Seán J. Walsh
Nom : Walsh Prénom(s) : Seán Jolan Âge : 19 ans. Sexe : Masculin. Nationalité : Irlandaise avec des origines Amérindienne du côté de ta mère.
| Orientation sexuelle : Tu n’as pas le temps de te poser cette question. Groupe : Marginaux Année/Métier : Sans-abri, faire la manche c’est tout un art. Situation amoureuse : Seul. Tu es seul. Avatar : Marco Bodt + Shingeki no kyojin. |
You see me but you don't know me
• Seán tes proches te voient comme un homme doux qui fait passer le bien des autres avant le sien et c'est totalement ça. Tu fais tout pour les autres, tu es quelqu'un de très serviable, même avec les personnes que tu ne connais pas et ce malgré ta timidité presque maladive. Tu n'arrives pas à engager la conversation avec les autres, le plus souvent tu dois te forcer, mais une fois que tu commences à parler on ne peut plus t'arrêter. Malgré ta timidité, tu es très amical avec les personnes qui t'entourent. Cependant, il y a un sujet que tu n'arrives pas à aborder avec les autres, c'est toi, Seán. Tu n'arrives pas à parler de toi, de ce que tu as vécu avec les autres, pour toi c'est comme un sujet tabou. Il faut vraiment que tu aies confiance en ton interlocuteur pour que tu lui dévoiles toute ta vie.
Ce qui est bien avec toi, Seán, c'est que tu ne demandes jamais rien en contre-parti de tout ce que tu fais, beaucoup ont abusé de ce trait de personnalité quand tu étudiais encore. Et quand tu as enfin compris que les personnes, que tu croyais tes amis, ne faisaient que se servir de ta gentillesse, tu as poussé une gueulante. Tu es gentil certes, mais il ne faut pas abuser comme dirait ta mère « il ne faut pas pousser mémé dans les orties. ». Encore aujourd'hui, tu ne leur as pas pardonné, tu peux être très rancunier quand tu le souhaites.
Tes petites vacances dans la rue te rends dépressif, tu passes tes soirées à te morfondre sur les conditions plus que médiocres de ta nouvelle vie, toi qui en venant étudier à Londres, rêvait de réussite c'est raté. Mais au fond de toi tu es optimiste. Tu sais que tu vas réussir à te sortir de ce merdier, tu ne sais pas trop encore comment, mais tu sens que tu vas réussir à te sortir la tête de l'eau.
Tu es trop fier pour demander de l'aide à tes parents, tu leur as tellement martelé, avant de partir d'Irlande, que tu deviendrais un excellent chirurgien en intégrant les rangs de l'institut Millenium, que tu n'as pas envie de les décevoir en leur apprenant que tu n'as pas réussis à finir ta première année d'étude. Et dieu sait que tu as fait des efforts pour y arriver. Seán, tu es quelqu'un de studieux et de très travailleur. Tu as tout donné pour réussir à allier la rue et les études, mais la faim et la fatigue ont eu le dessus et tu as malheureusement dû abandonner et ça te coûte, car tu n'aimes pas échouer, quand tu fais quelques choses c'est pour le réussir, tu es tellement déterminé. Ce qui te manque le plus, maintenant que tu vis au grand air est la nourriture. Toi qui es gourmand comme un chat, tu as beaucoup de mal de manger peu de choses. Mais ta présence dans la rue t'a appris la solidarité entre sans-abri et surtout le partage des biens avec les personnes qui en ont le plus besoin.
Tu es curieux comme une belette, tu aimes apprendre de nouvelles choses que ce soit dans des livres ou sur les personnes qui t'entourent. Tu as toujours des tonnes de questions à poser. Seán, quand tu es de mauvaise humeur, tu es un râleur invétéré. Il t'arrive de râler sur tout ce qui bouge juste pour te passer les nerfs.
• Venant tout juste de finir de mendier, tu décides de retourner à ton abri de fortune en passant devant quelques magasins. Tu en profites pour regarder le reflet que t'offre la vitrine de la boutique quelques secondes. Depuis que tu n'as plus de toit au-dessus de la tête, tu n'as plus portée attention à ton physique, mais aujourd'hui tu vas te regarder seulement pour voir ce que tu es devenu et surtout voir l'image que tu renvoies au passant. Premier constat, ce n'est pas grandiose.
Le visage, que te renvoies la vitrine, a les traits tirés, la fatigue et la faim se lit sur son visage. Des cernes ont fait leur apparition au-dessous de tes yeux bruns et ton visage a perdu de sa rondeur, mais sur tes joues trônent toujours fièrement des taches de rousseurs que tu sais présente sur d'autre parti de ton corps. Ta peau a toujours la même couleur hâlé, ce point ne change jamais malgré le temps et les saisons. Sur tes lèvres trônent toujours un petit sourire qui veut chaque fois dire quelque chose, aujourd'hui c'est un petit sourire gêné face au reflet misérable que tu vois dans la vitrine.
