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Never disturb a sleeping bear || I L Y A

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Sam 26 Nov - 20:01


Ilya Aschenberner Lindholm
NOM : Lindholm.
PRÉNOM : Ilya Aschenberner.
ÂGE : 48 ans.
SEXE : Masculin.
NATIONALITÉ : Allemand.
ORIENTATION SEXUELLE: Pansexuel.
SITUATION AMOUREUSE : Divorcé.
GROUPE : Personnel.
ANNÉE / MÉTIER : Bibliothécaire à l'Université.|| Ex-Champion Boxeur. [Poids lourd]
OPTION(S) : ///
AVATAR : Garrett Hawke - Dragon Age 2.
IN REAL LIFE
PSEUDO : Edgy Dad. Call me Daddy.
ÂGE : 404 not found lmao
COMMENT AVEZ-VOUS CONNU LE FORUM ? L'était dans mes favs' depuis trop longtemps i guess.
PETIT MOT : ♥♥♥
CODE :

PHYSIQUE / MENTAL
Joueur • Ducon est un peu gamin malgré son âge • il lui manque probablement une case ou deux, au final • paresseux • c'est une vraie patate quand il est flemmard • il est un peu excentrique • probablement horny H24 • il est un p'tit peu narcissique et s'assume à 100% sur ce fait • c'est un vrai papa poule quand il s'attache • pro musicien, il sait jouer de la guitare et de la batterie • pedobear alert • bisounours dans l'âme, gaffe aux câlins musclés • il connaît quedal aux jeux vidéos • fanatique de moto, il en possède une • probablement un peu nudiste • il est nul en cuisine, mange majoritairement du congelé ou restaurant • il a le crâne solide, c'est une tête en l'air master du pétage de cadre de porte • il adore les balades nocturnes sur sa moto • c'est un avide lecteur, mine de rien • souvent scotché à son téléphone • sa musique ? généralement du classique •il a la dent sucré • c'est un maniaque aux chats, il a un main coon depuis trois ans nommé Arthur • il fait parfois du patinage l'hiver, c'est drôle • il a les mains un peu baladeuses • il est orgueilleux as fuck et tien son bout quand il sait qu'il a raison • se trompe souvent • ne pas déranger quand il dort, attention violence • grognon au matin, besoin de son chocolat chaud • grand mangeur, un homme ça se gagne toujours par l'estomac • c'est un daddy sous tous les aspects • il adore faire des blagues nulles... que personne ne va rire • en savoir plus ? ask him. Daddy a encore pleins de petits trucs cachés qui pourraient surprendent. ♥

T'as déjà vue un ours ? Non ? Maintenant si. Grand, musculeux, du poil un peu partout, t'en a un devant les yeux.

Parsque ouais, «l'ours», tu le porte bien. Ce nom te colle depuis le temps où t'étais sur le ring de boxe, c'était ton surnom. C'est une part de toi, car ton physique laisse tout à croire. Tu es massif, peut importe sous quel angle on t'admire, que ce sois de par tes épaules ou de ta tête jusqu'à tes pieds. Si on ne te comparerait pas à ces mammifères majestueux, tu serais probablement l'équivalent d'un chêne géant.

Ta taille est probablement l'unique chose qu'on remarque, gracieuseté d'une adolescence de souffrance et de maladie constante. Problème d'hypophyse aujourd'hui régler, c'est du haut de tes deux mètres trente que tu portes un regard sur le monde- tu es officiellement parmi les hommes les plus grands de la terre. Mais loin d'être le plus lourd, ceci et ce, malgré ta corpulence qui pourrait y laisser croire. Tu es grand et large, tes bras sont des troncs et tes cuisses, tout pareil. Tu es impressionnant et un simple coup d'oeil n'est probablement pas suffisant pour pouvoir admirer ta splendeur- parsque ouais, t'es un peu narcissique sur les bords. T'approuve entièrement le fait que tu sois sexy, autant de cette mâchoire carrée aux lignes alléchantes qu'à ce regard de prédateur et sombre. Et ce, sans compter ce sourire charmeur, qui s'étire sur tes lèvres rugueuses et légèrement craquelées par la vie et les températures changeantes. T'es le contraire total de ton frère qui est petit et peu musclé, toi, t'es une montagne. Tu es une force de la nature, parcourut des rivières de veines qui montrent le bout de leur nez lorsque tes muscles font un effort- vue qui n'est pas rare.

