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Iestyn | dragonborn

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Jeu 30 Juin - 14:51


IESTYN CADWALADR
NOM : On t’a dit que Cadwaladr (/kadʊaladr/) était le nom du plus grand roi que le sol britannique ait connu et tu le portes avec fierté (même si cela signifie l’épeler constamment à cause de l’orthographe).
PRÉNOM : Tes parents t’ont appelé Iestyn (/jɛstɪn/). Il ne voulait certainement pas d’un prénom trop anglais pour toi, en même temps, il faut les comprendre : on est Gallois ou on ne l’est pas. Et parce que tu as même eu la chance de naître le jour de la fête du Saint Patron de ton pays, tu as écopé de Dafydd (/davɪð/) comme second prénom.
ÂGE : Aujourd’hui tu as 26 ans et tu as du mal à croire que tu es désormais plus proche de ta trentaine que de ta vingtaine. C’est triste de voir ainsi filer sa jeunesse.
SEXE : Aux dernières nouvelles tu es un homme et il n’y a aucune raison qu’on te dise le contraire, même si tu as été toujours inclus dans les « mesdemoiselles » de ton entraîneur de rugby.
NATIONALITÉ : Tu aimerais le crier dans tous les rues de Londres, que tu voudrais qu’on abandonne cette histoire de nationalité britannique que tout le monde appelle « anglaise » à force d’oublier que ton pays de Galles natal fait partie d’une Union avec d’autres pauvres nations soumises à la Perfide Albion.
ORIENTATION SEXUELLE : Jusque-là, tu ne t’es jamais vraiment posé la question, alors tu te dis hétérosexuel, c’est plus simple pour tout le monde puisque c’est l’orientation la plus courante.
SITUATION AMOUREUSE : Personne chez toi à part ton chat, tu vis une pleine vie de célibataire sans vraiment chercher le grand amour non plus. Tu attends que ça te tombe dessus.
GROUPE : Tu fais partie du personnel enseignant du Lycée Millenium depuis deux ans maintenant. Tu commences à te faire au rythme des cours et à tes différentes classes, mais tu es encore trop jeune pour ce poste d’après les dires de tes collègues.
ANNÉE / MÉTIER : En cela, tu enseignes l’anglais, la langue, ses cultures, ses littératures.
OPTION(S) : : A moins que des étudiants ou des élèves de lycée émettent l’envie de fonder un club de rugby, tu n’es responsable ni enseignant d’aucune option.
AVATAR : On t’a souvent dit que tu avais un faux air à ce personnage de Haikyuu!!, un gars nommé Hajime Iwaizumi.
IN REAL LIFE
PSEUDO : Oh Raie.
ÂGE : Senpai.
COMMENT AVEZ-VOUS CONNU LE FORUM ? DC. ♥
PETIT MOT : Iwa m'a tapé dans l’œil et maintenant, j'ai un coquard. :c
CODE : C'est ok ! - Nolan
C'EST UNE BONNE SITUATION CA, PROF ? Vous savez, moi je ne crois pas qu’il y ait de bonne ou de mauvaise situation. Moi, si je devais résumer ma vie aujourd’hui avec vous, je dirais que c’est d’abord des rencontres. Des gens qui m’ont tendu la main, peut-être à un moment où je ne pouvais pas, où j’étais seul chez moi. Et c’est assez curieux de se dire que les hasards, les rencontres forgent une destinée... Parce que quand on a le goût de la chose, quand on a le goût de la chose bien faite, le beau geste, parfois on ne trouve pas l’interlocuteur en face je dirais, le miroir qui vous aide à avancer. Alors ça n’est pas mon cas, comme je disais là, puisque moi au contraire, j’ai pu : et je dis merci à la vie, je lui dis merci, je chante la vie, je danse la vie... je ne suis qu’amour ! Et finalement, quand beaucoup de gens aujourd’hui me disent « Mais comment fais-tu pour avoir cette humanité ? », et bien je leur réponds très simplement, je leur dis que c’est ce goût de l’amour ce goût donc qui m’a poussé aujourd’hui à entreprendre une construction mécanique, mais demain qui sait ? Peut-être simplement à me mettre au service de la communauté, à faire le don, le don de soi.

PHYSIQUE / MENTAL

Beaucoup s'amusent à te comparer à George, le Yeti de la pub Tic Tac. Ils disent que tu es doux et frais à l'extérieur, mais ce qu'ils ne savent pas c'est que, dans tes veines, coule une rivière de chocolat chaud qui rendrait Willy Wonka fou de jalousie.

