Le deal à ne pas rater :
Boutique Nike : -25% dès 50€ sur TOUT le site Nike avec le code ...
Voir le deal

 
Leave the guns, take the quesadilla ♥ Victoria de Acosta

avatar
Invité
Invité
Jeu 8 Oct - 17:31


Victoria de Acosta


Nom : de Acosta
Prénom(s) : Victoria
Âge : 21
Sexe : Féminin
Nationalité : Mexicaine
Orientation sexuelle : Variée
Situation amoureuse : Célib
Groupe : Stagiaire
Logement : Appartement classieux
Année/Métier : Etudiants : M1 Économie ; Stage : Banque d'Angleterre
Options : Droit pénal
Avatar : OC de superschool48


You see me but you don't know me


Il y a des rencontres qui vous marquent d’une trace indélébile. Que vous le vouliez ou nous, que vous luttiez ou non. « C’est la vie. » dirait sobrement Victoria. Celle qui marqua votre humble serviteur se fit sous la chaleur d’Acapulco, dans la très chic villa des de Acosta. C’était la première fois que je voyais Victoria, confortablement lovée sur un transat.

Victoria, cette jeune femme qui provoque en moi un mélange d’attraction et de répulsion. Brune et bronzée, ses joues un peu rondes et son sourire bienveillant lui donne une aura de bonhomie naturelle. Elle a le sourire de son père. Un sourire rassurant, protecteur, paternaliste. Un sourire qui vous endort. Ses yeux verts apaisant complètent le tableau de ce visage aux traits doux. Rare sont les fois où j’ai vu transparaitre une moue boudeuse comme peuvent l’aborder les filles hautaines de son statut. Pour une fille à papa, la demoiselle se paye le luxe d’être aimable et courtoise. Si le luxe est normal pour elle, elle n’en fait pas grand cas non plus.

Ce visage qui respire la sérénité et la gentillesse est complété par 1m72 et 64 kg de calme pur. Certes, la demoiselle parle peut-être un peu fort et gesticule beaucoup des mains, mais elle n’a pas un mot plus haut que l'autre. Maîtresse d’elle-même, il me semble ne l’avoir jamais vu en colère. La colère est l’expression d’une faiblesse. Elle est la preuve que vous n’avez plus rien à dire, que vous ne savez pas vous exprimer sans vous emporter. La colère d’autrui lui arrache un sentiment de satisfaction.

S’il y a bien une chose que lui a appris son père, c’est l’importance de la famille. J’entends famille au sens large : la famille de sang et les proches. La famille est un cadre, une base qui donne les repères, qui nous rappelle d’où l’on vient et ce que nous sommes. Respecter son père et sa mère, Victoria sait ce que veulent dire ces notions. Alors que certains ados faisaient leur crise pour se démarquer, la brune vivaient fièrement dans ce microcosme. Elle a toujours eu le sentiment d’appartenir à quelque chose de grand. Ce petit monde avec à sa tête le bon père aimant, prompt à rendre des services et disposant sa bienveillance à ceux qui en ont besoin.

Victoria aurait pu faire de la politique si elle s’y intéressait. Elle a bien conscience que le monde est pourri jusqu’à la moelle. Elle sait combien l’Homme ne sait rien faire d’autre que la guerre. Elle est au courant des injustices, de la misère et de la peur. Mais Victora regarde le monde de ses yeux cyniques et stoïciens, presque fatalistes. Elle ne veut pas changer le monde. A quoi bon ? C’est la vie. Les gens comme moi qui veulent agir pour rendre le monde meilleur ne sont pour elle, au mieux que des naïfs et au pire des abrutis. Non contente de ne pas vouloir éradiquer la corruption, la rapace veut sa part du gâteau.  

Car malgré son amabilité, Victoria sait que tout s’achète, même une respectabilité. Elle n’est pas dupe, elle sait bien que l’empire immobilier de son père n’est que la face visible de l’iceberg. Elle sait que ce n’est qu’une façade. Le vernis légal qui camoufle les activités moins avouables. Parce que lorsque vous êtes la fille du chef d’un cartel du sud du Mexique, vous pouvez feindre l’innocence, mais pas l’ignorance.

