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dramaqueen aux gros seins •• Oswald

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Ven 13 Nov - 21:22


Oswald Galtin


Nom : Galtin.
Prénom : Oswald.
Âge : 24 ans.
Sexe : ♂♂♂.
Nationalité : New-Yorkais.
Orientation sexuelle : Taggle.
Groupe : Personnel.
Métier :Professeur.
Situation amoureuse : Taggle.
Avatar : Ashley Park by Siobhan Chiffon


Outside • Inside


Outside. Quand on sait que l'intérieur est pourrit, on part du principe que le physique ne va pas être bien beau, et pourtant, il suffit de regarder Oswald pour se rendre compte que cette théorie n'est pas totalement vrai, parce que Oswald c'est un mètre quatre vingt d'une beauté étrange, d'une taille finement sculptée uniquement dans le but de vous rendre fou, d'une peau d'opaline surmontée de quelques tâches de rousseurs par ci par là, d'une chevelure sombre d'après baise outrageusement sexy à souhait, Oswald c'est aussi un style bien propre, le genre dandy-princess, fashion victime à ses heures qui pourrait tuer pour des derbies ou arracher un œil pour une faute de goût.

Oswald c'est une fois encore une bonne dose d'égoïsme, je-m'en-foutiste, nonchalante, cynique à l'état brut. Il n'a pour force que l'argent sale de papa et maman, c'est une fashion victime dramaqueen qui tuera quiconque osera toucher ses fringues, sans être un monstre de muscles stéréotypé bien sur, il ne s'autorise jamais, au grand jamais une erreur d’association, partant du principe que tu es comme, tu te présentes. En somme, la panoplie du parfait petit enculé trône au dessus de sa belle gueule. Et belle gueule c'est encore faible. Mélange atypique d'un français et d'une américaine, il a ce petit accent grave qui renverse les cœurs et cette voix légèrement rocailleuse qui ne colle pas à son physique de tafiole-juvénile. Il pose ce regard froid des bad boys qui mériteraient de se faire démonter la gueule à coup de poings plutôt que de faire des musiques de merdes. Il n'a pas et n'aura jamais cette dégaine de mec bas de gamme qui se prend pour un déchet, il pue la vantardise à des kilomètres, il inonde le monde avec sa supériorité. Mais c'est pour ça qu'on l'aime.

Oswald c'est aussi des prunelles d'un bleu azur alarmant, des mimiques insupportables, insupportables parce qu'il louche, boude, mordille et gonfle toutes les parties possibles de son visage. Il n'a pas de mal à faire l'imbécile, ça l'amuse, partant du principe que l'avantage d'être intelligent c'est qu'on peut toujours faire l'imbécile alors que l'inverse et totalement impossible, et puis en parlant d'impossible, on en sait rien à vraiment dire de l'impossible le concernant, on sait seulement qu'on préfère ne pas le regarder dans les yeux, baiser la tête et fermer sa gueule.

Si tu le regardes bien tu ne remarques rien, il a l'air un peu malade tu trouves pas? Avec sa peau blanchâtre là, opaline, il donne l'impression de ne pas être vraiment vivant, de ne pas se nourrir correctement, mais en fait cette impression est bien plus que ça, il n'aime pas ce qui se mange, il n'aime pas les gens qui mangent et encore moins ceux qui lui disent de manger, bien qu'avec le temps il fasse un effort. Il a prit du muscle d'ailleurs, pourtant, la nourriture c'est un truc qui la rend malade. Regarder les gens qui se goinfrent comme des porcs, ça lui soulève le cœur. Oswald c'est un sale con. Terriblement beau de l'extérieur mais qui tente  de se rendre laid de l'intérieur, il veut assortir le physique et le mental, il veut faire en sorte de suivre sa ligne de mire de ne pas déroger de ce qu'il est ou du moins de ce qu'il croit être, de son but ultime; rester une belle enflure.

