clarke
PRÉNOM : Eliott
ÂGE : 35 ans
SEXE : Masc.
NATIONALITÉ : Anglaise
ORIENTATION SEXUELLE: Homosexuel
SITUATION AMOUREUSE : Célibataire
GROUPE : Citoyen
MÉTIER : Psychologue
OPTION(S) : ici
AVATAR : Silbe de Littleulvar
IN REAL LIFE
PSEUDO : Mouton
ÂGE : 22 ans
COMMENT AVEZ-VOUS CONNU LE FORUM ? Grâce à Jojo
PETIT MOT : 'suis là, me v'là /out/
CODE : ♕ OK par Xander ♕

PHYSIQUE / MENTAL
J'adorais sa voix lorsqu'il atteignait la jouissance. Elle devenait plus légère, plus féminine, un peu moins grave. Il fermait toujours les yeux pour je-ne-sais quelle raison, mais cela faisait déjà plus de quelques mois que l'on se fréquentait donc j'étais devenu habitué. Clarke était un bon amant. Il était à l'écoute de mes besoins et il savait me surprendre avec un geste sensuel que je ne lui connaissais pas. Je ne cessais de le découvrir. Ce soir, c'était lui qui avait pris les devants et qui avait pris le dessus. J'avais apprécié son élan de passion même si je préférais être celui qui lui faisait perdre la tête. Devant le miroir, il avait détaché ses longs cheveux noirs et les avait placés sur son épaule gauche comme à son habitude à l'aide de ses doigts. Il avait eu l'air ailleurs jusqu'à ce que ses prunelles noisettes croisent mon regard par la glace qui lui faisait face.

- Long day ? avais-je lancé avec un sourire sournois.

Bien des gens le voyaient comme étant aussi froid que le verre de ce miroir. Je crois que la faute revient à ses yeux qui vous regarde, vous transperce comme s'ils voyaient tout de vous, mais que ça lui était indifférent. Eliott souriait et riait comme tous et chacun. Il n'était pas particulièrement asocial. Il acceptait de prendre un verre si on lui demandait avec gentillesse. Cependant, il ne semblait jamais être présent. Il donnait toujours l'impression de réfléchir ou d'être simplement perdu dans ses pensées. Peut-être était-ce une mauvaise habitude qu'il avait cultivé en tant que psychologue. Non, Clarke ne donnait pas une première impression chaleureuse bien que la chaleur existait au creux de ses paumes, à la commissure de ses lèvres et à son ventre.

C'est pourquoi j'aimais le voir et l'entendre à l'apogée d'une relation sexuelle. C'était l'un des rares moments où Clarke était présent et chaud. Je me sentais plutôt spécial d'avoir ce lien avec lui. Oh il ne fallait pas s'en faire, je n'étais plus l'un de ses patients. Nous n'avions commencé ce partenariat qu'après nos rencontres dans son fameux bureau.

J'avais été surpris de plusieurs choses en découvrant la première fois son corps. D'abord, Eliott possédait un tatouage. Oui, moi aussi je ne l'aurais pas cru. À sa défense, c'est assez simple. Juste après la courbure de son deltoïde droit, un mince trait noir d'environ un centimètre trace la circonférence de son bras. Aucune interruption dans la ligne, aucune texture, juste un trait, voilà. Lorsque je l'avais interrogé sur l'encre à sa peau, il avait eu un de ces nombreux faibles sourires et avait répondu: It's important, personal. Je n'avais pas chercher à en savoir plus. Il avait ses secrets et j'avais les miens. J'avais aussi découvert la constellation de grains de beauté qui picotait son dos pâle et le reste de son corps ici et là donnant de la complexité à sa peau dépourvue de quelconques marques. Bien sûr, il avait une ou deux cicatrices importantes, vestige d'un passé un peu rebelle me disait-il.