T'es un athlète, te promener torse nu, c'est limite une religion. Non seulement parsque c'est plus agréable, mais aussi parsque tu ne caches pas le fait que t'aimes bien te montrer. Tu sais que tes abdos font tourner les têtes, que ta toison fait jalousée bon nombre d'hommes qui aimeraient dégagés autant de virilité. Dur de t'arriver à la cheville, t'es l'homme par excellence. Tu sais que tu n'as rien de typique et ça, ça te plaît vachement. Mais y'a pas que ton corps de dieu qu'on remarque- y'a ce truc qui te barre la gueule aussi, cette marque rouge qui ressort en éclat sur ta peau mate. C'est une tâche de naissance, comme si on t'aurait coller un coup de pinceau sur le nez en te sortant du ventre de ta mère. Combien sont venus te voir, dans l'espoir d'une histoire de guerre alléchante, pour finalement repartir bredouille ? Et toi, ça te fait rire, comme toujours.

De cette maladie, tu as tiré un profit énorme. Ton corps à prit de la masse-et tes mains. Oh, t'en es fier. Elles sont grandes, larges. Tu peux aisément prendre un ballon de basketball au creux de ta paume, comme si de rien était. Alors aller imaginer une tête ? Pas surprenant que t'étais le champion incontesté en boxe. Ton corps n'est pas que parure. Tes heures d'entraînement en sont aussi la preuve. Tes coups sont justes et dangereux- et tu n'hésites pas à t'en servir, qui plus est.

Niveau fringues, c'est... Un peu plus compliquer, non ? C'est pas tous les jours que tu peux trouver de quoi fringuer tes grandes pattes, ou tes épaules trop larges. Il t'arrive souvent d'avoir recours à un tailleur, car ton style varie fort bien. Sans suivre nécessairement la mode, tes styles sont plutôt rebelle, jeune adulte. Et le meilleur dans tout ça ? T'a un look d'enfer. Mais ça, ce n'est rien à côté de ton costard, car tu sais que dans ce style, t'es irrésistible.


HISTOIRE
Tu n'as jamais eu la grande vie. Rien de nécessairement flagrant, ni de grandiose. Mais tu as eu une aventure, celle qui te dura tant d'années. Celle qui te donna un nom, qui t'offrit une gloire auprès de l'humanité.

Toi qui es né de cette famille si simpliste, de cette mère aimante et de ce père sévère. À tes côtés siégais ton jumeau. Parsque oui, tu n'étais pas seul, tu n'étais pas solitaire. Vous étiez identiques et ce, à un défaut près. Oui, ce si banal défaut qui pourtant, était assez flagrant pour pouvoir vous différenciez au premier coup d'oeil. Alors que lui, elle lui balafrait le torse, toi, elle longeait ton visage victorieusement. Semblables à de simples cicatrices, ce n'étaient que des tâches de naissance. Lorsque vous étiez sortis de l'hôpital, tous deux lovés dans les bras chaleureux de vos parents, ce fut une femme qui y entrait qui s'horrifia en te voyant. Oh l'horreur, elle qui avait penséque tu étais blessé. Elle avait bombardée ta mère de question avant que celle-ci, dégoûtée, ne lui dise la triste vérité sur cette marque qui t'imprégnerait jusqu'à ta mort. Et cette femme ne fut pas la seule. Au cours des années, combien de fois avais-tu raconter la même histoire ?

Tu ne t'étais jamais forcément plains de la vie que tu menais. Ton frère n'était pas un monstre, ni toi. Tes parents étaient choyés, alors que ta mère pouvait fièrement vous «exhibés» comme les enfants parfaits. Jamais vous ne quémandiez, jamais vous ne leviez le ton. Les pleures n'occuraient qu'en cas de cauchemars ou de blessures, ce qui s'avérait, en somme, d'une rareté extrême. Au final, tu étais probablement le gamin cliché un peu trop calme, prenant en considération que la seule différence, c'était cet autre gamin qui te ressemblait trait pour trais. Vous étiez toujours ensembles, inséparables. Ta mère n'en était pas découragée alors qu'au contraire, ton père ne voyait pas cette relation sainement. Il voulait vous voir réussir chacun de votre côté. Mais rien à y faire, malgré les sermons et les essaient pour vous tenir à l'écart; avez-vous déjà tenté de tenir des jumeaux identiques à part ? C'est un travail titanesque.