Il possède cette démarche nonchalante à la limite du classieux frauduleux, le genre claque dans la gueule à chaque bouffée d'air infime qu'il prend, en brûlant la vie des deux bouts, il créait un style clope, jean trop petit et veste de dandy-princess, pour le plus grand plaisir des yeux, mais sans doute pas celui de l'esprit. Il ne promet pas que son passage dans votre vie sera tranquille, non, car la vie n'est pas un long fleuve tranquille, mais cependant, comme la peste il s'incrustera dans votre quotidien et bon  courage pour l'en déloger.

Inside. Son nom résonne dans la tête de beaucoup de monde, on a du mal à comprendre pourquoi tant il est insupportable, tant il est instable. C'est complètement stupide de vouloir s'approcher de lui par envie, on le fait principalement par besoin. Trop exigeant avec les autres et sans aucun doute pas assez avec lui même, il devient lentement la bête noire de ses semblables et s'enfonce dans l'auto-destruction pour le plaisir. Peu de choses lui tienne à cœur. Il n'a pas pour leitmotiv l'amour trouvant sa futile, sa famille trouvant ça éphémère ou encore ses amis trouvant ça hypocrite, non rien de tout ça, il préfère faire son petit bout de chemin seul, les mains dans les poches et la clope en bec.

Oswald, ce mec c'est d'abord une bonne dose de franchise, cracheuse de vérités acerbes qui n'en finissent jamais, quand certains vous diront qu'il est mauvaise langue, langue de pute, d'autres à l'inverse seront les premiers à vous dire que c'est un mec vrai, authentique, qui n'a pas peur de dire les mots. Impitoyable, tranchant, dure à la limite du méchant, il reste une sorte de bavard intarissable qui ne peut pas s'empêcher d'ouvrir sa gueule, intolérant face à la critique, il aime prodiguer des conseils que jamais il ne s'applique, dans le fond on peut se dire que c'est un chouette mec, un chouette type qui prend un peu le melon et qui se fait sans doute un peu trop confiance. Alors, pourquoi est-ce que sa part en couille? Peut-être parce que c'est le petit fils à papa pété de thune qui pense qu'il peut vomir sur les sentiments des autres en les remplaçant par deux trois billets qui traînent par là? Nan.

Ça part en couille parce que ce qu'il dit, ce qu'il pense, ce qu'il fait, c'est pas joli, c'est un peu sale, dégoûtant, moche. C'est un sale con imbu de lui même, égoïste, colérique, malsain, égocentrique. Il veut mener une vie compliquée, parce que s'ennuyer c'est trop facile, alors il tombe dans l'excès, il se détruit à petit feu, quand il sent qu'il perd votre attention il deviendra alors attachant, délicat et la seconde d'après il vous humiliera en vous crachant gracieusement au visage. Impossible de le suivre, il va trop vite, il est trop loin, sa vie c'est le bordel, un joyeux bordel organisé, divergent qui se fond dans une masse de gens plus stupides les uns que les autres. Il veut vivre à cent à l'heure sans prendre le temps de profiter, il veut tout sans rien faire. Ton bonheur il s'en branle, il n'y a que lui, lui et encore lui à tout jamais, il n'y a toujours eu que lui et encore lui. Si il peut te faire mal, te rendre triste, tellement triste, il le fera, oui, jusqu'à ce que tu n'en puisses plus, toujours en gardant aux lèvres ce sale sourire de connard qui le définit si bien.

Et pourtant alors que tu penses que c'est un chien sans cœur, une ordure, que tu le fixes en souhaitant que sa vie entière s'effondre, que tu vois le sourire tordu sur son visage de monstre.. là, tout au fond, demande toi si il ne chiale pas un petit peu, si dans le fond, il n'est pas malheureux, un peu. Demande toi, si quand il commence à aimer, quand il commence à sentir une petite brèche dans son cœur, qu'il sent que la garde qu'il a mis tant de temps à construire est entrain de se casser la gueule, demande toi s'il n'est pas plus simple pour lui de fuir comme un lâche et de disparaître à jamais. Oswald est lâche, oui c'est un tas de merde sur patte qui préfère fuir plutôt que d'assumer pleinement ce qu'il ressent, il craint trop la déception mais adore la distribuer à qui voudra passer du temps avec lui. En fait, dans le fond, quand on est gamin on a peur des monstres sous le lit ou encore de ceux qui se cachent dans les placards, on a peur parce qu'on les cherche mais un jour, un jour on arrêtera de les chercher, parce qu'un jour, un jour on aura compris qu'ils ne se cachent pas sous nos lits, mais qu'ils sont tout simplement, à l'intérieur de nous.




