Date d'inscription : 03/02/2016 Messages : 498 Pounds : 22788
Mer 3 Fév - 0:54
⌊ Bowen Yuniko ⌉
Nom ∠ -- Bowen -- Prénoms ∠ -- Yuniko -- Âge ∠ -- 17 ans -- Sexe ∠ -- Féminin -- Nationalité ∠ -- Japonaise -- Orientation sexuelle ∠ -- Quand je le saurai, je vous tiendrais au courant. --
Situation amoureuse ∠ -- Amoureuse de moi même. -- Groupe ∠ -- Lycéenne -- Année/Métier ∠ -- Première année -- Option(s) ∠ -- Etude et pratique de l'athlétisme // Economie -- Avatar ∠ -- Kagamine Rin-- -- Vocaloid II --
« You see me but you don't know me »
-- Comment peut-on se décrire en quelques mots quand l’on s’aime tant ?
Bon, ce n’est pas que je n’aime pas parler de moi ; mais il y a tant de choses à dire que je ne saurai pas par quoi commencer. D’un point de vue physique, je pense que je suis tout aussi juvénile que le montre ma taille. À côté de certaines personnes dans la rue, me fais passer pour une enfant parfois. On m’a longtemps provoquée à ce sujet, mais jamais je n’ai trouvé utile de répondre à la stupidité des autres. Mon corps n’est pas très épais et demeure très chétif malgré le bons nombres de « cochonneries » que je suis capable d’ingurgiter. À vrai dire, étant ce qu’on trouve en ville ; ça y va de bons cœurs. Enfin revenons à moi ; seins normaux, petites fesses, bras effilés, jambes longilignes … Dit comme cela, je n’ai pas l’air présentable. Pourtant, « Petite et maigrichonne, mais incroyablement jolie » c’est ce que m’a toujours dit mère. Sans vanité, je pense que c’est assez vrai. Et puis, mon apparence garde tout de même un charme particulier qui lui est propre, même si on ne le soupçonne pas toujours. De nos jours, la première chose qu’on regarde c’est souvent les seins et les fesses ; -enfin les hommes surtout hein- donc mon charme, je pense qu’il n’est visible que par moi.
J’avais hérité de la blondeur de ma mère. Cette brillante chevelure dorée et naturelle était particulièrement remarquée, tant elle devenait rare. Et en plus de ça, jaune poussin, vif et nuancé. Je pouvais le prendre comme un don, tant les personnes de nos jours usent de temps et d’argent pour colorer leurs cheveux. Depuis toute petite, je garde mes cheveux or constamment lisses et de la même longueur. Je n’avais pas à la fois envie de ressembler à boucle d’or ou encore à Raiponce. Malgré cela, on parvenait à critiquer cela entre les « mauvais genres » ou « Fille banale ». Mais déjà à l’époque, je me fichais des remarques ; j’aimais avoir mes cheveux ainsi. Je n’avais pas de raison particulière de préférer cette coupe à une autre, mais c’était pourtant le cas. Je rajoute souvent un ou deux accessoires sur mes cheveux, trouvant cela plus mignon que de laisser mes cheveux voler avec les aléas qui entourent mon quotidien. Puis pour une fois, j’aurai l’air présentable.
Quant à mon visage … Une forme de visage arrondie avec de doux traits, de grands yeux brillants et expressifs, d’une belle couleur bleue turquoise ; tendant parfois au vert, des lèvres fines mais pulpeuses, des joues bien roses, un petit nez discret, une peau laiteuse et sans défauts, le tout entouré de ma couronne dorée. Et pourtant, me direz-vous mesdames : Comment je-fais pour avoir peau si belle ? Les commères diront par jalousie que je ne suis qu’une gamine, ou d’autres diront que je dois me tartiner de produits de beautés. Mais ce ne sont que de belles paroles sur moi, toisés par les regards outrés et amusés dont j’en suis victime parfois. Dire que je ne suis pas comme toutes ses dames, à constamment avoir leurs produits de beautés sur soi et à se pavaner avec une couche sur leur visage. Je passe juste du temps à entretenir ma couronne et rien d’autres. J’attire la jalousie chez la gente féminine ; mais de l’autre côté je ne veux pas imaginer ce qui se dit sur moi. Vraiment pas. C’est vrai qu’à première vue, je n’ai pas vraiment l’air « normale » ; voir pas du tout. J’ai toujours privilégiée les couleurs et les ensembles dépareillés, aux genres devenus banale aujourd’hui. Alors oui, mon style choque ; ou il séduit, selon les personnes que je rencontre. Malgré tout, toujours fidèle à ma personnalité, je porte à toutes occasions une grande quantité d’accessoires mignons et colorés. J’aime sortir du lot, je ne le cache pas. J’aime provoquer l’intérêt des autres ou les provoquer tout court. J’aime être unique, je ne le cache pas et ceux même si aujourd’hui, cela devient de plus en plus difficile de trouver le « quelque chose » de plus.
