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le garçon chocolat au prénom disney × VITANI • 100%

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Dim 13 Sep - 14:43


Vitani Stracciatella


Nom : Stracciatella. Ouais il a le nom d'une glace. Il le vit bien sinon même si les blagues sur la bouffe non stop c'est un peu lourd.
   Prénom : Vitani, tout simplement. Sa mère est une grande fan des Disney c'est pour ça. Bon ok c'est un prénom de lionne de base, mais ça va. Et puis c'est original.  
   Âge : Quinze ans et sept mois précisément.
   Sexe : Masculin. Vous pouvez venir vérifier si vous voulez. Quoiqu'une certaine personne risque de ne pas être tellement d'accord. Et il ne s'agit pas de lui.
   Nationalité : Anglo-italien. Enfin, son père adoptif est italien pur souche, sa mère anglaise. Ses vrais parents, il sait pas. Il s'en fout, ils comptent pas de toutes manières.
   Orientation sexuelle : Il s'est jamais vraiment attardé sur la question. Il dirait hétérosexuelle, mais bon, il est pas contre les expériences.
   Situation amoureuse : C'est un peu compliqué. Techniquement il est célibataire. Mais bon. Y a c'te fille là. Plus vieille. Et puis c'était sa baby sitter. 'Fin bref. C'est carrément un peu trop compliqué.
   
Groupe : Lycéen. Enfin, à mi-temps dirons-nous, parce qu'il ne fait pas vraiment preuve d'une présence exemplaire.
   Logement : il vit chez ses parents. La plupart du temps du moins. Parfois il rentre pas le soir, il squatte chez un pote, chez des gens un peu bizarres qu'il connait du jour même. Il se prends pas la tête.
   Année/Métier : Deuxième année, c'est passé de justesse. Il étudie le français, l'anglais et les sciences. Joie, bonheur. La dernière matière il a pas tellement eu son mot à dire en fait – ses parents voulaient qu'il ait une . Malheureusement.
   Options : Arts Plastiques. C'est cool et intéressant, ça lui correspond parfaitement. Il peut faire ses photos et ses dessins tranquille comme ça.
   Avatar : Yukine { Noragami }


You see me but you don't know me


Vitani ? C'est le petit gars, souvent assis dans le fond, pour pouvoir dormir ou gribouiller sur son cahier tranquille. Toujours près d'une fenêtre, pour regarder dehors. Il écoute pas beaucoup les professeurs, ouais. Pas très studieux. Vitani en fait, si vous l'intéressez pas, vous allez le perdre. Sa concentration, elle est comme un oiseau. Elle vole, elle papillonne, elle passe d'une branche à l'autre, elle reste jamais tranquille, jamais très longtemps en plus. Son esprit est toujours agité, toujours en mouvement. Pourtant on dirait pas en le voyant. Parce que son corps lui, il bouge pas, il reste sur place. Un peu mou, la tête soit baissée sur le sol pour en admirer les irrégularité, le nez dans l'écharpe. Soit levée vers le ciel, à regarder les nuages et leur donner des noms - « lui c'est Gaspard, il a une bonne tête et puis il ressemble un peu à une moustache. Tous les Gaspard doivent porter les moustaches, ça leur va bien ». C'est pas un sportif  ça c'est sûr. D'ailleurs le sport, il sèche, ou alors il vient juste regarder en sirotant une brique de jus de fruit, assis dans l'herbe. Y a des gens fait pour remuer leur graisse et d'autres qui préfèrent l'entretenir, comme il dit. Vitani est de ceux-là.

Vitani, c'est le gamin qui a toujours les mains occupées. Toujours. Et tâchées, des traces d'encre sur les paumes, le bout des doigts durcis et râpant, des rougeurs sur les phalanges. Généralement on peut le voir, maniant le crayon et noircissant des feuilles de cours de dessins en tout genre, ou grattant les cordes de son ukulélé de temps à autre. Le plus souvent, il aura son appareil photo autour du cou. Il immortalise, il saisit la vie.  Il utilise son bon vieil argentique, parce que “le numérique ça craint c'est pour les faux”. Il aime le vieilli, les photos papier qu'on peut toucher et accrocher aux murs, qui grandissent et prennent de l'âge avec nous. C'est un artiste, on peut le définir comme ça. Avec ses travers, ses décalages et son monde à lui.