C'est exactement comme ça les autres te perçoivent. Dans les premières rencontres, tes sourcils froncés et ton visage fermé derrière tes lunettes de vue te donnent un air autoritaire et sévère qui sied parfaitement à ta stature d'ancien rugbyman d'université. Tu ne fais pourtant qu'un petit mètre soixante-dix-neuf, et tes élèves, tu as l'impression qu'ils te dévisagent comme si tu allais en faire ton cinq heures. Il règne comme une sorte de tension les jours de rentrée, à la fois pour toi qui n'est pas encore tout à fait à l'aise avec de nouvelles têtes, et pour tes jeunes disciples (lol) qui voient dans tes quatre-vingt kilos de muscles le prof d'anglais à abattre (ou à se mettre dans la poche, au choix). Peu étrangement, c'est quand tu ouvres la bouche que les yeux apeurés s'arquent de sourires un peu narquois, un peu moqueurs. Comment repérer le Gallois dans la foule ? C'est celui qui a un accent stupide et qui a l'air doublement d'un crétin. La voilà donc la douce langue galloise à l'accent du sud que tu as toujours entendue avant d'apprendre correctement à parler la « langue des gens civilisés ». Tu en as d'ailleurs gardé l'accent et tu en es foutrement fier.

S'il y a bien quelque chose que tu as hérité de ton père sinon son chauvinisme, ses yeux noisette et ses cheveux bruns, c'est bien sa fierté. Parce que le pays de Galles est un pays de bosseur, un pays où on n’a rien sans rien, tu as appris très tôt que si tu voulais quelque chose, il fallait l'obtenir à la sueur de ton front. En cela tu as hérité de cette qualité que tout le monde est forcé de reconnaître : tu es un grand travailleur. Ton métier ? Concours de circonstances, mais il n'empêche que tu sais t'adapter, à ton public, au programme, à tout ce que le système éducatif anglo-gallois te demande. Tu n'as aucun problème à faire travailler un module d'argumentation en même temps que le roman et le théâtre (l'exemple le plus simple est ta façon de faire étudier Orgueil et Préjugés : à coup de jeux de rôles Darcy-Lizzie sur fond de joutes verbales). Tu es un économiseur d'efforts et si tu n'aimes pas te fier à des cours vus et revus cents fois sans succès de la même façon, tu aimes faire à ta manière, que cela plaise ou non à tes pairs. Ta pédagogie est personnelle et tu as beau être dur dans tes notes, tu n'en es pas moins juste. Si les efforts sont là, tu te dis que personne n'a rien à redire. Le favoritisme ne marche pas avec toi, de toute façon et si tu juges qu'un élève à un potentiel Forest Gump, c'est que c'est le cas.

Cette passion dans tes yeux, tu ne l'as pas que pour la littérature. Tu aimes lire un livre seul tout comme tu aimes la compagnie (calme) des autres. On dit de toi que tu es indépendant, car si tu te penses extraverti car tu pourrais parler des heures sur un sujet précis que tu aimes, ce n'est pas ce qu'on entend. Cela se voit que tu aimes être seul pour faire les choses dont tu as envie et tu ne tolères pas vraiment quand c'est le boxon. Alors tu uses de la voix (qui est pourtant douce et chaude), plus que tu n'uses des poings. Ta mère te l'a toujours dit, en vérité, tu es un grand sensible. Là est toute la métaphore du chocolat chaud. Un peu rêveur, un peu poète, un peu naïf voire romantique, tu as tendance à réagir un peu trop spontanément à ton environnement et à ce qui s'y passe. Tu n'oses pas l'avouer, mais tu es attentif aux besoins des autres, aux tiens ensuite, et même si t'es un peu un manche pour t'exprimer verbalement, la bonne tape sur l'épaule est ce qui fonctionne en général (vieilles habitudes de rugby que tu as gardées malgré ton accident il y a quelques années).

Des trucs comme l'amour, tu connais, un peu. A vrai dire tu n'as jamais vraiment eu de relation sérieuse (mais assez pour ne pas te rendre manchot sur le sujet). Quand tu ne tombais pas sur une douce manipulatrice, c'était sur une jolie profiteuse. Trop gentil, trop passionné, trop fougueux, tu vis les choses à 110% sans vraiment réfléchir aux conséquences. Et quand il s'agit de l'amour, quand on touche aux sentiments les plus intimes, ceux que tu ressens au plus profond de toi sans arriver à correctement les montrer, la déception est d'autant plus destructrice que l'investissement personnel est grand. Autant dire que tu as toujours mal vécu les séparations (et ce n'était jamais toi qui rompais, trop bon trop con comme on dit), si bien que tu t'es refermé sur ce sujet beaucoup trop important à tes yeux de peur de te voir à nouveau mis en pièces.