On me dit naturellement pétillante. Je ne pourrais pas vous dire si cela est vrai et je m’en fiche royalement d’ailleurs. Je suis bien dans ma tête, bien dans mon corps et cela beaucoup de gens me le prendraient volontiers. Le reste, ça ne m’atteint pas. Pourtant, il est vrai que, même physiquement je dégage une d’onde positive remplit d’énergie. Ce qui me captive le plus en moi ? Eh bien… Je ne sais pas moi. Tout, peut-être. Si vous prenez ma bouche sans ce qui va avec ça n’a pas d’intérêt…Si ? Par exemple, si j’avais été grande, mon côté mignon « d’enfant » serait totalement annulé et je serai moche. Je pense donc que prendre un pétale d’une rose comme chose la plus belle de celle-ci est une attitude erronée. La fleur n’est belle que dans son entièreté, tout comme une œuvre. Il suffit de lui enlever un élément pour dénaturer l’œuvre. Oh, je dis de belles choses moi..
Et maintenant, la tête…
Attaquons la partie la plus difficile, car ce qu’il y a dans ma tête ? Eh ben, c’est comme chercher des affaires dans le sac d’une fille. Le bordel quoi.
Pour reprendre les mots de mon entourage, je suis « une gamine survoltée et intenable », « une petite insolente irresponsable » et j’en passe. Difficile d’y croire non ? D’autant plus lorsque vous voyez ma tête. Moi, je n’ai pas de jugement personnel ; alors je me contente de répéter ces mots-ci. Même-ci à vrai dire, ce n’est pas si faux que ça… Mais j’ai aussi entendu des remarques positives, n’exagérons pas ! Je vais me répéter mais, ce sont quand même des compliments ; comme lorsque les gens disent : « Quelle jeune fille positive » ou « Quelle énergie débordante ». Enfin bref, c’est ce que disent les autres. Bien que, comme je l’ai déjà dit, je n’ai pas vraiment la capacité de me décrire moi-même, je vais essayer de détailler un peu plus. Chose que j’admets, c’est que je ne tiens pas en place. Vous savez, comme ces enfants en bas âge qui ne peuvent pas rester sans rien faire plus d’une minute ? Eh bien voilà, c’est tout moi, la grande enfant. C’est simple, j’ai purement le caractère d’une petite fille. Capricieuse, dépendante, irresponsable, insouciante, enthousiaste, têtue … Bon, évidemment, j’ai quand même mon caractère à moi. Mais c’est dur à décrire. À vrai dire, je suis un spécimen unique. C’est pour ça que j’aime, mais n’allez pas dire que je suis narcissique ; c’est un terme qui dénature l’œuvre je trouve.
Et si nous procédions par « défauts/qualités » ? Alors, commençons par les mauvais côtés… Je suis affreusement bavarde, –Oui, pour une fois j’ai l’air un peu plus normal- bien trop énergique, toujours en mouvement, extrêmement jalouse et possessive, capricieuse, enfantine, je cherche toujours à jouer, je n’écoute pas les ordres, fuis toutes mes responsabilités, naïve… Que dire d’autres, à part que j’ai l’air de la plus affreuse des gamines dit comme ça. Vous savez, des défauts, je pense en avoir tellement. Mais franchement, je m’aime comme je suis. Bon allez, passons aux qualités. Je suis quelqu’un de très positive, qui cherche toujours à voir le bon côté des choses, très câline aussi, mignonne peut-être ? Oh puis zut, je n’arrive pas à parler de mes côtés positifs ainsi.
À ce stade-là, que peut-on dire sur notre chère Yuniko ? Une fille qui a les pieds sur terre, mais qui est aussi enfermée dans une bulle enfantine. Me direz-vous que tout ceci est normal non ? Le jour comme la nuit, deux facettes se montrent à elles ; mais ce n’est que le début. Elle n’aura pas fini de vous surprendre.
Il y a une chose que j’ai retenue à propos de moi-même et qu’il est très important de dire. Je suis réellement une pure enfant, autant physiquement que mentalement. Comme enfermée dans ma bulle, de l’extérieur, on ne me voit que comme une petite fille déraisonnable qui n’a peur de rien, active et joueuse. L’inconnu ne m’effraie en rien et je n’ai pas peur du changement non plus. Je ne redoute pas la mort également. Mon existence même, ma façon de vivre sont basées sur le fait que l’on vit au jour le jour. Je profite donc de chaque jour à son maximum, prenant absolument tout ce qui m’est donné, que ce soit de petits soucis ou de graves problèmes, avec joie et de bons cœur. « Carpe Diem » sont des mots d’ordres que je me suis imposée au fur et à mesure de ma vie. Et oui, malgré mon côté enfantin, je suis quand même quelqu’un de cultivé. Mais n’en disons pas plus sur ce point-là, ça ne saurait être gai. Les cours, l’éducation, la culture et tout le tralala c’est une bonne chose ; je peux le reconnaître. Mais il n’y a rien de bien joyeux d’en parler hors contexte de la salle de cours. Revenons donc au sujet. Tout ceci fait que, peu importe la douleur ou la gravité de la situation, je garderais toujours ce même sourire franc et joyeux sur le visage. Ensuite… Je suis franche. Trop parfois peut-être. Mais je ne peux pas, ne sais pas mentir. Je dis toujours ce que je pense sans rien cacher et sans gênes. J’assume absolument chacun des mots qui sortent de ma bouche, et n’ai ni honte ni regrets en moi. Vivre avec des regrets, c’est vivre avec une part d’ombre en soi. Je ne suis pas comme ces personnes qui parlent dans le dos des gens, ou qui n’assume pas leurs dires en face à face. Tout ce que je pense sort de ma bouche et ceux même si cela peut blesser parfois. Pourtant, je ne m’en rends pas compte quelquefois. Cela est peut-être dû à la part « innocente et enfantine » en moi. De plus, je fais trop facilement confiance, chose qui me rend incroyablement naïve. Je ne vois que le bon partout, ce qui m’empêche de voir le côté sombre qui réside en chacun. Il m’arrive d’ailleurs souvent de croire n’importe quoi, et n’importe qui. Par exemple, je suis le premier pigeon à sauter sur n’importe quelle offre commerciale ; enfin quand je le peux.