Vitani, Vitani... on pourrait écrire des chansons sur ce nom. Ça serait joli, poétique. Mais lui il s'en fout. Il se fout un peu de tout. C'est un gamin entre deux, y a ceux qui sont trop immatures, qui le soûle et qu'il a pas envie de voir et puis y a les autres, qui lui prenne la tête pour faire ses études, être sérieux, être comme les gens de son âge. Mais si Vitani il a pas envie lui ? Tout ce qu'il veut c'est qu'on le laisse un peu tranquille. Il fait des efforts quand même, pour sa mère surtout. Vitani veut pas être inutile. Même s'il a l'air comme ça, de pas vous écouter, de même pas se souvenir de votre prénom, c'est faux. Vitani se souvient de tout, il fait attention aux autres, même s'il le montre pas. Il a l'air impoli, à jamais quitter son bonnet, mais il sera toujours le petit gars qui viendra dire bonjours aux grand mères du quartier et les aide à traverser. Il crache parfois sur la société, il essaie d'exprimer ses idées même quand on veut pas l'écouter. Un jour, il le dira haut et fort tout ça. Il dénoncera avec son art.

Vous pensez que Vitani veut faire des photos décalés, ou dessiner des nus plus tard, avoir un bouc et vivre pieds nus ? Bah non. Il est sérieux derrière ses airs. Il pense, trop même. Il veut être photographe de guerre. Il veut aller voir la misère des autres, il veut le balancer aux yeux du monde. Il veut crier un grand coup. “Regardez, c'est ça, c'est notre planète et on vit là”. Il se soucie un peu trop de tout le monde, le problème c'est qu'on le sait pas. On le voit pas, il le dit pas. Il a juste l'air d'un flemmard, d'un branleur qui vient en cours une fois sur deux, qui dort en classe et préfère traîner avec ses potes et faire les quelques conneries que tous les adolescents font pour éprouver leur jeunesse.

Vitani ? Ouais, vous voyez qui c'est maintenant. C'est ce petit blondinet aux yeux étranges, qui vous regarde jamais de face, mais fixe toujours votre dos en se demandant si vous allez bien. Son bonnet sur la tête, ses mains dans les poches de ses sweats trop grands qui cachent ses marques aux poignets, parce qu'il a pas toujours été bien dans sa tête, jamais à la même allure que les autres car il prend le temps de regarder le monde, qui se contente de sourire doucement d'un air condescendant là ou les autres s'esclaffent grassement d'une blague un peu osée. C'est cet enfant qui n'en est plus vraiment un, qui cherche à se faire une place discrète mais qui veut faire bouger les choses de là ou il est. C'est cet adolescent qui, immanquablement, se retrouve souvent dans des endroits bizarres avec des gens marginaux qu'il aime bien, qui lui font gouter des trucs, et chez qui il reste dormir sur un tapis ou un canapé. C'est celui qu'on retrouve parfois, seul dans son coin parce qu'il aime s'isoler aussi, il a besoin d'espace et de solitude. Soit en train de griffonner sur son carnet, ou bien de chatonner sur un air entendu à la radio, son ukulélé aux mains. C'est celui qui marche sur ses lacets défaits, qui s'arrête pour prendre une flaque d'eau ou se reflète les rayons du soleil en photo et qui reprends sa route.

Vitani, il pleure, il rit, il croque la vie parfois amère mais qu'il essaie d'aimer quand même. Il existe. Il passe devant vous, vous le remarquez pas, mais lui si.