Votre première journée à la petite école, c'est main dans la main que vous aviez quittez la voiture de maman. Et ce fut sûrement l'année la plus choquante de votre vie, vous qui aviez passez votre enfance uniquement à deux. Côtoyés autant d'autres enfants étaient... Troublant, nouveau et spécial. Mais ce n'est pas pour autant que vous vous êtes séparés, plus près que jamais. Et c'est autour de vous que c'est bâtit un petit groupe d'amis, qui vous on suivis malgré les années. Peut importe le temps passé, chaque nouvelle année était accueillit par cette bande de joyeux lurons qui vous bondissaient dans les bras, heureux de vous revoir. Ce n'étaient que de belles années, sans compter vos notes un peu au-dessus de la moyenne. Pour être honnête, il n'y avait vraiment rien à demander de plus, le futur ouvrait ses portes et vous tendait vos vies sur un plateau d'argent. Mais bien entendu, ce n'est pas toujours aussi rose; car ledit plateau a tangué d'un côté et s'est renversé à moitié. Et cette moitié, c'est ta vie.

C'est à 15 ans, suite à une année de fièvre et de malaises récurrents, incapable de te rendre à l'école, que ton père daigna t'emmener à l'hôpital; car même cet homme frigide pouvait s'inquiéter pour ses fils, qu'il chérissait plus que ce qu'il ne montrait. Le choc sur ta famille fut de grande ampleure, mais toi, tu ne comprenais pas. Ta mère, elle, pleurait, alors que ton frère restait assit au bord de ton lit d'hôpital, main dans la main. Tumeur de l'hypophyse. Et les larmes de ta mère cessèrent lorsque le docteur leur recommenda d'attendre un peu, qu'ils pouvaient te mettre sur la liste d'attentes pour une opération. Mais que cette dernière était longue. Ta tumeur n'était pas nécessairement mortel, alors tu devais faire preuve de patience- pas que tu ais forcément le choix, n'est-ce pas ? Alors ce fut avec ton frère que tu ramassas tes vêtements, embarquant des anti-douleurs et ta migraine avec toi pour le retour à la maison.

Deux années s'écoulèrent avant que l'hôpital ne daigne faire signe de vie. Et la surprise fut leur lorsque tu te pointa à ton rendez-vous. Ton corps avait subis trop de changement durant les deux dernières années, toi qui venait presque brisé des records de grandeurs. À seulement dix-sept ans, tu mesurais déjà la taille que tu arbores aujourd'hui- même si dans ce temps, ta musculature se faisait moins imposante, quoi que toujours présente. Ton teint était blanc et maladif, tu manquais de sommeil faute de cette migraine qui ne t'avait jamais lâché depuis. Ironiquement, malgré la bête que tu étais devenu, ton frère, plus petit et maigrelet, te ressemblait encore énormément. Malheureusement, celui-ci semblait... Moins près de toi. Tes absences scolaires l'avait poussé à se retourner vers la socialisation, pour finalement se dénicher une copine avec qui il passait la majorité de son temps. Alors que toi, tu moisissais dans ton coin, tu te morfondais dans un tempérament de plus en plus dépressif. Mais c'était aujourd'hui que ton confinement social s'arrêtait. Alors que tu t'allongeais sur la table d'opération, que ton regard soucieux se braquait sur ce masque qu'on approchait de ton visage mal rasé, tu ne tarda pas à sombrer dans les limbes d'un sommeil forcé.

Tu soulèves tes altères avec un grognement, la population environnante te dévisageant alors que tes muscles se bandent sous ta peau. La sueur coule en une délicate cascade sur ta nuque, ton regard de fauve posé sur tes larges mains qui enserrent cet acier. Tu as légèrement vieillis depuis, tu arbores une barbe bien fournis et des traits d'ours. Ta voix est devenue plus rugueuse et rauque, presque semblable au ronronnement d'un chat géant. Trois ans s'étaient écoulées depuis ton opération et aujourd'hui, tu resplendissais de mille feux et tu profitais de la vie. Et tu avais décidé de mordre dedans d'une façon qui, auparavant, ne t'aurais sûrement jamais effleuré l'esprit, toi qui étais si studieux. En contrepartie de ton frère qui lui, avait poursuivit ses études pour devenir un notaire. Non toi... C'est dans un club de boxe que tu t'étais inscrit, moyennant un métier de fleuriste à côté. Tu t'étais découvert une étrange passion pour ce sport qui se voulait violent- sans compter ce physique de boeuf que tu arborais. Ton coach semblait impressionné à chaque fois que tu grimpais sur le ring pour affronter amicalement quelqu'un dans le gymnase.