Mon comportement peut parfois paraître puéril, j’en ai conscience. Et je l’admets, c’est entièrement vrai. Mais je n’en ai absolument rien à faire. Non, je ne réfléchis pas avant d’agir. Je suis imprévisible et décide tout sur un coup de tête, ce qui a d’ailleurs le don de me mettre dans des situations désastreuses parfois. Je déteste les personnes qui se posent un tas de questions, qui cherchent le pourquoi du comment, ou encore celles qui se laissent engluer dans le quotidien ou dévorer par la haine, la tristesse, ou encore la misère. Boulot, métro, dodo par exemple ; trop peu pour moi. Je ne veux surtout pas me voir dans le futur, quels choix je ferais après le lycée etc. Selon moi, nous avons qu’une seule vie, alors pourquoi perdre ainsi du temps à la compliquer ? Moi, je fonce tête baissée dans le tas, et je regarde seulement après si je suis encore en vie. Sinon, tant pis. Au moins j’aurais pleinement profité de cet instant.
« Son attitude est surement due à une enfance difficile et contrainte. » vous dites-vous ? Eh ben, non. Mon enfance était tout ce qu’il y a de plus parfaite. J’étais comblée, heureuse et avait tout ce dont une petite fille pouvait demander. Ma personnalité vient seulement de ma volonté à vouloir rester une enfant. Ou plus précisément du jour où j’ai compris que la vie des adultes n’avait rien d’enviable et méritait d’être oubliée. En réaction à ce « déclic », mon organisme a comme supprimé cette période-là de ma vie et n’a retenu qu’une heureuse jeunesse. Alors oui, on peut dire que c’était un peu le rêve de l’enfant que je fus. Celui de rester une fillette joviale et insouciante. De rester la douce Yuniko et ceux pour toujours.
« Every life begins with a breath »
De la douceur de l’enfance…
Une douce odeur de rose, berçait mon enfance. Les fleurs représentent pourtant divers signes qui sont multiples. Elles peuvent être joie, tristesse où signe d’un mal pesant. Dans mon souvenir, les fleurs étaient plus signes d’innocence qu’autres choses ; telle une enfant qui cueille et joue tout bêtement avec des pâquerettes. Je m’aime un peu, beaucoup, passionnément, à la folie.
Commençons par le commencement. Pour connaître mon histoire, l’histoire de la lady Bowen ; il faut remonter en 1999, dans un village perdu non-loin du Mont Fuji. Un beau jour ensoleillé, un 2 Février pour être précise, une ravissante demoiselle vit le jour dans une grande famille -Bon d’accord, j’étais fille unique ; mais c’était quand même une grande famille… Ah, oui ! C’est vrai qu’au niveau financier nous étions grands.- En effet à ce moment-là, la société que père gérait était une des plus grosses du pays. Et oui, malgré le contexte économique du pays à ce moment-là ; père arrivait malgré tout à gérer les affaires. Enfin, revenons à mon histoire. De cette belle journée, arriva le doux prénom Yuniko que mère voulait absolument que je porte. Elle trouvait que cela donnait un côté poétique entre les racines anglaises de père et les siennes qui sont japonaises. Une belle preuve d’amour non ?