   



Every life begins with a breath


Plantons le décors. Un commissariat. Banal, simple. Il y a un bureau pas très rangé, encombré de papiers en tout genre, certains blancs et vides, attendant d'être remplis. D'autres gribouillés, raturés même. Des gobelets en plastique d'où un relent de café s'échappe encore traînent, un peu partout. La corbeille par terre est pleine à craquer.
Sur la chaise un garçon. Blond, les mains dans les poches et un bonnet enfoncé sur les oreilles qu'il a refusé de quitter malgré qu'on lui ait demandé trois fois déjà. Il est un peu avachi et regarde fixement une mouche qui essaie de tenir sur le bord d'un des gobelets, hésitant sans doute à aller récupérer la goutte de caféine restant au fond de ce dernier. Un raclement de gorge. Le garçon lève péniblement les yeux vers l'officier en uniforme qui est assis face à lui. L'homme a une bedaine conséquente et un faux-air sympathique, quoique bonne pâte. Il est sur un fauteuil qui semble bien plus confortable que la ridicule chaise en plastique dont il a hérité. Est-ce que tout est en plastique ici ? Nouveau raclement de gorge, un peu plus prononcé.
Soupir. L'adolescent à la mine fatiguée car il n'a pas vraiment dormi cette nuit se redresse un peu sur son séant et confronte son regard à celui tout aussi cerné du policier. Autour de son cou, son casque qu'il n'a pas éteints diffuse une mélodie, à peine audible mais qui amène un fond sonore rejoignant le clic-clic de l'horloge qui décore le mur à la peinture écaillée, vierge de toute autre décoration.
Acte I. Scène une.

« Bien jeune homme. Tu t'appelles donc Vitani Stra... Strati... Stracciata...
Stracciatella, corrige-t-il avec la nonchalance de l'habitude. Les gens ont deux réactions en l'entendant. Soit ils ne savent pas ce que c'est et ne sont pas capable de le prononcer correctement. Ou bien ils sont tout de suite là, avec cet air illuminé fier “ah mais oui ! La glace !”. Merci Teo et ses gènes italiens. Teo ? C'est son père. Enfin adoptif du moins.
D'accord. Drôle de nom. Et donc, Vitani. Je peux savoir ce que tu faisais à trois heures du matin dans un endroit pareil, clairement pas adapté aux mineurs ?
On appelle ça un squat vous savez. Et pas grand chose. J'ai rencontré un type. On a parlé un peu. Et puis il m'a proposé d'entrer, c'est tout. J'ai juste discuté avec ces gens, souffle-t-il, ennuyé. Bon ok, il avait peut-être aussi fumer un joint et bu une ou deux ou cinq gorgées de la mixture maison qu'ils se faisaient passer. Mais c'était sympa. C'était tous des artistes -certains combinaient la fonction drogués et/ou sans-abri aussi. Il s'était mêlé à eux, comme ça, pour discuter. Ça lui arrivait, parfois. Ça changeait des gens de l'école, les conversations étaient différentes, intéressantes. C'était un autre monde. Il avait fait quelques photos, au passage. Il irait les développer en rentrant. L'avantage d'avoir réussi à transformer la cave de la maison en chambre noire. En même temps il avait pas trop demandé leur avis à sa famille le jour ou ça lui a prit.
— Erm. Il n'empêche que c'est illégal, jeune homme. Pénétrer dans une propriété privée est punie par la loi.
Moi j'me suis juste trouver là par hasard. Il était trop tard pour rentrer chez moi, c'est tout. Après, si vous préférez, la prochaine fois j'irais dormir dans les parcs. Avec les pédophiles et les violeurs. Tout ça tout ça.
»