C'était difficile à croire. Docteur Clarke avait un passé rebelle ? Avec nos précédentes rencontres professionnelles, jamais je ne l'aurais imaginé. Même qu'au début de notre fréquentation légère, je le suivais dans des endroits qui lui ressemblaient. C'était toujours élégant, classe, calme et ces restaurants, cafés et autres frôlaient parfois le snobisme. Cependant, quelques indices finirent par attirer mon oeil. Par exemple, la première fois que je fus chez lui, je trouvai sa collection complète du groupe System of a Down, bien cachée sous des albums de musique classique. Au début, j'avais pensé que ce n'était qu'une ancienne passion, mais en regardant de plus près, je m'étais aperçu de la poussière qui recouvrait la musique vieillarde au contraire de la musique rock... métal ? Je n'étais pas doué dans les genres. Ce qui était certain, c'était que Eli aimait particulièrement ce groupe et qu'il l'écoutait encore aujourd'hui. Un autre exemple du passé agité du psychologue avait été bien dissimulé. Il me fallut quelques visites à son appartement pour que je m'aperçoive de l'écriteau de bois foncé où il était gravé le mot "Psychologist" en blanc, majuscule. Le mince panneau avait été laissé à plat sur l'une des étagères de la bibliothèque. Après maintes supplications qui s'étalèrent sur plusieurs soirées, Eliott s'avoua vaincu. Plus il avait insisté sur son silence, plus j'étais devenu curieux. Mon amant avait ri, un peu gêné, puis il me raconta l'histoire. En fait, le panneau avait été volé d'un bâtiment abandonné. Il avait parfois traîné dans des endroits illégaux et cette fois, il avait ramené un souvenir. Il l'avait gardé tout ce temps. Cette histoire me plut. J'aimais imaginer le sérieux, classy gentleman faire les 400 coups. Ça lui donnait du charme.

Quoi dire d'autre... hm... Oh. Eliott souffre aussi d'une maladie. Non, il n'est pas en danger de mort, pas le moins du monde. Il souffre de la maladie cœliaque ou, faussement dit, d'une intolérance au gluten. C'est bien réel et selon Dr c'est un sujet très sérieux. Ne vous sentez toutefois pas coupable de rire un peu de lui - je l'ai fais parmi tant d'autre. Avec ce fameux mouvement de mode qui consiste à éliminer tout gluten de son alimentation, Clarke était assez heureux de voir les compagnies faire de même avec leurs produits. Cependant, il a toujours tendance à se défendre agressivement si on le pense snob. Il est très conscient que certaines personnes vont le juger et le mettre dans le panier des gens qui réduisent inutilement leur consommation de gluten. Faire l'épicerie avec Eli se trouve à être particulièrement hilarant pour ma part.

Entre chien et chat, il adore le chat disant que les canins sont plus difficile d'entretien, mais je l'ai déjà vu approcher des toutous avec le sourire. Il aime les animaux, juste qu'il préfère les assassins cracheurs. Il déteste faire de l'exercice, mais prend toujours les escaliers. Je doute qu'il sait cuisiner, car il va toujours manger au resto. Il est un amateur de café bien sûr et il déteste le thé ; un traître à sa patrie. Son mot préféré, souvent grogner dans sa barbe inexistante, est bullocks. Il a de belles mains de pianiste aux doigts minces et longs, mais il a souvent ces derniers dans la bouche. Il ronge ses ongles, le p'tit con. De si jolies mains, mais toujours abîmées. Oh ! Eliott Clarke porte aussi des lunettes pour améliorer sa vue de proche par exemple quand il lit ses nombreux livres. Il porte toujours des verres de contact à l'extérieur pour je-ne-sais quelle raison. Il soupire d'ailleurs toujours de soulagement lorsqu'il les retire en arrivant chez lui.

On the top of my head... That's about what Eliott Clarke is.


HISTOIRE
- Yes, chief. I can see him next monday. What's the name ?

- Silas Lloyd and thank you again, Dr. Clarke. ...Dr. Clarke ?