Je grandissais petit à petit et devenait plein de vie ; un peu comme aujourd’hui non ? Enfin, si l’on retire le « grandir » ça me va très bien. Déjà à l’époque, je passais mon temps à contester et désobéir aux ordres. Je n’en faisais qu’à ma tête, telle une « pourrie gâtée » comme certains pourraient dire. Mais malgré cela, mes parents jouaient et prenaient du temps avec moi dès qu’ils le pouvaient ; dès qu’une chose quelconque me plaisait, je l’avais. Que demander de plus ? À part le fait que je doive aller à l’école. Je n’étais pas dernière de la classe, ni la première ; mais j’en faisais juste assez. Une autosuffisance marquée par un regard constant sur le paysage dont bénéficiait l’école. Ce dernier faisait que j’allais régulièrement au coin, afin que je ne regarde plus dehors. Je n’aimais pas travailler et encore moins rester plusieurs heures assises sur une chaise. Je manquais de liberté à mon goût, j’aurai bien aimé sortir en ville, découvrir les métropoles du pays et déambuler un peu partout, afin de découvrir les coutumes, les quartiers d’affaires et ses gratte-ciels… On apprend plus sur le terrain, que sur une chaise non ? De plus, même si mon esprit frivole et peu consciencieux ne s’en occupait pas spécialement, je n’aimais guère la façon dont j’étais « enfermé » dans l’enceinte de la maison. Nous avions une grande maison, mais mis à part le chemin de l’école que je fais avec mère ; je ne pouvais sortir autre part. Enfin, qu’importe j’avais toutes les sucreries, jouets et autres futilités que je désirais. Qu’il est facile de contenter l’enfant que j’étais et que je suis. La maîtresse à l’école l’avait bien compris et amenait souvent des sucreries pour récompenser les bons élèves. Petite, c’était le seul moyen trouvé pour que je me concentre de longs moments.
Pas d’amies, pas de frère ou de sœur ; mais des parents présents et tout ce que je demandais, je l’avais. C’est un parti pris, mais il fut un temps où cela commença à me lasser. Un temps où adviendra les années insouciantes. Telle une enfant qui sort découvrir le monde. ~
À l’âge des questions…
« L'enfance est innocence mais, aussi négligence, c'est un recommencement, un jeu, une roue libre, un premier mouvement, un Oui Sacré. » - Friedrich Wilhelm Nietzsche
Et si, l’insouciance allait de pair avec la négligence ? Il est vrai que je prenais la vie comme un jeu et ceux, comme avec la case prison du Monopoly qui signifiait aller en cours. Mais de là à vivre en roue libre… Étais-je vraiment comme cela ? Ou bien, n’étais-ce qu’une mauvaise pensée qui vint traverser mon doux esprit avec l’âge. Je me souviens du jour où mère tentait de m’expliquer, que peu de temps avant notre naissance, ils avaient longtemps habité en ville et qu’ils avaient dû déménager pour notre protection. Je n’avais pas vraiment compris. Je me rappelle avoir eu comme réaction à cette révélation, un sourire à mère et un départ en trombe dans les jardins pour courir après les papillons. Même lorsque des problèmes apparaissaient, j’avançais droit devant sans y prêter attention. D’accord, je peux reconnaître qu’un simple papillon peut détourner mon attention ; mais qui serait assez cruel pour détruire l’innocence d’un enfant.
De temps à autres, je voyais mes parents avec une triste mine. Ils avaient toujours fait en sorte, de me protéger et de me mettre hors des affaires des « grands ». Mais, voir mes propres parents malheureux ; me faisait mal. Alors, je me suis tant bien que mal intéressée à leurs histoires, et est allée leur demander si nous étions en danger ici. –Ne cherchez pas à comprendre, comment j’ai pu arriver au danger dans ma tête si rapidement ; moi-même, je n’ai pas compris.- Ils ont d’abord été surpris de ne pas entendre de ma bouche le légendaire « Quand est-ce qu’on mange ? », puis m’ont sourît et m’ont répondu ceci ; « Ma chère Yuniko, tu n’as rien à craindre, tant que tu ne sors pas d’ici. » Ce fut leur seule réponse, une simple réponse qui me fit mal et dont je n’ai pu répondre que par des larmes. Pourquoi ? Je ne sais pas très bien. Peut-être parce que j’avais toujours rêvé de ma liberté… Ou bien, car je n’avais pas connu de sentiment semblable auparavant.
Un sentiment ; cela se garde ou s’exprime de différentes manières. Jusqu’à présent, tout ce que je ressentais sortait instinctivement. Mais, je ne sais pas si cela est dû à mon âge qui croît malgré moi ; mais mes sentiments se sont petits à petits renfermé en moi. Ma gaieté naturelle était toujours visible, tout comme mon côté insouciant enfantin. Par contre, ce que je ressentais au plus profond de moi n’étais plus retranscrit. Je m’enfermais dans une bulle, où seul moi s’y retrouvais convenablement. À partir de cet instant, je suis toujours une petite fille dans ma tête, même si ce côté diminua un peu pour laisser place un peu à la réalité ! J'ai donc continué ma petite vie paisible remplie de rire et de jeux, sans me méfier un instant du nuage grisonnant qui s'assombrissait de jour en jour au-dessus de notre famille.