Le diable existe, mais il n’a ni cornes pointues ni queue fourchue. Le diable est ordinaire, il revêt les costumes des politiciens et se cache derrière les sourires bienveillants. Une main qui se tend vers vous, vous aide quand vous en avez besoin. Vous voilà intégré à la famille, mais souvenez-vous : quand vous faites un pacte avec le diable, il vient toujours récupérer son dû. Le diable a les allures douces de Victoria. Elle qui n’a pas les mains sales, mais qui cautionne tacitement le business de son père. Elle qui consciente des injustices, glorifie la loi du plus fort. Elle qui fière de son clan, se sent intouchable. Victoria est un rouage passif de la corruption et c’est bien en cela qu’elle est diabolique.

Oui, le diable est cruellement ordinaire. Il prend les traits de cette jeune fille aimable. Il peut tomber amoureux et pleurer. Il aime le rock, cuisine divinement bien et tue le temps en regardant des youtubeurs et des vidéos de chatons mignons. Le diable se mêle à vous et vous ne le reconnaissez pas. Vous vous liez d’amitié avec lui.

Mais le pire, c’est que le diable lui-même n’a pas conscience de l’être.


Oh, et en plus...


• Féministe : elle trouve qu'il n'y a pas assez de femmes, haut gradées ou non, dans le cartel de son père.
• Si elle est insensible aux malheurs des Hommes, elle abhorre la violence contre les animaux.  
• Elle a un côté un peu boute-en-train et de l'humour.
• Il lui arrive d'apprécier un cigare en solo avec un bon café sans sucre.
• Elle aime les licornes.





Every life begins with a breath


Votre humble narratrice se nomme Isobela Cruz et mon histoire, intimement liée à celle de Victoria, commence là où s’arrête celle de mon père quand j’avais 14 ans. Je suppose que c’est l’éternelle même histoire. Celle dont on devine la fin, assurément mauvaise, après cinq minutes de film. Vous faites partie des faibles, votre commerce profite de la protection de votre bon samaritain. Vous fermez les yeux et vendez votre âme pour faire vivre votre famille, jusqu’au jour fatidique où vous ne pouvez plus verser le tribut. Grand seigneur, votre doux protecteur se contente de vous briser quelques os pour rappeler la dette et voyant qu’elle ne peut finalement pas être soldé, vous ôte la vie. A Acapulco, il n’y a pas que les catastrophes climatiques qui tuent. Il y a les de Acosta.

Bientôt, la tristesse se change en colère qui se change en désir de vengeance. La maladie m’avait pris ma mère et la corruption venait de prendre mon père. Une adolescence qui se termine brusquement, j’entame logiquement une vie que mon père ne me souhaitait pas : celle de voleuse, dealeuse, qu’importe. Me faisant appeler dorénavant Maria, tout le monde avait oublié l’histoire de mon père. Pas moi. Mon seul objectif était de parvenir à travailler pour ses bourreaux pour mieux les faire tomber. Stupide ? Oh, moi-même je ne dirai pas mieux.

J’ai roulé ma bosse et de simple pion, j’ai gravi les échelons de la pourriture pour parvenir à régulièrement faire des passages dans l’antre du mal : une villa bien trop blanche pour être sincère. C’est ce jour que j’ai vu Victoria pour la première fois. Celui où je suis rentré faire mon rapport sur l’état du trafic de drogues de je-ne-sais-plus-quel-quartier. Elle était confortablement lovée sur son transat, sereine.

Peut-être piquée par la curiosité, je me suis prise à glaner quelques informations. Après tout, c’était la première fois que je voyais le grand patron et son entourage proche et pas seulement les sous-sbires. Je pense que ce qui m’a le plus frappé est le mode de vie de cette famille. Voir Pedro, sa femme Natalia et sa fille Victoria, vivre comme si de rien n’était. Comme si régner sur un cartel était un métier normal. C’était le triste spectacle de l’échec d’une politique gouvernementale inefficace. Les cartels sont le cancer du Mexique et si quelques réseaux sont tombés, d’autres subsistent avec ruse et corruption.

C’est ainsi que j’ai découvert qu’on pouvait vendre des armes et montrer à qui veut bien les voir des photos de sa fille quand elle était petite. Scène surréaliste qui serait touchante si les figurants n’étaient pas le parrain et ses truands. La famille est sacrée, on la protège à la vie, à la mort. J’ai donc appris que cette drôle de famille avait apporté le quota d’amour nécessaire à leur progéniture. Victoria n’a jamais manqué de rien et a été choyée comme tout enfant unique qui se respecte.