:bouyah:



La perversion c’est une affaire de goût, c’est comme la bouffe chinoise : on aime ou on n’aime pas.

J'aurais pu commencer l'histoire par il était une fois, mais cela n'aurait sans doute eu aucun sens, aucun sens dans ma bouche en tout cas. J'aurais pu essayer de faire comme le reste du monde, faire des choses conventionnelles et barbantes dans l'unique but d'avoir une vie rangée, ennuyeuse, droite et stricte, j'aurais pu. Assis dans le salon de ce que la génétique appelle mes parents, je regarde le spectacle qu'aurait pu être ma vie.

Elle s'appelle Suson et elle a vingt sept ans, mariée à un homme de la classe moyenne et aillant deux enfants en bas âges qui passent leurs temps à pleurer, manger, dormir et chier. Les poches brunes sous ses yeux montrent qu'elle dort peu, peu mais assez pour ne pas finir par planter sa fourchette dans la cuisse de son époux, époux qui d'ailleurs, dans la catégorie " on en divorce agréablement " tend à s'inscrire merveilleusement bien. Elle travaille dans un petit cabinet d'avocat de Manhattan, elle regarde des émissions de télé-réalités assourdissantes et sans intérêts, pour oublier sa vie ridicule, sa vie d'ennuie, son " il était une fois ". Maintenant, tournons un peu la tête et regardons. Il s'appelle Yves et la petite bonne femme à son bras, c'est Catherine. Ils se connaissent depuis temps d'années que les compter n'est plus utile. Ils se sont connus jeunes, aimaient jeunes et maintenant qu'ils sont moins jeunes, ils savent que plus personnes ne pourra mieux le compléter, le supporter que l'autre. N'est-ce pas d'un ridicule affligeant. La table se dresse lentement, toujours assis j'observe toujours le spectacle, je baille, plein poumon et gorge déployée. Chacun s'incombe d'une tâche quelconque et comme dans un drôle d'équilibre, trouve sa place. Chacun, sauf peut-être moi. Donner un sens à ma vie, ça aurait été comme jouer la 5e symphonie de Beethoven avec les ongles sur un tableau.

Ces gens, ces gens qui portant sur leurs visages ce sourire de façade insupportable, insoutenable sont mes proches, ma famille. je ne comprendrais jamais pourquoi, ils sont ainsi, comme ils sont ainsi, jouent-ils? Simulent-ils? Ils n'ont pas l'air, air serein qui inonde leurs regards qui me semblent pourtant si fade vu de mon univers, je suis lasse de tout, lasse de rien, lasse d'eux.

Quand j'y pense, quand j'y pense vraiment, à m'en faire mal, je me dis que c'est eux qui ont un problème, personne ne devrait avoir à être dépendant des autres, personne ne devrait avoir le pouvoir d'influencer notre bonheur. En vingt-quatre ans d'existence je n'ai jamais aimé personne d'autres que moi, ce qui est normal quand on sait à quel point je peux être extraordinaire. Je suis en quelque sorte la version 2.0 de l'homme moderne. Je suis un être supérieur, je suis l'élite. Ne me regardez pas comme ça, pas avec cet air de dédain, de mépris qui déforme votre visage, il vous va si mal.

Ma vie se résume assez connement si j'y réfléchis bien, une vie bien vide et seule, quelle belle arnaque, on nous emballe ça dans un papier de soie pour mieux nous le vendre, mais on oublie un peu trop souvent de rappeler que c'est une tartine permanente de merde qu'on doit s'enfiler avec le sourire pour ne pas faire tâche dans cette société trop étriquée. Nombreux son ceux qui me détestent, tenue en haleine par l'espoir vain d'une chute fatale, d'une faute si grande que jamais on ne pourrait venir un jour à l'effacer, lamentables considérations et jugements qu'on tente de me porter sans grands résultats. Nombreux son ceux qui oublient bien trop souvent que si l'amour peut faire vivre, la haine peut le faire bien plus encore.