Avant un dernier jour d’hiver…
"Va revoir les roses. Tu comprendras que la tienne est unique au monde." – Antoine de St Exupéry
J’ai toujours adoré l’hiver. J’aimais sortir dans les jardins, me rouler dans la neige, les batailles de boules de neige, faire l’ange sur le sol ensevelis sous cette matière froide et immaculée, essayer d’attraper les flocons, boire un bon chocolat chaud blottie contre mère, glisser sur les pentes recouvertes par poudreuse… Et puis, pendant l’hiver, bons nombres de professeurs sont absents à cause des intempéries ; alors que rêver de mieux ? Il est vrai que je préfère de loin l’été, car cette période de l’année redonne le sourire à tout le monde. Et puis, il y a la mer, les animaux, les oiseaux, le ciel bleu, la pluie qui rafraîchit… Bon d’accord, vous allez me dire que l’été c’est aussi ; la plage, les gens bruyants, les fêtes et toutes ces personnes qui se regardent affamer d’une seule chose ? D’accord, mais quand on pense à l’été ; c’est aussi les vacances et cela personne ne pourra me contredire. Enfin bon, l’hiver m’émerveillais autant que cette époque, comme la plupart des enfants. Maintenant, elle ne me rappelle qu’un amer souvenir et peu importe l’amusement que procure ces petits jeux dans la neige… Aujourd’hui encore, quand on arrive en hiver ; j’ai les souvenirs de cette époque qui me font mal. Je tente bien évidemment de laisser passer cela, d’autant plus quand je vois une boutique de friandises ou de pâtisseries ; mais c’est une partie de moi qui est là pour toujours.
Revenons au récit plutôt. Une nuit de cette saison froide, à mes 13 ans, l’orage que je n’avais pas soupçonné éclata sans que je ne le sache tout de suite. Père était parti seul faire un tour en ville, chose qu’ils ne faisaient pas d’habitude ; alors qu’il venait de rentrer du travail. « Encore à cause du travail », avais-je supposé. Il faisait pratiquement nuit, quand il sortait du restaurant dans lequel il avait dîné avec plusieurs hommes. Pendant ce temps à la maison, mère et moi étions tranquillement près de la cheminée pour nous réchauffer. Nous ne nous serions jamais douté que, pendant que nous rions et nous amusions tranquillement, le pire que nous pouvions imaginer se passerai. Alors qu’il avait pris le volant, pour rentrer avec nous au chaud ; il perdit le contrôle de la voiture en basse campagne. Il décéda immédiatement suite à la violence du choc. Mère fut rapidement mise au courant par les autorités, qui étaient venus dans la nuit. Moi, je ne l’ai appris que quelques temps après. Comment cela se fait-il que je ne le sache qu’après ? Tout simplement parce qu’on me l’a révélée qu’après. Pourtant, ce n’est pas faute d’avoir demandée quoi. Le lendemain de cette fameuse nuit, ne voyant pas mon père ; j’harcelais ma mère de question qui ne cessait de me répondre vaguement. La voyant triste, je n’insistais pas plus ; mais dans ma tête d’enfant, commença à se poser de multiples questions. Puis les jours passaient, l’un après l’autre ; quand un soir en rentrant du collège je vis mère en larmes. C’est à ce moment-là qu’une réelle inquiétude se lisait en moi et que je venais de tilter dans ma tête. Je me suis blottit dans ses bras et j’ai longtemps pleuré. J’étais encore une petite fille fragile et innocente, et n’avais que vaguement idée des misères de la vie. Et là, je venais clairement de « me faire rattraper par mon ignorance », comme on dit. Et je peux vous assurer que ça fait mal, très mal. Mère était meurtrie par la mort de père ; mais elle tenait bon et ce afin de me protéger. Elle me disait sans cesse quand j’étais en larmes, que tout allait bien et que cela irait… Mais je savais bien qu’elle mentait. Je le voyais dans ses yeux. Ses yeux que j’avais toujours sus décrypté sans avoir trop de mal. Elle voulait jouer les héros, à prendre les devants et veiller sur moi ; mais elle l’était déjà pour moi. Enfin, elle ne jouait pas simplement le rôle de mère à mes yeux ; elle tentait d’en faire toujours plus, afin que mon sourire perdure.
Quand j’étais petite, mère jardinait beaucoup. Des roses, des fruits, toutes sortes de végétations se trouvaient dans le jardin. Elle m’avait dit une chose à ce moment-là : « Tu es ma rose Yuniko, et je ferai tout mon possible afin qu’elle soit unique et resplendisse à jamais. Tu ne faneras pas quoi qu’il arrive, car tu croques la vie et tu sais si bien le faire qu’elle te sourira. » À ce moment-là, j’ai dû lui répondre par une fleur que j’avais cueillies et ce, sans rien dire plus ; mais aujourd’hui, cette phrase prend tout son sens en moi.
Avant un nouveau départ.
La vie continue et ne s’arrête pas à un seul événement. Il faut reprendre ses moyens et esprits, afin de repartir de l’avant. C’est ce que nous tentions de faire mère et moi malgré la tristesse. Elle me consolait, me protégeais et répondais à chacun de mes besoins continuellement. Nous retrouvions peu à peu goût à la vie, mais vivre dans notre demeure, aussi somptueuse soit-elle, n’était plus la même chose depuis la tragédie qui avait ébranlé les Bowen. Je passais le plus clair de mon temps au jardin, encore plus qu’avant. Rester dans ces pièces où j’avais toujours croisé père et mère m’étais désormais insupportable. Le bonheur n’était plus vraiment là. Ou du moins, il l’était seulement en apparence. Même moi, qui avait toujours vu la vie comme un terrain de jeu, avait le plus grand mal à m’en remettre. Mais pour une fois, je ne cédais pas à la facilité.