En même temps, à quoi m’attendais-je ? A ce que je tombe sur une famille d’affreux vampires capitalistes suçant le sang de leurs victimes ? Peut-être que cela aurait été plus facile à avaler. L’on pourrait croire qu’il s’agit d’une famille riche lambda et que la couverture immobilière est le reflet de la réalité. Chez les de Acosta, on ne parle pas business à table. C’est mal poli ! Surtout qu’entre raffinement à la française et cuisine traditionnelle, les diners sont une vraie institution. Tout le monde sait, mais personne ne dit rien.

Le repas terminé, les domestiques débarrassent quand le père s’enferme dans son bureau pour causer affaires douteuses et la fille dans sa chambre pour surfer sur FB tout en faisant ses devoirs. La vie de Victoria était finalement assez classique, partagée entre le lycée, les amis et la sacrosainte famille. Elle était excellente dans les matières économiques, de gestions et les maths. Travailleuse, mais pas trop non plus, elle savait gérer son temps pour que les cours ne lui prennent pas sa vie et ne perdait jamais une occasion de faire la fête comme toutes les filles de son âge. La différence mise à part que toutes les filles de son âge n’ont pas forcément quelques gros bras pour veiller sur elle du coin de l’œil !

Étant l’une des rares femmes de l’organisation, Victoria ne mit évidemment pas longtemps avant de me repérer. J’étais plus vielle, mais la différence n’était pas des plus flagrantes, la maffieuse en herbe se comportait donc avec moi comme elle se comportait avec d’autres jeunes. J’ai honte de l’avouer, mais je la trouvais parfois sympathique, dans mes moments de faiblesse où j’oubliais de qui elle était la fille. Alors je me fourvoyais un peu, peut-être n’était-elle pas au courant de tout. Douce illusion ! Je ne savais pas sur quel pied danser. Mettez-vous à ma place, je m’attendais à tomber sur des monstres et en face de moi se tenait une fille aux joues rondes qui se sentait obligé de me tenir au courant des séries qu’elle regardait. Quelle graine de killeuse !

Pourtant, les chats ne font pas chiens. Entre Under the Dome et une séance de cuisine, Victoria s’adonne à son sport fétiche : le tir. Certes, sur cible papier, mais cela me rappelait que malgré tout, la jeune brunette restait une de Acosta. Une piqure de rappel peut parfois faire du bien et aider à garder la distance. Un incident, bien loin de la vie banale d’une jeune fille, se produisit un soir. Preuve s’il y en avait encore besoin que malgré les apparences, elle est bien membre d’une famille de truands… avec leurs rivaux. Rivaux de l’état voisin qui, pour rappeler au de Acosta leur existence, crurent bon de déclencher une fusillade dans un bar possédé par un proche de la famille. Victoria s’y trouvait. Contre toutes attentes, j’ai poussé un soupir de soulagement en apprenant qu’elle n’avait rien eu.

Je me suis longtemps voulu de la proximité que j’avais avec elle, la fille de mon ennemi. Le responsable de la mort de mon père. Certes, ce n’est pas lui qui avait appuyé sur la détente, mais il était the big boss. Je pensais naïvement que le faire sauter ferait chanceler son empire et par conséquent me rendrait justice quand la Justice est impuissante. Pendant ce temps, aux yeux de Victoria, je faisais partie de la famille. Une famille dans laquelle la trahison n’a pas sa place.

Quand nous discutions d’autres choses que de ses activités, j’étais stupéfaite de constater que le regard de Victoria sur le monde était incroyablement cynique. Nous partions du même constat, à savoir que la société est corrompue, mais quand moi je suis habité par un fort sentiment de justice, Victoria ne s’illustrait que par son fatalisme et sa rapacité. Impossible, selon elle, de changer les choses. Le monde est ainsi fait. Au lieu de perdre sa vie en de vains idéaux de justice, il fallait mieux l’employer à en profiter pour réussir. En somme, devenir un rapace dans ce monde de rapaces pour éviter d’en être la proie. La mort que pouvait causer une arme vendue par les bons soins du trafic familiale ne l’émouvait pas. Ce n’est pas l’arme qui tue, disait-elle, mais l’homme qui la tient. En revanche, un chat abandonné sur la chaussé et c’était le drame. Aujourd’hui encore, je ne sais pas si je dois m’en attrister ou me révolter de son incapacité à discerner le Bien et le Mal. J’imagine que son milieu social l’avait conditionné comme telle. Peut-être aurait-elle été différente dans un autre contexte.