- ...Yes. I'll see him next monday. Thank you.


Le psychologue resta immobile même une fois que la ligne fut coupée, le téléphone collé à l'oreille. Lentement, hésitant, il finit par replacer l'appareil sur sa base. Il était sous le choc, car il n'avait pas entendu ce nom depuis des années. Silas Lloyd. Silas Lloyd. Silas Lloyd. Eliott eut un frisson qui le sortit de son air catatonique. Il n'était même pas certain si c'était agréable ou non. Il passa une main dans ses cheveux en soupirant, puis il quitta son bureau pour s'approcher de la fenêtre, pensif.

Tout revenait par flash. Une seconde il était à l'hôtel, il y a presque quatre ans ; la seconde suivante, il riait du haut de ses 18 ans en classe. C'était troublant et nostalgique.
   
Sa vie n'avait pas été une suite d'obstacles ou d'événements catastrophiques. Du moins, c'était sa propre vision sur son passé. Si on lui demandait comment avait été son enfance, il répondrait : sans importance. Non, il ne l'avait pas eu particulièrement facile non plus, mais c'était normal. Papa en congé de maladie depuis une éternité, maman qui travaillait comme serveuse dans un restaurant quelconque. Il ne les avait jamais vu comme des humains très avancés. Ses parents buvaient, fumaient, s'intéressaient aux séries télévisées les plus stupides et n'avaient rien de mieux à faire que de parler des autres. Bref, il n'avait pas grandi entouré de livres. Pourtant, il avait personnellement toujours été intéressé à l'école. C'était comme s'il n'avait pas partagé l'ADN que ses géniteurs. Il s'était même souvent demandé s'il n'avait pas été adopté. De toute manière, c'était tant mieux. Tout jeune, il avait eu de l'ambition. Il avait regardé ses parents de l'extérieur en se rappelant chaque jour que jamais il ne finirait comme eux. Dès qu'il eut l'âge de réfléchir par lui-même, il avait su qu'il était destiné à être plus que ça.

Les problèmes qu'Eliott considère normaux, ce sont ceux qu'il eut à choquer culturellement ses géniteurs. Ils n'avaient pas les mêmes visions, les mêmes intérêts, les mêmes valeurs. Ça causait des tensions et beaucoup de frustration de son côté. Jamais il n'avait eu des parents intéressés à partager son monde. Chaque fois, ils le trouvaient stupide ou ils ne comprenaient tout simplement pas. Ce fut bien là la difficulté de son enfance, mais quel enfant ne passe pas par ce chemin ? L'incompréhension entre géniteur et progéniture est très fréquente.

L'étape suivante, l'enfant refoulait sa frustration et le refoulé ressortait de la mauvaise manière. Son environnement l'avait bien sûr poussé à être un peu rebelle à sa manière. Il ne brisait rien et il ne se battait pas, mais il restait dans son coin en silence se pensant plus haut que le reste. C'était en loup solitaire qu'il fit la rencontre de Silas Lloyd en entrant au lycée et cette rencontre le changea à jamais.

Il l'avait remarqué dès les premiers jours et il avait été facile de le voir à travers la foule, car Lloyd avait doublé son année scolaire et il était donc plus vieux que la plupart des autres élèves. Tout le monde savait qui il était et si une pauvre âme osait l'oublier, il n'hésitait pas à lui faire épeler son nom. Silas était un rebelle, un vrai de vrai, un monstre même. Violent, arrogant, sans pitié. Eliott l'avait étrangement vu comme un modèle à suivre. Oh, non, il n'avait jamais été violent. Ce n'était pas tant ce côté de l'autre qui l'attirait. C'était plutôt qu'en regardant Silas Lloyd, Eli avait vu un être libre de faire ce qu'il veut, dire ce qu'il veut et sans peur. Il avait ressenti beaucoup d'admiration pour l'être coloré et ce fut après une brève conversation avec son idole qu'il était devenu un parfait side-kick. Bon, il n'avait pas toujours suivi Silas dans ses conneries, mais il était le premier à le supporter et à l'écouter parler avec fierté de ses coups. C'était pendant ces quelques années qu'il s'était senti libre et vivant. Ça avait été les bonnes années.