Nous luttions plus que nous vivions tant la vie devenait difficile. Deux années à recouvrer petit à petit un bien être palpable passèrent, avant que mère m’annonça un beau jour qu’elle voulait partir. Partir loin du pays, afin que l’on tourne une page de cette triste histoire. J’en étais effrayée tant je ne connaissais rien au monde extérieur. Je n’avais jamais mis un pied dans une métropole encore. J’avais à la fois une horrible peur, mais aussi un sentiment d’excitation tant j’étais partie pour découvrir de nouvelles choses. Mère m’annonça qu’on allait partir pour l’Angleterre, terre remplit d’histoires où l’on savait accueillir les migrants. Cet horrible événement datant avait chamboulé beaucoup de choses en moi. Notamment des idéaux, des rêves et des espoirs. Tout cela réduit à néant. Repartir pour une nouvelle vie, loin de tout ça, était une bonne, très bonne idée. L’Angleterre… Je me souvins que père –Oui j’ai réussi à m’en rappeler, je n’ai pas une si mauvaise mémoire que ça tout de même- était l’un de ces beaux britanniques à l’accent élégant. L’idée de revenir là où père avait vécu ne me plaisait pas vraiment, mais que pouvait-il nous arriver de pire ? Puis grâce à l’école, je maîtrisais couramment l’anglais. De plus, j’aimais beaucoup cette langue. Elle était amusante. Je ne sais pas pourquoi, mais j’avais beaucoup aimé l’apprendre et l’avais acquise avec une facilité déconcertante –Oui, oui j’avais aimé apprendre quelque chose. Vous ne rêvez pas.- Nous fermions les derniers bagages avec animosité et mère se chargea d’échanger une partie des Yens que nous avions contre les livres anglais. Nous étions fin prêts à embarquer, afin de clore un lourd chapitre de notre passé.
Dans un cadre idyllique.
«Ceux qui rêvent éveillés ont conscience de mille choses qui échappent à ceux qui ne rêvent qu’endormis» – Edgar Allan Poe
Le voyage vers notre destination fut long, très long… Mais il nous permit de voyager ! J’étais comblée, et toute trace de nostalgie ou de tristesse s’effaça presque totalement de mon petit cœur au fil du temps. Moi qui n’avais jamais vu autre chose que l’interminable –mais somptueux- parc de la demeure familiale… Cela me changeait ! Il n’y avait qu’à voir ma tête, lorsque nous étions arrivées à l’aéroport ; telle une enfant impressionnée et craintive, je me cachais derrière mère. J’avais 15 ans pourtant, mais telle une enfant je lui tenais la main. La crainte de l’inconnu qui me faisait à la fois peur, mais qui me donnait une sorte « d’adrénaline. » Pourtant, ces décors-ci n’avaient rien à envier à tout le luxe que notre fortune pouvait nous offrir… Durant notre voyage, nous avions fait quelques escales de quelques mois dans certains pays. Pourquoi ses multiples escales ? Tout simplement, parce que mère voulait prendre le temps de me faire découvrir le monde et la vie. Avant ce voyage, je n'avais connue que ma campagne. Aujourd'hui, de multiples destinations étaient ancrées dans ma tête. Les destinations sont multiples, y eut : l’Australie, la Malaisie, la Pologne et de là l’Angleterre. Mais il est vrai que l’Australie me manquera. Il y avait de l’ambiance, de la chaleur, j’ai eue du mal à quitter ce pays. Vivre là-bas ne m’aurais vraiment pas déplut. Je m’y serais tellement amusée… Avoir rencontré les Australiens et leur pays m’avait remplie d’une inébranlable envie de vivre. Mère dû pourtant me tirer une nouvelle fois de mon rêve en me rappelant qu’il était important et inévitable, que nous allions en Angleterre. Oui, je dis bien une nouvelle fois ; car la question de l’école s’était posée auparavant. Vous pouvez sans doute vous dire que j’allais rien faire durant ce voyage ; tout comme moi, mais c’était sans compter sur mère. Elle qui avait toujours mis une importance particulière à l’école, me donnait des cours durant chaque escale. Au départ, c'était comme une année sabbatique pour moi. Mais au fur et à mesure du temps, je prenais goût à tout ce que je découvrais. Certes, ce n’était pas grand-chose d'un point de vue scolaire ; mais cela suffisait à maintenir un certain contact avec les cours que j’avais eus au Japon. Mère était grandement cultivée et m’apprenait des choses sur tous les pays où nous nous arrêtions. Par exemple, elle sut me parler parfaitement de la seconde guerre mondiale quand nous étions en Pologne. Pourquoi l’importance d’aller en Angleterre ? Je n’en savais trop rien, je tentais juste de profiter des moments magiques du voyage. Ma joie fut encore plus endommagée quand elle m’annonça que là-bas, la grisaille et la pluie étaient maîtresses du temps. Chaque pays possède une région grisonnante ; la France à la Bretagne par exemple, moi j’ai hérité d’un pays entier la chance non ? Enfin qu’importe, j’étais avec ma mère, alors j’étais prête à la suivre n’importe où ! Puis comme elle le disait, elle veillera toujours sur moi. Donc c’est toute pétillante et presque de bons cœur que je poursuivais mon voyage en sa douce compagnie.