En revanche, les gens qui te connaissent bien et en qui tu as parfaitement confiance te verront comme quelqu’un de relativement ouvert à tout et sans préjugés (en même temps, il est rodé depuis qu’il va en convention, si bien qu’il n’a totalement changé de comportement et d’avis sur certains sujets), n’hésitant pas à balancer les sous-entendus graveleux à la mode vestiaires de rugby (parce qu’il faut dire que les rugbymen sont intarissables sur le sujet). Sous tes derrières de romantico-sensible se cache un bonhomme, un vrai, celui qui fait des concours de rots avec ses potes et au langage parfois un peu cru, mais ce n’est une partie de toi que tu ne montres qu’à peu d’élus (et des mecs en général).

Pourtant, toi, tu ne te vois pas comme ça. On te dit plein d'empathie mais tu peux t'avérer cynique et négatif lorsque l'énervement se fait sentir. Tu ne fais plus attention à ce que tu dis. De nature directe et honnête, voir un peu franc du collier, l'agacement te fait oublier que tes paroles peuvent atteindre les sentiments des autres plus profondément que tu ne pourrais le penser. Ta mère te dit sensible ? Tu te vois émotif, impulsif et susceptible. Lorsqu'on se moque d'un sujet qui te tient à cœur, tu le sais, tu perds ta constance et ta réserve naturelle pour mieux exploser. Tu es loin d'être violent et tu as souvent tellement honte de l'état pitoyable dans lequel tu te mets que tu finis par t'isoler, tout simplement (et regarder Love Actually ou Bridget Jones avec un pot de glace et ton chat). Te pousser à bout ne rend pas les choses plus simples car en plus de réagir de façon embarrassante pour tout le monde, tu es terriblement rancunier. Il est déjà difficile pour toi d'accorder ta confiance à quelqu'un, tu ne réfléchis même à accorder ton pardon au fautif ou la fautive qui a blessé ton orgueil de Gallois.


Tu es droitier △ Tu écris en lettres capitales △ Ton chat s'appelle Obi-Wan △ Tu es un total manche en cuisine et tu es capable de faire exploser ton bol de céréales △ Tu chantes sous la douche △ Tu es un fan de jeux vidéo et d'anime sans être un otak' △ Tu es un couche-tard, lève-tôt △ Tu es un cosplayer (et on te voit souvent en convention à Londres) △ Tu te débrouilles plutôt bien en fabrication d'armures en tapis de sol et en couture △ Ton livre de chevet, c'est le catalogue IKEA (pour les boites de rangement) △ Tu dors sur le côté et ne bouges pas durant la nuit △ Tu préfères manger salé le matin △ Tu n'aimes pas le poisson cru mais tu adores les brochettes au fromage △ Tu continues de faire du sport de manière régulière mais sans forcer.



HISTOIRE

Tu es né d’une famille modeste au sud du pays de Galles, principauté par défaut soumise à une nation beaucoup plus vaste aussi caractérisée par son euroscepticisme que par sa mauvaise bouffe. Fils unique d'une famille moyenne, tu as grandi dans ta ville natale de Llanelli avec un père frustré, pro-indépendance, ancien mineur de Y Bers et activiste anti-Tatcher dans les années 80, et une mère ancienne bibliothécaire reconvertie dans l’hôtellerie. Très jeune, tu découvres les passions de tes parents : l’un est un fan de rugby et rêve de te voir un jour jouer dans l’équipe nationale, l’autre une bibliophile avertie des romans du XIXème siècle et de chant. Ce n’est pas bien difficile de deviner dans quel milieu tu as grandi.

Tu commences très tôt le rugby. C’est un sport que tu n’aimes pas spécialement : c’est fatiguant, on se fait agripper, on tombe dans la boue, on se fait crier dessus, on a des bleus, des égratignures et pour couronner le tout, ça fait fichtrement mal. Mais voilà, Papa tient à ce que tu en fasses, alors tu lui fais plaisir. Ce n’est pas aussi évident qu’avec ta mère. Dès que tu as su décrypter les lettres, les mots, les phrases, elle t’a mis un livre dans les mains, envoyé à la chorale et depuis, tu ne les as plus jamais quittés. Cette passion dévorante pour la littérature et surtout la poésie, n’enchante pas ton père, mais ta participation à l’Eisteddfod a vite fait de le radoucir et de le rendre plus fier de toi encore. Vers tes dix ans, il est déjà beaucoup moins sur ton dos, et sans cette pression constante de la réussite, tu commences à apprécier ce sport violent dans lequel on t’a plongé, au point de vouloir faire ton collège et ton lycée partagé entre les cours et le rugby. Tu continues malgré tout le chant, c’est quelque chose à laquelle ta mère tient, mais voilà, tu es juste incapable de choisir. Vas-tu faire ta vie dans le monde sportif ou vas-tu te lancer dans un bachelor de lettres une fois tes A-levels en Anglais (langue et littérature), Gallois (première langue) et Sport acquis ?