Clarke observa un moment la pluie qui lavait la ville et le vent battre les branches fragiles de l'arbre non loin, puis il changea de focus en fixant son propre reflet dans la vitre. Ça ne pouvait pas être Silas, pensa-t-il. Cela pouvait bien être un autre homme qui portait ce prénom si particulier et qui était par hasard policier. Ça ne pouvait pas être lui. La vie ne pouvait pas être si cruelle. Ses prunelles noisettes s'abaissèrent pourtant. Il essayait de se convaincre plus qu'autre chose. D'un geste lent, il vint desserrer le nœud de sa cravate ayant l'impression d'avoir plutôt un nœud coulant autour du cou, puis il s'éloigna de la fenêtre pour retourner au bureau. Il se devait de ramasser ses documents, car il était temps de rentrer.

Leur premier baiser avait été révélateur. D'abord doux, timide, puis assuré, passionné. Ça avait été comme dans les livres, les films, comme raconté dans les chansons. Tout son être l'avait ressenti et bien que ce ne fut que son cœur qui s'était emballé, il avait vécu le feux d'artifice partout dans son corps. L'écho de cette sensation pouvait encore être revécu à travers les souvenirs qu'Eliott gardaient précieusement pour lui. Les années qui suivies furent des plus délicieuses. À l'école, ils ne s'étaient jamais vraiment cachés, mais ils n'en avaient jamais fait un spectacle. Aujourd'hui, Eli ne se souvenait pas si les autres élèves savaient, mais ne disaient rien ou s'ils n'avaient juste jamais remarqués. Par contre, lorsqu'ils se retrouvaient seuls... c'était été la folie. Le sexe était évidemment une grande partie de leur relation. Pas parce qu'ils avaient été des obsédés, du moins, pas plus que n'importe quel adolescent, mais plutôt qu'ils ne pouvaient s'en empêcher. Chaque fois, leur corps avait été comme deux aimants de grande force ou comme deux roches qui claquent ensemble pour créer des étincelles. C'était ça, en fait, des étincelles. Le plus comique, fut lorsqu'ils déménagèrent en appartement chacun de leur côté. Eliott avait travaillé à la sueur de son front en jonglant école et boulots pendant tout le lycée pour quitter le nid familiale puant au plus vite. Bref, ils n'avaient pas pu partager une demeure ensemble allant à des université différentes, mais si cela avait créer une certaine distance entre les deux, cela avait aussi créer des baises encore plus incroyable. Parfois, ils ne se rendaient pas même à la chambre et ils s'étaient fait prendre plus d'une fois par un ou une colocataire. Ça avait été un jeu très amusant.

Cependant, tout a une fin. Plus ils se fréquentaient, plus ils avaient vécu de tensions. Silas était plus social et Eliott ne l'avait jamais été. Avec du recul, le psychologue avait compris qu'il avait été d'une jalousie maladive et qu'il avait étouffé son amant. Sur certains points, ils étaient complètement différents et ils en étaient devenus à se détruire l'un l'autre. Les disputes s'accumulèrent jusqu'à l'explosion. C'était lui qui avait laissé Silas.

- We can't do this anymore ! I can't do this anymore. You're killing me and I'm killing you. I don't need this... I don't need you.

- Then why are you crying ?


... Parce que je t'aime, idiot. Eli savait qu'il aurait dû répondre, mais il ne l'avait pas fait. Il était sorti sans plus. S'en suivit de plusieurs semaines de douleur aiguë et de nuits où il s'était endormi en larme. Ça avait fait si mal, mais il avait été certain d'avoir pris la bonne décision. Il ne regrettait rien ou presque. Ils avaient été trop différent pour fonctionner. Ça avait été la fin.