L’arrivée en Angleterre se fut sans problème, et j’eus même droit à un soleil timide en guise d’accueil. Mère avait prononcé ces paroles comme un véritable soulagement ; « Cette traversée, aura été longue et difficile ma fille. Mais nous y sommes enfin parvenus. Cette terre est signe d’un nouveau départ pour nous. » Oui, elle avait raison. Le nouveau départ d’une nouvelle vie. La vie anglaise d’une mère et sa fille. Petit à petit nous prenions goût à la vie anglaise. Nous étions enfin de nouveau heureux, toutes les deux, à Londres, là où père avait passé la majeure partie de son enfance. Informée de ce qu’il s’était passé pour père, sa famille nous a pris un peu en charge. Nous habitions un quartier résidentiel dans une petite demeure, mais en pleine ville. C’était tout ce qui pouvait me convenir. Au cœur de la vie citadine, je serai au contact des gens et me permettrait de m’épanouir. L’architecture londonienne était étrange, mais belle. Les pâtisseries, leur coffee shop ou encore la mixité dans les quartiers m’attiraient également. J’aimais passer du temps en ville, à observer les gens faire leurs va et viens ; la vie active quoi. Tandis que moi au milieu d’eux, je mangeais toutes sortes de friandises en les observant. La douceur des friandises au milieu de ce monde de brute, ceux pourquoi je suis –là et qui me donne la volonté de ne pas grandir. Rester la douce rose de ma chère mère et de briller telle qu’elle.
Les premiers temps fut ainsi et ceux avant que mère, trouva une école pour moi. Une liberté qui allait être tronquée pour retourner à l’école, à mon plus grand désespoir. Un lycée qui était bordé par une impressionnante et grande université. Les deux établissements rayonnaient sous le soleil, ce qui montrait tout le talent anglais dans leur architecture. Cela serait intéressant que j’aille à l’université plus tard, disait mère. Ce n’était de loin, pas mon objectif ; mais pour le moment je ne pus qu’acquiescer pour lui faire plaisir. Je lui devais bien cela, après tous ses événements. Ce n’était pas mon innocence enfantine qui lui répondit pour une fois. Mon dilemme entre l’école et ma « liberté » fut vite choisit. Enfin, je n’ai pas eu tellement le choix. Mais ayant la certitude qu’elle veillerait sur moi ; la peur d’un nouveau départ ne m’effrayait pas.
Même si nous avions déjà traversé un bon nombre de rivières à contre-courant, la vie Londonienne était encore loin de nous avoir révélé les fleuves que nous aurions à passer. La première année au sein de ce lycée allait être le premier chapitre. ~
« Big Browser is watching you »
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Mer 3 Fév - 8:05
Bienvenue sweetie. ~
Les premières phrases de ton physique m'ont fait rire, haha. Une autre lycéenne en bonne et due forme semble être de la partie il me semble.
Bonne chance pour finir ta fiche, sweetie... ~
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Mer 3 Fév - 11:05
Bienvenue, camarade lycéenne :)
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Mer 3 Fév - 12:23
"amoureuse de moi-même", j'ai ri ! xD Bienvenue à toi et bon courage pour terminer ta fiche ! Si tu as des questions, n'hésite pas à les poser c:
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Mer 3 Fév - 13:05
Bienvenue parmi nous petite créature ! Good luck pour la suite de ta fiche. ❤
Invité
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Mer 3 Fév - 14:51
Bienvenue ♡
Invité
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Mer 3 Fév - 18:46
Bienvenue !
Invité
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Jeu 4 Fév - 19:39
Bienvenue parmi nous et courage pour la fin de ta fiche !
Yuniko Bowen
Junior
Date d'inscription : 03/02/2016 Messages : 498 Pounds : 22788
Dim 14 Fév - 16:57
Merci à tout le monde pour cet accueil ♥ Je profite également de ce message, pour dire que ma fiche est achevée. Il me manquera un avatar, mais cela ne saurait pas tarder à arriver je pense ^=^ !