Tu étais doué. Ton physique portait le rêve de ce gymnase, qui souhaitait réussir à traverser les prémilinaires pour entrer dans des tournois. Et ce fut une fleur que tu leur offris dès ton premier K.O. Ce sentiment de fierté qui t'envahissait alors que la foule, loin d'être impressionnante t'acclamait. C'était le coeur gros que tu étais descendu, inspirant profondément, l'adrénaline parcourant tes veines à une vitesse fulgurante. Tu voulais recommencer. Encore et encore. Quelques matchs passèrent, avant qu'une offre titillant ta gourmandise ne vienne à toi. L'on t'offrait un contrat pour les petites ligues de la WBO, qui s'avérait à être l'un des championnats mondiaux. Mais... Toi qui ne se sentait pas prêt avait refusé cette offrir qui s'avérait pourtant si alléchante. Et quelques jours plus tard, la chance cogna de nouveau à ta porte, sous une forme de surprise nouvelle, à laquelle tu ne t'attendais pas. Et qui n'avait rien à voir avec la boxe ! C'était cette jeune femme qui venait fréquemment acheter des fleurs, une douce rose aux cheveux de jais et au regard d'émeraude. Le coup de foudre, littéralement et ce, autant de ta part que de la sienne. Et c'était elle qui t'avait approché pour t'offrir son numéro. Ce fut le début d'une longue romance, si délicate et ce, malgré ton apparence d'ours mal léché.

Elle t'a longuement supporter. Lors de tes matchs, ton regard prenait soin de trouver cette figure que tu aimais avant de se reporter sur ton adversaire. Elle qui n'avait jamais spécialement portée attention à ce genre de sport n'avait jamais raté une seule de tes prestations sur scène. Elle s'extasiais devant cette imposante masse qui se déplaçait gracieusement pour le plaisir de la galerie- tu faisais toujours durer le combat plus que nécessaire, avant d'achever par un K.O. brutal et violent. Peut importe les poids-lourd qui croisaient ton chemin, tu les éliminaient un à un. Jusqu'à tes vingt-sept ans, où cette proposition te revint enfin sous le nez. Ce même homme d'affaire, ce même contrat, les même propos qu'il t'avait dit quelques années plus tôt. Et toujours cette même voix fébrile de te voir accepter. C'était à tes côtés que ta copine avait hoché la tête, alors que tu l'observais- et tu acceptas donc, à la joie de cet homme qui deviendrait ton nouveau manager. Forcé d'abandonner ton métier de fleuriste, ce fut un adieu chaleureux que tu offris à la propriétaire qui se faisait vieille, le coeur gros. Elle avait pris soin de toi et tu ne saurais jamais la remercier suffisamment. Et ce fut dans l'élan de cette journée que tu débarquas chez la femme de ta vie, sur ta moto. Tu grimpais les marches quatre à quatre, le regard brillant. Et à peine ouvrais-elle la porte que tu posais un genou à terre, attrapant sa main que tu baisas avant de sortir de ta poche ce simple anneau de métal. Tu n'avais jamais été riche, la simplicité même était ta vie. Mais tu voulais tout de même lui offrir cette vie qui était la tienne. Et c'est en hurlant de joie qu'elle s'était tout bonnement jetée dans tes énormes bras pour t'enlacer. Homme comblé que tu étais tu ne pouvais que voir le futur resplendir devant tes yeux.

Quelques mois plus tard, c'était dans la sobriété même que tu te tenais devant l'autel, alors qu'elle marchait vers toi, arborant cette robe immaculé qui était un cadeau de son père. Et toi, tu arborais ce costard fait sur mesure pour cette taille de géant, alors qu'à tes côtés se tenait ton partenaire, ton ami et ton frère. Cet homme qui t'avais toujours offert son soutien même après avoir chacun emprunter votre voie. Et il était tout aussi joyeux que toi. C'était lui qui avait insisté pour te payer un tel apparat, sans compter le fait qu'il avait pousser ta mère et ton père pour que, tous ensembles, ta femme et toi ailliez droit à un mariage digne de ce nom.