Cette haine, cette haine omniprésente.
Il est sûr que personne ne peut naître avec autant de haine en lui, même le pire des monstres a été un enfant un jour. J'ai été un enfant un jour. D'ailleurs, lorsque j'y repense, parfois, souvent, il me revient à l'esprit qu'avant de devenir le grand Oswald Galtin, professeur de lettres, de français plus exactement, reconnu de son art mais aussi de son jeune âge et admis avec une grande facilité à Millenium, j'ai moi aussi, un jour été ce gamin qui savait rire devant le spectacle attendrissant d'un père, qui s'avait rougir devant le tendre baiser d'une mère. J'ai été cet enfant, ce gamin, je l'ai été, mais je ne le suis plus. Triste réalité du monstre que l'adolescence m'a fait devenir, j'ai lentement succombé au plaisir cruel de devenir le bourreau sans coeur qui hante les nuits de ses victimes. Un visage d'ange, un visage d'ange qui dans son fort intérieur cache un démon puissant et inavoué. Lorsque j'y pense, c'est sans aucun doute cette rage étrange, bouillonnante qui m'a permis de devenir, le meilleur.

C'est assez étrange dans le fond de dire cela, mais cette méchanceté qui coule doucement au creux de mon être m'a toujours permis de me tirer des pires situations. Permis de réchapper de choses qui aurait sans doute du mal finir, permis de voir au bout du tunnel une porte de sortie et c'est là, que j'ai compris; faire le bien, être bon c'est bien trop facile, c'est une option secondaire, alors que faire le mal, c'est une autre histoire, courage indescriptible que de regarder un de vos semblable, un de vos congénère, vous supplier d'arrêté de le torturer, mais continuer en gardant aux coins des lèvres ce rictus étrange qui vous déforme si bien le visage, c'est ça la difficulté.

Je m'appelle Oswald Galtin, mon histoire n'est pas bien longue, pas bien belle, elle ne peut pas commencer par il était un fois et ne finira sans doute jamais par ils vécurent heureux. Mais elle est là, en construction sous vos yeux mi-clos qui ne pensent pas à demain, qui ne voient pas le mal qui lentement se répand comme une traînée de poudre sur le reste du monde. Si je peux vous utiliser, vous arracher morceaux par morceaux tous les espoirs et rêves qui vous font vivre, si je peux détruire une à une chacune des choses qui vous apportent un peu de joie dans ce bas monde, je le ferai. Je m'appelle Oswald Galtin et je suis un jeune professeur prodige qui n'aime pas plus son métier que ses élèves. Je suis une nouvelle, que dis-je, une catégorie d'un nouveau genre, le genre monstrueux.

Et alors, alors que vous vous dîtes qu'il n'y a aucun sens à tout cela, que c'est impossible d'être aussi foncièrement mauvais, d'avoir pour  seule but, seule joie d'être supérieur, que de se servir ainsi des gens devrait être puni, que la haine vous habite lorsque vous entendez mon nom, rappelez vous que n'importe qui peut devenir un monstre à force d'en côtoyer.

Lentement ils se placent tous autour de la table, comme quand nous étions encore des enfants, que notre vie se déroulait dans les grandes rues de New York, que nous étions cette élite étrange que l'on a bien souvent jalousée, puis soudain, que je suis partie de ce train-train pour venir lentement creuser mon trou dans un endroit ou détruire la vie des autre semblait plus agréable, grande ville polie, grande ville humide; Londres. les gosses se mettent à hurler, les vieux à parler et moi je regarde ce spectacle du coin de l’œil en buvant, gorgée par gorgée le vin fraîchement servit dans mon verre. Je ne sourie pas, je ne parle pas, pourtant je sens par moment quelques regards sur moi, quelques interrogations aussi. Mais personne n'ose vraiment poser la question, ils auraient sans doute bien trop peur de la réponse. Un jour mes parents mourront, ma sœur aussi, mes neveux et nièces seront sans doute partir loin de la monde et finiront aussi par mourir un jour. Je sais, je sais que je mourrais aussi, mais j'ai tant de haine en moi, tant de haine, qu'avant, je les enterrerai tous, ils ne m'en voudront pas, non, pourquoi? pourquoi..? parce qu'avec le temps on pardonne, on finit même par en rire... Après tout ce n’est qu’un jeu.