Tysha K. Reed
Sophomore
Date d'inscription : 08/09/2015 Messages : 2122 Age (du personnage) : 17 ans Orientation sexuelle : Ace. Etudes/Métier : Lycéenne. Pounds : 10737
Dim 14 Fév - 18:26
De rien. ~
Uni, si tu as besoin d'aide pour un avatar je peux t'aider avec mes maigres skills. Ne me remercies pas, kufufufu... ~
Nolan T. Connor
Surveillant à mi-temps
Date d'inscription : 28/07/2015 Messages : 521 Age (du personnage) : 22 ans Orientation sexuelle : Homosexuel Etudes/Métier : Lettres Classiques - Surveillant à mi-temps Pounds : 29942
Mar 16 Fév - 15:29
Analyse
Hello miss ! Désolée pour l'attente, mais me voila enfin pour l'analyse de ta fiche :
- Premièrement, tu devrais relire un coup ta fiche. Tu confonds souvent "ce" et "ceux", comme par exemple dans la phrase "..mais elle tenait bon et ceux afin de me protéger." Ce n'est pas une grosse faute en soit mais comme tu la refais plusieurs fois ... Voilà. Il y a aussi quelques erreurs de conjugaison, notamment des "-ais" à la place des "-ait" ou des petits trucs comme ça. Si tu veux vraiment trouver toutes tes fautes, je te conseille de passer ton texte sous BonPatron, ou même sur Word normalement il devrait t'en trouver quelques unes sans soucis ! c:
- Ensuite tu dis que Yuniko n'a pas mis les pieds une seule fois à l'extérieur alors qu'elle a 13 ans (ou 15 je sais plus). Est ce qu'elle ne va pas à l'école? Ou bien elle prend des cours à domicile? Il ne me semble pas avoir lu cette précision alors excuse moi si c'est écrit et que je l'ai loupé °^°
- Toujours au sujet de l'école. Tu dis que quand elle part du Japon avec sa mère, elle fait plusieurs escales de quelques mois mais... Et l'école dans tout ça? Yuniko n'est pas majeure, et l'école est obligatoire jusqu'à 16 ans ils me semble bien, même en Angleterre. Du coup c'est assez osé de dire qu'elles font de nombreuses escales de plusieurs mois, à moins que Yuniko aille dans une des écoles du pays à chaque fois, mais ça me parait un peu abusé tout de même, niveau intégration et surtout pour suivre le rythme de ce qu'elle doit apprendre à son âge.
- Et enfin, toujours à propos de l'école (décidement), tu mélanges la Millenium University avec le lycée. Le lycée est certes proche de l'université géographiquement parlant, mais ce n'est pas un regroupement scolaire fait avec l'université. De plus, l'internat n'y est pas obligatoire, ton personnage peut parfaitement rentrer chez lui le soir après les cours s'il le souhaite, mais ça c'est toi qui vois je tenais juste à te le dire :3 Ah et aussi, Yuniko doit choisir 3 matières à étudier au lycée, c'est ainsi que cela fonctionne, donc pense à le rajouter dans tes modifications c:
Voilà voilà, désolée pour le pavé, je ne pensais pas écrire autant xD N'hésite pas si tu as des questions quant aux modifications que je te demande, je suis là pour y répondre. Et préviens moi quand tu auras terminé, que je vérifie tout ça ♥
Date d'inscription : 28/07/2015 Messages : 521 Age (du personnage) : 22 ans Orientation sexuelle : Homosexuel Etudes/Métier : Lettres Classiques - Surveillant à mi-temps Pounds : 29942
Dim 28 Fév - 17:34
Hey Yuni, ça fait deux semaines que des modifications t'ont été demandées... Est ce que t'as besoin d'un délai? N'hésite pas non plus si tu as besoin d'aide. Sans réponse de ta part avant mercredi, je déplacerais ta fiche dans les abandonnées et tu auras une semaine pour nous la réclamer avant que ton compte ne soit supprimé.
Reviens nous ;w; ♥
Yuniko Bowen
Junior
Date d'inscription : 03/02/2016 Messages : 498 Pounds : 22788
Dim 28 Fév - 23:18
Merci Azaël ♥
Pardon, pardon mon dieu Nolan. Mais j'ai eu des soucis qui ont fait que je n'ai pas pu avancer ma correction. Je profite de ce message, pour te dire que je pense avoir fait le nécessaire. -Enfin..-
Voilà, voilà ~ ♥
Nolan T. Connor
Surveillant à mi-temps
Date d'inscription : 28/07/2015 Messages : 521 Age (du personnage) : 22 ans Orientation sexuelle : Homosexuel Etudes/Métier : Lettres Classiques - Surveillant à mi-temps Pounds : 29942
Mer 2 Mar - 22:30
VALIDATION
Ma foi tout est nickel maintenant, je n'ai plus de raisons de ne pas te valider ahah. Désolée pour l'attente !
Bien joué, tu es validé ! Maintenant que tu as ta couleur et ton rang, tu vas pouvoir t'acquitter de tâches administratives ! (Youhou, Ô joie !)
♙ Aller recenser ton avatar ; ♙ Créer ta fiche de relations ; ♙ Demander un rp ; ♙ Demander un logement, mais uniquement si tu penses en avoir besoin pour rp, ♙ Créer ton téléphone et ton Twitter si tu le souhaites ; ♙ Rejoindre un club si tu es lycéen ou étudiant. ♙ Et si tu es un dc, n’oublie surtout pas d’aller l’indiquer ici !