Malheureusement, la vie est cruelle. Eliott s'était retrouvé à croiser le chemin de son amant perdu plus d'une fois. La première fois avait été à un party quelconque. Il ne se souvient pas c'était pourquoi. Ils s'étaient revus et ils n'avaient pu s'empêcher de se dire au revoir à nouveau comme un ancien fumeur qui s'allume une cigarette après cinq ans d'arrêt. Ça avait été bon comme toujours et ça avait fait mal comme toujours, mais ils n'avaient échangé aucun mot. Au cours des dernières années, la situation se reproduit quelques fois, mais chaque fois, c'était pareil. Leur corps se retrouvait, mais ils ne prenaient pas de nouvelles comme si s'adresser la parole briserait la magie de l'instant, comme si savoir ce que l'un faisait sans l'autre était insoutenable. Alors ils ne s'étaient rien dit.

La dernière fois... il y a trois ou quatre ans, Eliott était descendu pour prendre le métro et alors qu'il avait levé les yeux de l'écran de son cellulaire, il avait croisé le regard d'un homme qui le fixait de l'autre côté des railles. Il n'avait jamais quitté ses yeux, il n'avait pas bougé, même lorsque son métro arrivait. Les passagers sortaient, d'autres entraient, mais lui n'avait pas bougé. Le métro reparti sans lui levant le rideau qui le séparait de Silas et alors, sans se dire un mot, ils quittèrent tout deux les railles pour se retrouver. Ça avait été dans un hôtel, le plus près. Le sexe avait été... pas besoin de le préciser en fait, vous vous en doutez.

Ses papiers étaient en ordre, les dossiers étaient placés en ordre alphabétique et ils prenaient maintenant place dans son sac à bandoulière en cuir noir. Eliott glissa la ganse sur son épaule et prit son manteau encore posé sur le dossier de la chaise avant de sortir de son bureau. Il afficha un sourire poli aux collègues qu'il croisa dans le couloir et salua la secrétaire en la remerciant de son travail. Dehors, il n'enfila pas son manteau et il n'accéléra pas son pas jusqu'à sa voiture laissant la pluie le tremper et le vent le fouetter. Le chemin du retour se fit tranquillement à l'exception qu'il évita de justesse un accident étant trop pensif. La petite attaque de cœur fut assez pour qu'il se concentre sur la route. Une fois chez lui, un modeste, mais charmant condominium, il fit attention en ouvrant la porte pour ne pas que Chaplin, son chat Ceylan grisâtre, s'échappe même s'il n'avait jamais été fuyard. Le sac trouva sa place rapidement au sol avec le manteau pour avoir les bras libres qui vinrent presque le félin. Déjà le moteur ronronnant s'éleva alors que le psychologue câlinait l'animal en se dirigeant vers la cuisine. Le chat fut nourrit, l'homme grignota, puis ce dernier s'installa au salon. La télévision fut allumée, mais le son resta très bas, car Eliott préférait lire. Le silence lui était pesant alors il avait pris cette mauvaise habitude.

Après avoir lu deux pages, Eli se rendit compte que ses yeux avaient juste glisser sans que son cerveau n'enregistre le moindre sens. Il n'avait pas la tête à se concentrer. Il chigna et renversa la tête vers l'arrière l'accotant sur l'accoudoir du sofa - il lisait toujours en position couché - avant de soupirer bruyamment.

Suite à l'incident de l'hôtel, il avait fait de vrais efforts pour effacer Silas de sa vie. Il avait recommencé à sortir, à essayer de s'investir dans une relation, mais il n'avait rien eu de sérieux. Encore une fois, alors qu'il voulait couper les liens, la vie en créait de nouveaux. C'était comme s'il ne pouvait pas se débarrasser de lui. C'était stupide. Non, il était maître de son destin. S'il voulait se défaire de cet homme qui le hantait, il allait le faire. De toute manière, il y avait encore la possibilité que ce ne soit pas lui qu'il allait voir lundi. Il y avait de l'espoir. Peut-être que sa vie allait se continuer sans nouvelle rencontre avec Silas... Peut-être...