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©Riva


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Dim 15 Nov - 13:13
dp pour vous annoncer que bien qu'une histoire tout simplement merdique.
mais que j'ose tout de même présenter.
j'ai l'immense, enfin pas si immense que ça, joie de vous annoncer, que j'ai fini.
je prie pour le correcteur.
un peu de leuv.
Oz. ♥
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Dim 15 Nov - 14:55
HAAAAN. J'AIME.
CE.
VAVA.
Sinon, welcome ! Puis tu devrais pas dire ça, elle est chouette l'histoire. *^* ♡♡♡♡
Luv, licornes et paillettes sur toi.
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Invité
Invité
Dim 15 Nov - 21:01
je te remercie pour ton petit accueil chaleureux.
je me sentais bien seul sur ma fiche.
j'pensais que personne n'en avait rien à foutre de moi.
puis bam, te voilà comme une petite fée.
thanks so!
keur de baleine et caca de licornes sur twa.
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Invité
Invité
Dim 15 Nov - 21:57
Meeh p'tit chou ! :c Moi j'passe sur ta fiche aussi ! Même si je t'ai dit bienvenue sur la CB, je te le redis encore une fois ici ! 8D Et même si ça sera peut-être quelqu'un d'autre qui te validera, je vais aller lire ta fiche entièrement et non en diagonale ! :<

*attack hug et repart*

(Et pis si ça se trouve je vais DP si je viens te valider dans la soirée /pan)
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Dim 15 Nov - 23:26

Analyse
Salut, je viens de me prendre une claque dans la gueule hahaha. Non sérieusement, ta fiche est géniale. Ton histoire aussi, même si tu dis qu'elle est à chier, elle envoie le pâté. Le seul hic dans ta fiche, c'est qu'à aucun moment, on ne sait ce qu'il enseigne et où... xD Parce que ça pourrait autant être Millenium qu'Oxford ou je n'sais où. Et puis comment il en est arrivé à enseigner à Londres surtout, puisque c'est un américain ?

Voilà voilà, il manque simplement ça mais ça reste quand même crucial pour la fiche et le contexte ! xD Bon courage à toi pour les modifs et si tu as des questions, hésite pas à me MP !
©Riva
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Invité
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Lun 16 Nov - 1:19
ET ENCORE BIENVENUE ICI. ♥ SUR TA FESSE.

Courage pour la p'tite modif, btw! <:
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Lun 16 Nov - 9:51
hoy, je pense avoir inclut de façon plus au moins harmonieuse ce que vous m'avez demandey.
je trouve que l'ensemble n'est pas très hétérogène.
mais c'est le prix du succès!
j'espère donc que les modifications seront correctes dans l'ensemble.
un peu de leuv sur vous, tout de même.
OZ.☺♥
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Invité
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Lun 16 Nov - 9:55
Bienvenue par ici ! J'aime beaucoup ton avat ! ;3
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Invité
Invité
Lun 16 Nov - 14:11

Validation
Bon maintenant, j'ai vraiment plus rien à dire alors je te valide ! *^*

Maintenant que tu as ta couleur et ton rang, tu vas pouvoir t'acquitter de tâches administratives ! (Youhou, Ô joie !)

♙ Aller recenser ton avatar ;
♙ Créer ta fiche de relations ;
♙ Demander un rp ;
♙ Demander un logement ;
♙ Créer ton téléphone et ton Twitter si tu le souhaites ;
♙ Rejoindre un club si tu es lycéen ou étudiant.

Bon jeu à toi et surtout : HAVE FUN !
©Riva
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Invité
Invité
Lun 16 Nov - 18:12
JE SUIS EN RETARD !!!
WELCOME ♥
Ton vava est trop chouette et j'aime bien ta fiche aussi ~
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