À trente ans, tu grimpais les échelons des rangs dans la WBO, tes adversaires te craignais. Tu étais le plus grand poids-lourd enregistré dans l'histoire de la boxe et les fans avaient presque pitiés pour ceux que tu affrontais. Tu n'avais jamais encore perdu de match, qui s'achevaient, presque toujours, en knock-out après un peu de jeu. Tu préférais faire durer le spectacle pour la galerie, mais tout le monde connaissait le résultat final. Ce fut vers ta mi-trentaine que, pour la première fois, tu te tenais au milieu du ring, bras levés. Et au bout siégeait la ceinture de la WBO. Tu venais de faire le championnat mondial, tu étais tout simplement le meilleur. De tes poumons surgissaient un puissant rugissement victorieux, rapidement accompagner par ceux de la foule, pleine de millier de personnes qui venaient de tout autour du monde. Et tu savais qu'ils n'étaient pas les seuls. Que dans les maisons, des fanatiques de boxe partageaient ton enthousiasme euphorique. Mais tu ne voulais pas t'arrêter là. L'extasie de ce moment, tu voulais le revivre, encore et encore. Mais tu savais que tu avais encore du chemin à faire pour t'asseoir sur le trône ultime.

Sur plusieurs années, ce fut un combat pour ta ceinture qui s'en suivis, que tu conserva sans problème, jusqu'au jour de tes 36 ans où, pour la première fois, tu pris une année sabbatique. Car une nouvelle surprise se pointait dans ta vie, aussi délicate que ta première fleur- qui t'annonçait justement qu'elle était enceinte et ce, par surprise, depuis deux mois. Tu t'étais transformer en père hystérique, joyeux, peut-être un peu trop fou pour l'occasion. Tu l'avait prise dans tes bras pour la serrée contre toi, alors que son doux rire envahissait la pièce- et ton coeur.

Tu te tenais près d'elle, sa délicate main au creux des tiennes- si rugueuses et déjà abîmées par la vie, entre la boxe et les travaux que tu effectuais pour rendre service à tes voisins. Elle respirait lourdement, alors que toi, tu essuyais de temps en temps d'une main délicate les larmes qui roulaient sur son visage, alors qu'elle donnait vie à votre trésor. Rosabella, qu'elle fut nommée. Cette gamine qui s'était mise à pleurer dans les mains du médecin, dont tu ne pouvais détacher ton regard.

Et cette année, tu l'avais pris pour elle. C'était au loft que tu restais, entre offrir de l'affection à ta femme et ta fille, les deux amours de ta vie. Que demander de mieux ? Tes journées étaient comblées, au point où tu en venais presque à ne pas voir les jours coulés, où tu oubliais complètement la boxe. Jusqu'au jour où ton manager revint vers toi pour te rappeler la rude vérité; ton année s'achevait. Désirais-tu toujours poursuivre ton rêve pour aller chercher la ceinture que tu avais convoité tant d'année ou... Resterais-tu là, à te la coulée douce avec ta petite famille ? Pour toi, ton choix était déjà fait, mais ta femme ne l'entendait pas du même son. C'est elle qui te poussa à accepter, car elle avait pris goût à voir son époux grimper sur le ring. Elle avait toujours apprécié cette fougue qui transparaissait dans ton regard lorsque tu combattais. Et tu cédas. Tu ne pouvais pas lui dire non, surtout lorsqu'elle te jetait un tel regard.

Le mois suivant, tu grimpais de nouveau sur le ring après une année de calme. Tes fans se cramponnaient les uns aux autres, beuglant à en rendre sourd leurs confrères d'encouragements. Ils étaient heureux de ton retour- ton adversaire, un peu moins. Tu touchais le début de tes 38 ans. Et tu faisais ton retour en force, plus en feu que jamais. Tu voulais des histoires à raconter à ta fille, tu voulais l'impressionner. Et pas qu'elle. Tu voulais rendre ta femme fière de toi.