Touché. Le policier bredouille un peu. Il argue que ces gens ne sont pas plus fréquentables, que ce n'est pas là l'endroit ou un gamin de son âge devrait se trouver. Mais Vitani n'écoute déjà plus. La mouche est tombée dans le gobelet. Il entends en faible fond son bourdonnement alors qu'elle se débat pour s'extirper de la goutte de café dans laquelle elle se trouve engluée. La pauvre. Il relève brièvement les yeux vers le policer. Celui-ci soupire et se gratte son front dégarni par la calvitie. Finalement, l'homme abandonne, soupire et décroche le téléphone en lui demandant le numéro de ses parents. Il est pas loin de sept heures du matin.
Acte I. Scène deux.
À cette heure, Nellie est réveillée. Il se figure parfaitement sa mère adoptive, dans son peignoir jaune poussin dont elle a égaré la ceinture des années plus tôt. En pantoufles sur le carrelage de la cuisine, occupée à faire chauffer le café pour Teo, qui se lèvera en retard comme toujours. Son père est jamais capable d'arriver à l'heure. Il faut toujours qu'il traîne au lit jusque la dernière minute. Nellie lui tendrait son thermos de café tandis qu'il arriverait, les cheveux pas peignés, la cravate pas nouée et la chemise froissée, en panique. Elle sourirait, il s'embrasseront comme des adolescents, perdant deux minutes de plus. Puis Teo filerait au travail, dans la quatre chevaux vert pomme familiale aux sièges en cuir un peu défoncés.
Le téléphone sonne. La tonalité est suffisamment forte pour qu'il l'entende résonner. Le policier lui jette un coup d’œil en coin. Il doit se dire qu'il est de la mauvaise graine, qu'il finira mal. Les sermons habituels en somme. Vitani gratte son poignet, machinalement. Il remonte un peu sa manche, dévoile ses cicatrices. Ouais, il est un raté. On lui a dit et redit. Il l'a pensé aussi, il y a pas si longtemps. Il savait plus quoi faire. La vie n'avait plus de saveur, il n'avait goût à rien. Dépression, dire les médecins. Non, juste l'adolescence, l'école et les problèmes qui vont avec. Ça et le fait de découvrir qu'on a été adopté. Trop de choses, trop de pensées qui s'entremêlaient dans son petit crâne.
Alors il a prit la boîte de médicaments pour les insomnies chroniques de Teo, le morceau de verre qu'il venait d'éclater par terre dans un geste incontrôlé, et puis il est parti s'enfermer dans la salle de bain. Là il s'est posé dans la baignoire, il a avalé les dix-sept pilules restantes et il a dessiné des arabesques sur ses poignets avec l'éclat de verre. Des rivières carmins coulaient de ses avants-bras et s'évaporaient dans l'eau comme des nuages. C'était beau. Il a commencé à fermer les yeux et à se laisser aller. Puis, alors qu'il était immergé jusqu'au menton, il s'est redressé. Putain, mais qu'est-ce qui allait pas chez lui ? Pourquoi il voulait mourir en fait ? Il le voulait même pas. Ok, des gens l'énervaient, le chahutaient et lui cherchaient des ennuis. Ok il était adopté. Comme des tas d'autres enfants. Et puis qu'est-ce que ça changeait ? Sa génitrice était une foutue toxico qui avait coupé le cordon elle-même avant de le déposer dans la benne à ordure d'un hôpital londonien. Elle comptait pas. Son géniteur, sans doute un type qui n'avait d'autre ambition dans la vie que de se relever du caniveau pour retourner se souler au bar ou se défoncer dans une ruelle. Il valait rien.
Celle qui comptait c'était Nellie et sa douceur, sa phobie de l'extérieur qui l'empêchait de mettre un pied dehors, ses tableaux qu'elle peignait à longueur de temps. Celui qui valait à ses yeux, c'était Teo et son organisation bordélique, ses discours interminables sur astrophysique, ses manies de le réveiller à deux heures du matin pour sortir sur le toit avec le télescope. Et puis y avait Georges le chat qui dort en boule sur son bureau sous la fenêtre et Grappa la chienne qui bouge tout le temps quand il veut faire des photos d'elle. Et la maison avec son jardin de lilas qui embaume dès qu'il pleut un tout petite peu. Et sa chambre au grenier avec ses cahiers qui traînent et ses photos accrochés partout. Sa vie quoi. Ses parents avaient pas pu avoir d'enfants. Incompatibilité sexuelle apparemment. Donc quand on avait annoncé, après plus d'un an et trois mois d'attente, qu'on avait un bambin fraichement né et jeté sur la route pour eux, ça avait été la joie. Il était qui pour leur infliger la perte d'un enfant qu'il avait désiré et qu'on leur avait confié ? Rien. Il avait pas le droit. Il voulait pas.
Alors il est sorti de la baignoire et il est descendu dans la cuisine, en pressant ses poignets ouverts. Nellie n'a rien dit. Elle lui a bandé elle-même les bras, a appelé les urgences et c'est la seule fois de sa vie ou il l'a vu sortir de la maison pour monter dans l'ambulance tout en continuant de tenir sa main. Ce jour là Vitani comprit qu'il avait des parents exceptionnels et que la vie, même si elle était moche, il fallait l'aimer quand même parce que rien que pour des petites choses ça valait le coup.
Le policier raccroche. Il dit que son père arrive. Il a l'air un peu perturbé. Sans doute parce que Nellie a dû lui paraître trop détendue et pas assez énervée ou inquiète au téléphone. Ses parents sont comme ça. Vitani sourit un peu. Il sort une main de sa poche et vient donner une pichenette au gobelet pour le faire tomber. La mouche s'extirpe et s'envole. Elle est libre.
Acte I. Scène finale.  
Teo arrive finalement. On entends d'abord un crissement de pneus dehors. Puis on le voit débarqué, une cigarette pas encore allumée aux lèvres, les lunettes de travers et sa ceinture ouverte. Le policier écarquille les yeux. Il hallucine sans doute. Et encore, il a de la chance, aujourd'hui Teo a pensé à mettre des chaussures. La dernière fois, il s'est baladé en chaussettes toute la journée. En chaussettes Winnie l'Ourson.