Tu enlèves ton bonnet pour découvrir des cheveux bruns devenus gras par le manque de soin et un peu plus long au niveau de la nuque, que ce que tu avais avant d'atterrir dans la rue. Tu finis par baisser les yeux sur le reste de ton corps emmitouflé dans de gros vêtements pour vaincre le froid qui se fait un peu plus présent dehors. Tu te rappelles, qu'en dessous ces couches de vêtements, tu possèdes un corps fin, mais avec tout de même un peu de muscle. Lors de ta dernière visite chez le médecin, ce dernier t'a informé que tu mesurais un bon mètre soixante-dix-huit pour soixante-dix kilos. Aujourd'hui tu dois sûrement faire la même taille par contre ton poids a dû légèrement fondre comme neige au soleil. En frottant tes doigts les uns contre les autres tu sens qu'elles sont sèches et abîmé par le froid, quelques crevasses ont aussi fait leurs apparitions.
Pour être clair, tu n'as aucun style vestimentaire. L'hiver, tu portes toujours plusieurs couches de vêtements. Toujours les mêmes, tu n'as pas beaucoup de change. Certains de ses vêtements ressemble plus à des serpillières vues le nombre de trous qu'ils possèdent, mais tu n'es pas en mesure de faire la fine bouche. Et lors des périodes chaudes, ce sont les mêmes vêtements, sauf si par chance tu en trouves en fouillant les poubelles ou donner par de sympathique passant, en couche moins nombreuses.
Every life begins with a breath
Cher Jolan, tu es né et a grandi à Cork en Irlande d'une mère ayant des origines amérindiennes venu en Irlande pour étudier l'histoire de ce pays et d'un père étant né et ayant grandi à Cork. Ton enfance n'a pas été mouvementée. Ta mère t'a appris à jouer de la guitare tandis que ton père t'enseigne les rudiments du football gaélique. Tu as tout de suite bien aimé ce sport, car il est bien moins violent que le rugby à XV. Les cours se passent plutôt bien, tu gravis les échelons à la même vitesse que tous les autres élèves.
A la fin du cycle senior, tu décides de continuer tes études dans la médecine et pas dans n'importe quelle faculté. Tu souhaites rejoindre l'université Millenium se trouvant à Londres. Tu veux rejoindre cette université en particulier tout d'abord car elle est très bien quotté et surtout parce que tu souhaites t'éloigner de tes parents pour pouvoir vivre comme un grand garçon tout seul, avoir ton indépendance. Cependant, tes parents ne réagissent pas comme tu le souhaites. Ton père se braque et t'interdit catégoriquement de quitter l'Irlande. Toi qui pensait que c'était ta mère qui allait refuser, mais là c'est ton père que tu dois convaincre, c'est un plus gros lot, plus difficile.
Un combat de mot est engagé, aucun de vous deux ne lâche le morceau. Ton père finit par te lancer la menace ultime, la dernière qu'il a en réserve et tu le sais. Il t'hurle que si tu y vas, il ne t'aidera pas financièrement, qu'il te laissera totalement indépendant comme tu le désirs tant. Dommage pour ton père, c'est vraiment ce que tu souhaites et même si financièrement tu devras assurer tout seul, ce n'est pas grave, tu es certains que tu vas t'en sortir. C'est ta destinée d'aller là-bas.
Ton père n'accepte pas vraiment, mais il finit par te dire de faire ce que tu souhaites. Il te dit aussi qu'il t'aidera à trouver un appartement et le payera le temps que tu te trouves un boulot ensuite tu seras tout seul et en plus il payera l'année d'étude. Ce qui l'énerve le plus ce n'est pas que tu continues tes études, mais que tu quittes l'île natale, il aurait aimé que tu restes en Irlande ou que tu ailles ailleurs qu'en Angleterre, vielle rancœur.
Arrivé à Londres, tu trouves rapidement un boulot en tant que serveur dans un restaurant pas trop loin de l'appartement trouvé rapidement par ton père. Le salaire que tu touches te permet largement de payer ton loyer et de quoi te sustenter, tu ne peux cependant pas, à côté, faire de grandes folies, enfin pour l'instant.
Néanmoins, tout ne se passe pas comme prévu. Le restaurant dans lequel tu sers fait faillite, Seán le patron est obligé de te renvoyer. Tu finis sans emploi. Sans revenu tu te retrouves très vite dans l'impossibilité de payer ton loyer, mais ta fierté t'interdis de demander de l'aide à ta famille, de toute façon tu sais exactement la réponse que tu recevras « Tu n'as plus qu'à rentrer à la maison! » avec un cinglant « je te l'avais dit » de ton père. Et il en est hors de question. Tu te dis que de toute façon tu trouveras une solution quelconque.
Encore une fois, tout ne se passe pas comme tu l'entends. Tu as trouvé aucune solution, le propriétaire de ton logement finit par te foutre dehors, ne pouvant plus de garder chez lui perdant beaucoup d'argent.
Tu te retrouves donc à la rue, mais tu continues à aller en cours jusqu'au jour où tu n'arrives plus à allier les deux, la fatigue due aux nuits trop courtes font t'endormir en plein milieu des cours. Pendant que le peu d'argent qu'il te reste s'envole en fumé, te laissant bientôt sans rien pour te nourrir.
Pauvre Seán, tu passes dorénavant la plus grosse partie de tes journées à mendier devant les magasins et autre endroit où tu as plus de chances de rencontrer des personnes pas trop proches de leur sous ce qui est assez difficile de nos jours. Et le reste de ta journée tu la passes à fouiller les poubelles. Les jours passent et l’inquiétude monte l’hiver se rapproche et tu es loin d’être sorti de ce merdier.
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