Et c'est à quarante ans que tu posais ton séant sur le trône que tu convoitais. Épuisé, le corps endoloris, une lèvre fendu et un oeil enflé, tu regardais ton adversaire au sol, haletant. Tu bouillais d'une furie brutale, tu voulais qu'il se relève pour poursuivre ton carnage. La sueur roulait le long de ton échine pour se perdre contre l'élastique de ton short, ravalant le peu de sang qui se faisait une place dans ta bouche. Tu n'avais jamais croisé quelqu'un d'aussi solide, mais tu savais qu'il n'aurait pas pu résister- tu ne voulais pas qu'il résiste. Redressant ton épaisse masse courbée, tu poussas un rugissement victorieux, envoyant tes gants dans la foule. Sans hésiter, ta femme avait grimper sur le ring pour venir bondir dans tes bras, et tu l'attrapas, la soulevant pour la faire tourner. Tu savais, dès lors, qu'on te reconnaîtrait. Que tu avais gravé ton nom dans l'histoire et que tu serais une légende. Tu savais que maintenant, ton père pourrait être aussi fier de toi que ta femme et ton frère le sont.

Ton rêve s'écroula, brutalement. Elle n'avait aucun remord alors que tu étais assit face à elle, à la table. Une simple année s'était écouler depuis ta victoire. Et depuis cette dernière, tu avais décidé de prendre ta retraite de ce sport. Tu avais voulu achevé ton rêve en beauté et tu l'avais fait. Mais tu ne comprenais pas. Votre vie allait si bien. Selon elle, elle ne t'aimait tout simplement... Plus. Tu avais tenté d'avoir des réponses, mais Angela ne voulait rien entendre. Ni te répondre. Elle voulais simplement que tu signe les papiers de divorce pour pouvoir partir et ce- oh, maintenant tu le réalisais. Tout ce temps, cette femme avait su. Elle t'avait approchée car elle savait que tu étais un boxeur débutant. Elle devait avoir misé gros pour ainsi accepter de se jetée dans tes bras, dans l'espoir que tu grimpes les échelons... Et que tu fasses fortune. Elle s'était même risquée à avoir un enfant avec toi. Et pourtant, tu n'arrivais pas à lui en vouloir, alors que tu apposais ta griffe sur cette feuille. Tu te séparais non seulement de la moitié de ta fortune, mais également de la femme que tu aimais et de ta fille.

Démolis, tu n'avais cependant pas cherché à obtenir la garde de la gamine. Tu ne pouvais pas l'élever dans cet état. Et... Tu ne voulais pas rester en Allemagne. Tu voulais aller loin, te changer les idées. Et c'est en apprenant cette nouvelle plutôt désastreuse que ton frère t'invita à venir chez lui, déménager, quitte à n'y rester que pour un temps. Tu craquas, accepta. Tu n'avais plus rien outre ta fille et... Tu ne tenais vraiment pas à ce qu'elle te voit dans cet état. Te débarrassant de presque tout ce que tu possédais, outre ta vieille moto et quelques affaires, tu traversas le continent, pour finalement prendre le bateau pour Londres, où tu fus accueillis par un frère aux bras tendus. Et pour la première fois, tu éclatas en sanglot contre ce dernier, échappant enfin le contrôle de tes émotions.

Tu as rapidement changé d'avis. Ce pays te plaisait, tu y avais pris goût. Et tu ne tardas pas à faire une demande de visa permanent. C'était peut-être le moment pour reprendre ta vie en main ? C'était cependant sans emploi que tu te retrouvais, coller aux baskets de ton frère qui s'occupait de toi. Ce fut finalement lui qui vint te voir avec cette offre d'emploi, car oui- cet homme avait changé de voie durant ses études scolaires. Aujourd'hui, il était professeur dans cette université reconnue, Millenium. Et toi, on t'avais finalement accepté à ce poste, si simple et anodin- pourtant, tu y trouvais ta joie. Et aujourd'hui, tu y es depuis cinq ans. Tu reconnais les visages qui passent. Pour couronner le tout, ton ex-femme ne s'est pas fait prier pour donner un passeport à la gamine, qui viens parfois te rendre visite et ce, à sa plus grande joie.
Tysha K. Reed
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Sam 26 Nov - 20:45
God. Cet avatar. Cette image. Ce métier et cet ancien métier.
Et Garett bon sang.