« Bonsoir monsieur !
— Bonjour... Nous sommes le matin. Monsieur... ?
Ah ? Ah oui effectivement. Et bien bonsoir en avance alors. Je suis Stracciatella. Je viens chercher mon fils. Coucou 'Tani ça va ? Tu rentres à la maison ou tu repars là ?
Non je rentre. J'ai sommeil. Et Nellie a dit qu'elle ferait des pancakes aujourd'hui.
»

L'officier les regarde. Il doit pas comprendre. Se dire que cette famille est un cas désespéré. C'est pas loin de la vérité. Vitani se lève, lui fait un signe de tête poli. Teo signe les papiers, parle en même temps, s'égare sur des sujets sans rapport les uns avec les autres. Vitani n'écoute déjà plus. Il sort du commissariat et s'arrête sur le bord du trottoir en attendant son père. Cet après-midi, il faudra qu'il aille en cours. Il a promit de faire des efforts après tout, de se reprendre. Il veut faire quelque chose de sa vie. Il baille. Il a sommeil.
Teo le rejoint et passe un bras autour de son épaule. Ils prennent un instant pour regarder le ciel grisâtre de Londres. Un filet de lumière émerge d'entre les nuages et vint former une flaque de soleil tiède juste sur le capot de la quatre chevaux. Vitani saisit son appareil, toujours accroché à son cou. Clic.
Immortalisé.


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∵ Pseudo : Epine ou Akela généralement. Pupute pour les intimes. ∵ Âge vingt ans maggle ∵ Comment avez-vous connu le forum ? partenariat avec HSSUP, vous êtes pas gentils j'ai craqué et j'ai fais cédé Amandine aussi du coup elle m'en veut buh buh ∵ Code du règlement Mangé par Cléanthe. ∵ Un dernier mot pour la fin ? mes fesses sont réservées à Amandine. Enfin, au moins la droite. C'te pédo.

©Riva


   
Nolan T. Connor
Nolan T. Connor
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Dim 13 Sep - 15:12
Bienvenuuuuuuuue !

Tu es la personne qui a demandé à réserver les avatars ? :3 Si oui j'suis contente que vous ayez cédés à la tentation mouahahah !

Plus sérieusement, si jamais tu as besoin d'informations, n'hésite pas ♥
Bon courage ♥
Cléanthe J. Alevatros
Cléanthe J. Alevatros
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Dim 13 Sep - 15:18
Je te le redis mais ; bienvenue lovely !