Jusque-là, tu ne t’es jamais vraiment posé la question, mais l’entrée à l’université se rapprochant, il faut faire un choix. Tu ne réfléchis pas vraiment, et tu en tentes une à Londres, la Millenium. Tu croises les doigts pour que ton B en Anglais et ton A en Sport te permettent de reporter à un peu plus tard ce choix déchirant que tu vas devoir faire. Et puis Londres, ce n’est pas si loin, tu peux revenir pendant les vacances aider tes parents à l’hôtel. Mais voilà, le destin a décidé que ta vie était trop belle et que t’allais foirer en seconde année. Être ailier dans une équipe universitaire, c’est s’exposer constamment aux tacles, certes, mais pas n’importe comment. Il y a des choses qui devraient être limite interdites, comme la tête adverse, de face, à pleine vitesse et en plein sur l’épaule. La clavicule ne supporte pas le choc et même si l’opération qui suit est un succès, les fractures se soignent mal et tu es contraint de tout arrêter. Voilà, du jour au lendemain, tes quinze années de rugby sont finies. C’est comme si on t’avait amputé d’une partie de toi. Tu as du mal à l’avouer, mais après ça, tu en as mouillé des oreillers. Tu réalises que tu ne pourras jamais prendre cette décision que tu as toujours remise à plus tard. Ça te frustre, ça te fout en rogne, ça te déçoit plus que tu ne veuilles le montrer. Tu loupes ta seconde année pour ne pas avoir pu te présenter à tes examens. Qu'importe, au lieu de te mettre à déprimer, tu recommences et tu mets les bouchées doubles. Tu n’as pas tout perdu, il te reste la littérature. C’est quelque chose que tu aimes autant que le rugby, c’est quelque chose que tu aimerais enseigner. En cinq ans, tu obtiens ton bachelor, l’année suivante un master of education, avec les honneurs. Tu as rabattu toute ton énergie dans ce premier amour qui ne t’a jamais laissé tomber. Et grâce à des lettres de recommandation, un excellent cursus scolaire et une passion qui se voit jusque dans ta propre voix, tu réussis à te faire embaucher dans le lycée juste à côté de ton ancienne université, après avoir passé un an à faire les prof' remplaçants.

Tu as maintenant 26 ans, tu vis avec ton meilleur pote au dessus de sa boutique, avec ton chat et tu te sens bien. C’est jeune pour un prof’ comme on dit. Tu as du mal à te faire respecter par tes élèves, au début, mais ils apprennent vite à te faire confiance et à t'apprécier (du moins tu l'espères) : tu n'hésites pas à te faire l'avocat du Diable si l'opinion d'un de tes collègues sur le comportement de tes protégés te semble injuste. Tes cours donnent l’impression de cours de récrée et tu t’amuses même à comparer tes étudiants à des personnages de roman, mais c’est ta façon de faire et tant pis si cela ne plait pas aux derniers pairs traditionno-conservateurs de la première heure qui restent.

Caelan A. Fryer
Caelan A. Fryer
Fleuriste
Date d'inscription : 17/06/2016
Messages : 109
Age (du personnage) : 26 YO
Orientation sexuelle : BISEXUEL
Etudes/Métier : FLEURISTE
Pounds : 991
Jeu 30 Juin - 14:55
T'es un beau bébé, jtm. :oupss:
Kiseki Nakajima
Kiseki Nakajima
Éducateur de jeunes enfants
Date d'inscription : 18/06/2016
Messages : 213
Pounds : 1219
Jeu 30 Juin - 22:45


Validation
Re-bienvenue à toi ♥

J'aime tellement ton personnage ! Et j'te l'ai déjà dis avec Aurélien j'crois mais j'aime trop comment tu écris *3* Y a pas de fautes, c'est cohérent et tu donnes des petites doses d'originalité à ton personnage que j'adore ♥

(Je veux un lien avec Kiseki, tmtc !)

J'ai vraiment rien à dire sur ta fiche, donc je te VALIDE sans attendre ~

Maintenant que tu as ta couleur et ton rang, tu vas pouvoir t'acquitter de tâches administratives !

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