Dude, il nous faut un lien.
Bienvenue ici, sweetie. ~♥

J'ai hâte de lire ta fiche en entier honey, parce que tu promets d'être une perle. Si tu as des questions, des doutes, n'hésites pas à venir me mp ou venir voir ma secrétaire, moi ou un autre membre du staff.
Cléanthe J. Alevatros
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Sam 26 Nov - 23:26
hello & bienvenue lovely ♥

okay alors le stresse de fou quand je vois ton avatar, je suis sûre de connaître ce style et ça me stresse beaucoup trop. mais alors, genre, vraiment beaucoup.

en tout cas j'ai hâte de lire ta fiche pour voir ce que tu vas faire, ohohoh. bon courage pour cette dernière et si jamais tu as des questions n'hésites surtout pas !

luv sur ta barbe. ♥
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Jeu 1 Déc - 7:49
Thanks Cat. ~ Si tu veux un lien... Tu sais où ma boîte à mp est. ♥

Cléanthe - herm, c'est possible, mais on est beaucoup à avoir un style comme ça. mais si ça te tracasse, call me maybe, on va voir si tu m'connais pas, vue comment j'suis un squatteur de forum. ♥

And sorry pour le temps, je viens de finir. J'ai l'impression d'avoir pondu de la merde, but meh. 8D
merci pour votre patience à lire ce truc et au jugement qui y sera donner. ♥ (désolé si y'a encore beaucoup de fautes, j'suis pas tip top en français m'voyez)
Cléanthe J. Alevatros
Cléanthe J. Alevatros
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Ven 2 Déc - 0:14
hey hey heeey !

pardon pour le moment d'attente, mais on risque d'être tous pas mal occupé avec les partiels et tout !

du coup si jamais personne ne s'est encore occupé de toi demain ou ce wk, je lirai ta fiche sûrement dimanche soir (et je m'excuse de l'attente si personne ne s'occupe de toi avant), mais promis dimanche, j'aurai lu ta fiche !

encore désolée pour le risque d'attente, et je te fais des bisous. ♥
Finn McIntosh
Finn McIntosh
Agent d'entretien
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Orientation sexuelle : Bisexuel
Etudes/Métier : Agent de nettoyage
Pounds : 1317
Ven 2 Déc - 11:36
Ce perso envoie du nounours! Et les images siteuplé koi! :love:
Welcome Daddy!
Nolan T. Connor
Nolan T. Connor
Surveillant à mi-temps
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Age (du personnage) : 22 ans
Orientation sexuelle : Homosexuel
Etudes/Métier : Lettres Classiques - Surveillant à mi-temps
Pounds : 29942
Ven 2 Déc - 15:24


VALIDATION

Hey salut toi ! Je sais plus si je t'ai déjà croisé sur la CB donc au pire... BIENVENUE !
Ca faisait longtemps qu'on avait pas eu des hommes un peu baraqués sur le forum. Un peu de testostérone bien virile ne nous fera pas de mal (On peut pas compter sur Cyan ou Kiseki ou même Arthur question muscles...)

J'ai pas vraiment de remarques à faire qui ne vaille pas le coup de te valider, cependant je tenais à te dire de faire attention à la façon dont on écrit "parce que". Dans toute ta fiche que écris "parsque" et j'ai vérifié ... Ca n'existe pas. Donc à part ça et quelques petites fautes de conjugaison et d'accords... Tout va pour le mieux ! J'ai beaucoup aimé ton histoire, même si je suis triste pour lui pour son divorce (Quelle connasse quand même D: Moi j'croyais à un happy end et tout j'suis trop choquée et déçue ;w; )

Enfin bref voilà, j'te valide sans plus attendre (J'aurais été plus rapide que Cléanthe mouahahah, qui c'est qui va être deg?) !

Maintenant que tu as ta couleur et ton rang, n'oublie pas de faire ces petites choses :
♙ Aller recenser ton avatar ;
♙ Créer ta fiche de relations ;
♙ Demander un rp ;
♙ Demander un logement, mais uniquement si tu penses en avoir besoin pour rp,
♙ Créer ton téléphone et ton Twitter si tu le souhaites ;
♙ Rejoindre un club si tu es lycéen ou étudiant.
♙ Et si tu es un dc, n’oublie surtout pas d’aller l’indiquer ici !

Bon jeu à toi et surtout : HAVE FUN !
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