Hâte de voir ta fiche petit Nini. 8D Bon courage et si jamais tu as des questions n'hésites surtout pas !
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Invité
Dim 13 Sep - 15:53
Vitani why so cute. Je suis pressée de voir cette relation trop teasée entre Amandine et Vitani blblbl *o* Encore bienvenue et... *mange Vitani* (J'aime ce prénom. Je... JE... T'aurais pas pu être né à Chantilly aussi ? /PAN/)
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Invité
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Dim 13 Sep - 16:10
OUI J'ENTENDS LES BRAVOOOOOOOO - KOVU LE HÉROOOOOOOOOS -

Bienveeeeeeeeeeeenue! ♥ J'ai hâte de lire ta fiche ekposprelzêmp. NUÉE DE KEURS SUR TOI!
Tysha K. Reed
Tysha K. Reed
Sophomore
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Orientation sexuelle : Ace.
Etudes/Métier : Lycéenne.
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Dim 13 Sep - 16:51
Ce nom et ce prénom pètent l'originalité intersidérale.
J'approuve complètement la bannia de ta fiche. ( on dirait la tête que Cath' tire à longueur de journée //bam )

J'ai hâte de voir ce que tu nous réserves, mon petit.
GL.

P.S. : BIENVENUE DARLING.
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Invité
Invité
Dim 13 Sep - 17:26
MY LOVE ♥
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Invité
Invité
Dim 13 Sep - 17:39
JE T'AIME
AYONS UN LIEN
ENJAILLONS-NOUS
♥♥♥
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Invité
Invité
Dim 13 Sep - 21:08
Bienvenue, Yuki' est trop mignon ! Je pense que tu seras en deuxième année ? C'est génial on pourra trouver un p'tit lien ! :happy:
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Invité
Invité
Mar 15 Sep - 13:29

@Nolan c'est Amandine qui avait réservé pour nous deux en fait :3 mais oui, je suis dans le lot mwaha.

@Cléanthe merci bien grand manitou 8D

@Danitza mwahah on a une relation tordue, mais on aime bien. ohwi mange moi fufufu.

@Joan tu captes la référence disney. je t'aime.

@Catherina merci, j'aime trouver des noms ou des prénoms bizarres/originaux/ridicules.

@Amandine MA WIFE PEDO A MOI ♥

@Emmett OWAI SUPER FUTUR POTO. Enjaillons-nous et aimons-nous tout plein.

@Estrella yep, deuxieme année je pense et oui off course un lien avec plaisir petite cutie !

MERCI A VOUS TOUS POUR L'ACCUEIL, JE TACHE DE FINIR VITE, POUTOUX SUR VOS FESSES GAUCHES
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Invité
Invité
Mar 15 Sep - 21:00
JE TIENS A MON LIEN PTN
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Invité
Invité
Mer 16 Sep - 19:40

    ON L'AURA WSH.
    fiche terminée. enjoy. ♥
Cléanthe J. Alevatros
Cléanthe J. Alevatros
Étudiant en art
Date d'inscription : 09/08/2015
Messages : 1463
Age (du personnage) : 19 y.o
Orientation sexuelle : Bisexuel.
Etudes/Métier : Art ; design graphique.
Pounds : 24303
Mer 16 Sep - 20:39

Validation
Sorry lovely, petit problème de compréhension dans les année/métier & options, mais c'est un problème réglé et entendu, donc nous te validons sans aucun souci désormais. Encore désolée du problème occasionné. D:

Bien joué, tu es validé ! Maintenant que tu as ta couleur et ton rang, tu vas pouvoir t'acquitter de tâches administratives ! (Youhou, Ô joie !)

♙ Aller recenser ton avatar ;
♙ Créer ta fiche de relations ;
♙ Demander un rp ;
♙ Demander un logement ;
♙ Créer ton téléphone et ton Twitter si tu le souhaites ;
♙ Rejoindre un club si tu es lycéen ou étudiant.

Bon jeu à toi et surtout : HAVE FUN !
©Riva
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