Et puis merde, qui essayait-il de convaincre.
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Invité
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Jeu 13 Oct - 8:54
Bienvenue à toi, amuses-toi parmi nous mais avant bon courage pour ta fiche ! <3
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Invité
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Jeu 13 Oct - 12:12
Bienvenue ^O^ Bon courage pour finir ta fiche !
Tysha K. Reed
Tysha K. Reed
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Jeu 13 Oct - 15:40
Oh my gosh l'image de ton vavatar let me love you dear, et même si t'en as pas envie I love you already. La bannia de ta fiche laisse de belles choses à présager, fufufu.

Et viens, viens donc rehausser la barre des trentenaires. Nous en manquons cruellement. Tu peux pas taper dans la barre des quarante ? //vlan

Rebienvenue ici, sweetie. ~♥
J'ai hâte de lire ta fiche en entier, avec un perso psychologue ça promet de belles choses. Kufufu...
Eve Clayton
Eve Clayton
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Ven 14 Oct - 2:27
Un citoyen de plus, un !
Psychologue ? Tu vas avoir du boulot sur ce forum remplit de tarés ou de paumés de la vie 8'D
Rebienvenue parmi nous !
Eliott Clarke
Eliott Clarke
Psychologue
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Mar 15 Nov - 2:01
FINIS ! BLOODY HELL FINALLY !
Bon, ça m'a pris un mois, mais fuck oui, j'ai finis !
Tysha K. Reed
Tysha K. Reed
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Mar 15 Nov - 9:53
Je m'occuperai de ton cas sooner, ma chérie.
Fufufu...

Il te manque le code du règlement cela dit, sweetie. ~
( si tu le trouves pas d'ici demain, j'te donnerai un chamallow-gps )
Eliott Clarke
Eliott Clarke
Psychologue
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Sam 19 Nov - 20:25
Mon code est correct et tout ! ♥
Tysha K. Reed
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Mar 22 Nov - 18:00


VALIDATION
Déjà, sweetie, pardon pour le retard. >>.<<" J'ai pas d'excuse votre Honneur, j'étais en train de bosser comme un taré sur mes trad's en train d'oublier que les forums existaient en train d'essayer de résoudre mes soucis de wifi qui marche plus bloody git... eh... j'étais. 8D Bref, osef de moi c'est de toi qu'il s'agit. êwe

COUCOU. \O/
( j'y tenais ) ( oui j'passe pour un con mais j'm'en fous /O/ )

Oh my gosh, honey, ta fiche est tout proprement splendide. Bon, il y a un petit truc que je vais aborder avec toi mais qui n'est... rien, en soi, seulement quelque chose à laquelle tu dois faire attention. ;p Sans que ça devienne un frein à ton inspiration ou ta motivation de rpiste hein. Ö Ouais, il s'agit bien de quelques fautes qui se glissent par-ci par-là, mais en soi il te suffit juste de te relire et j'suis certain que tu materais toutes ces malédictions de Roger. \O/

Premièrement, une petite faute que tu fais assez souvent, c'est de confrondre -ais avec -ait* pour l'imparfait, ou dans la conjugaison de manière générale, mettre un "s" là où un "t*" devrait être ( et certaines fois tu l'oublies mais... bon, qui n'oublie rien en ce bas monde ? Bah ouais, personne uU ). ;; Le pauvre "t", tu veux qu'un tueur se transforme en sueur ? D8 ( ... ouais... j'me casse pour cette vanne XD ) Rien de bien grave hein, ne t'y trompes pas. Ö Je tiens juste à le marquer parce que... bah écoutes, j'suis un chieur hein, et un chieur ça fait chier. 8D Deuxièmement... attention, on ne dit pas "antisocial" mais "asocial*". ;p Pourquoi ? Bah... c'est le français hein... il a été mon mentor en matière de chiantisation, héhé, ça se voit pas, hein ? 8D Hein ? 8DD ... Bref. xD Troisièmement... hahaha, t'as cru qu'il y en avait un ? Y en pas. 8D Ah, qu'est-ce que je suis chiant quand même. XD

Bon, passons aux choses sérieuses honey. Déjà de une, après lecture de ta fiche je n'ai eu qu'une pensée : j'ai hâte d'avoir le point de vue de Silas. Enfin bref...

Pour le physique/mental... Je n'ai absolument rien à dire. C'est écrit de manière fluide, c'est limpide, y a pas mal de choses qui sont plus dans la suggestion, l'implicite que l'explicite, et ça ma chère nièce, c'est quelque chose que j'affectionne du plus profond de mon coeur. *Q*' Je ne te dirais pas que le point de vue externe est un excellent choix ( hahaha... ) ( erhm, pardon, blague de littéraire prétéritionnel //vlan ), mais maintenant tu le sais. :face: Belles descriptions, belle aisance dans l'écriture aussi. Donc ? Bah j'ai rien de plus à dire. 8D

L'histoire... déjà, une description juste de l'enfance qui m'a fait hocher la tête à de nombreuses reprises - même s'il y a certaines choses que j'aurais formulé différemment, mais là c'est moi donc on s'en fout de moi vu qu'on parle de ton personnage et de ton style d'écriture putain de merde je sais plus ce que je disais avec mon envolée trait-d'unionesque *s'étouffe*' -, et là-dessus je n'ai rien à y redire. =w= C'est beau, c'est juste, y a pas d'autres mots. *w*' Ensuite, j'en ai pas parlé pour le physique/mental mais bordel tu as toute ma gratitude pour les dialogues en anglais. *QQQQ*' Merci de rappeler que ça se passe à Londres quand même. êwe ( fais gaffe, y a quelques anglicismes qui se glissent dans tes phrases btw ) ( mais bon, j'te lancerais pas la pierre ; j'en fais aussi 8D ) Quand tu te lances dans la relation avec Silas, grande partie de la vie d'Eli vu comment tu en parles, ... gosh tu passes de beau et juste à splendide. C'est putainement splendide honey, ton style d'écriture dessert parfaitement ton idée et... c'est splendide. Voilà. J'ai rien de plus à dire et tu me coupes la chique sous le nez 'té, mon salaire d'emmerdeur est en train d'se faire la malle TToTT. Le moment de la rupture est d'autant plus beau que, mine de rien, pas mal de couples sont passés par cette étape-là ( auto-destruction j'entends ). Tu ne le décris pas, tu l'écris. C'est con comme différence, mais j'y tiens, et c'est ce qui rend toute ta fiche splendide ( en plus du vocabulaire et du ton que tu instaures et que tu gardes en le maîtrisant bien jusqu'à la fin *\O/* ). Voilà.

C'est tout ce que j'ai dire Watson, à part un éloge que je vais arrêter de filer parce que mon pavé commence à être pavéisement pavéesque ( oui j'invente des mots madame, j'ose faire des néologismes fuh ). Maintenant, passes à l'étape administrative honey, tu connais la maison j'te laisse tout fignioler. ♥

♙ Aller recenser ton avatar ;
♙ Créer ta fiche de relations ;
♙ Demander un rp ;
♙ Demander un logement, mais uniquement si tu penses en avoir besoin pour rp,
♙ Créer ton téléphone et ton Twitter si tu le souhaites ;
♙ Et si tu es un dc, n’oublie surtout pas d’aller l’indiquer ici !

Bon jeu à toi, amuses-toi bien, pas de prise de tête. /O/
Have fun, sweetie. ~♥
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