La fin d’année approchait et bientôt Victoria devait quitter son lycée privé pour les bancs de la fac. Elle souhaitait étudier l'économie – pour mieux la corrompre, je présume ! Elle comme son père voulait qu’elle réussisse, ne serait-ce que pour coller aux mensonges de famille parfaite bien loin de la réalité des trafics. C’est en toute logique que son choix s’est porté sur une université anglaise, que je ne connaissais alors pas, la Millenium University. La demoiselle aurait préféré une université plus proche, mais ses dents qui rayaient déjà le parquet la convainquirent de faire ce sacrifice pour choisir la crème de la crème. Et je ne doute pas que cette université apporterait un aura supplémentaire de respectabilité sur le CV de la demoiselle.  

Peu avant son départ, j’ai craqué. Je ne parvenais plus à faire semblant. Je ne supportais plus de voir tout ce petit monde agir comme si tout était normal. Il y a bien longtemps que mes espoirs que Victoria ne sache rien s’étaient envolés. Il n’y avait rien à sauver chez personne. Qu’ils soient un membre actif du réseau ou simple membre passif telle que Victoria, tous étaient pourris. Pas un pour rattraper l’autre. Cette villa était possédée par le diable. Mais je ne suis pas une héroïne Marvel. Dans la vraie vie, ce ne sont pas les gentils qui gagnent – si seulement j’étais encore une gentille à ce stade. Dans la vraie vie, les bras droits vous tabassent alors que vous avez à peine eu le temps de sortir votre gun pour dézinguer le chef. Vous n’avez pas le temps de franchir la porte du boss final que vous êtes déjà au sol dans une flaque de votre propre sang, des côtes en moins. Victoria a raison, dans la vraie vie, les gentils sont tous cons et naïfs.

Alors que je suis maintenant dans un sous-sol, attaché à une chaise, je pense qu’avant de clamser, c’est le regard de Victoria qui restera gravé dans ma mémoire même dans la mort. Un regard mêlant tristesse et déception. Le regard dur, elle m’a tourné le dos. Je vrais crever Vic’, mais la vérité, c’est que t’en a rien à foutre. Hein, Vic’, t’en a rien à foutre… C’est toi le diable et pourtant c’est moi que tu as regardé comme une coupable. Vois les beaux adieux que tu m’offres !

Mais devais-je seulement attendre autre chose de toi ? Étrangement, je crois bien que j’attendais quelque chose, oui.


***


La tête haute et digne, je tourne les talons en faisant fi de l’entourage. J’adresse qu’un vague signe de main à mon père avant de m’engouffrer dans l’escalier pour joindre ma chambre. Je referme la porte derrière moi. C’est bon. Je suis au calme. Seule. Je m’effondre contre la porte en fondant de pleures. C’est trop. J’en peux plus. Une question revient sans cesse. Elle me scie la tête. Pourquoi ? Après tout ce qu’on a vécu, tu me plantes un couteau dans le dos. Voilà donc le beau cadeau que tu me fais la veille de mon départ !

Peut-être. Peut-être que je me berçais d’illusions.


***


L’histoire, pour ménager les lecteurs, ne dit pas de quelle manière finit Isobela. Victoria partit le lendemain pour Londres, le cœur lourd, où elle obtint trois ans plus tard sa licence.  Aujourd’hui, la jeune femme poursuit son cursus en master et a récemment obtenu un stage dans la très prestigieuse Banque d'Angleterre.


Big Browser is watching you


∵ Pseudo : Zechs ∵ Âge 23 ans ∵ Comment avez-vous connu le forum ? Par une merveilleuse personne qui se reconnaitra ! ♥ ∵ Code du règlement Code happé par Clé.~ (Mais non !) ∵ Un dernier mot pour la fin ? Mot

©Riva


Xander Winchester
Xander Winchester
Chef de gang
Date d'inscription : 29/09/2015
Messages : 383
Age (du personnage) : 30 ans
Orientation sexuelle : Hétérosexuel
Etudes/Métier : Chef de gang
Pounds : 4354
Jeu 8 Oct - 18:01
Bienvenue ici !
S. Cartwright El'Hocine
S. Cartwright El'Hocine
Musicien des rues
Date d'inscription : 18/09/2015
Messages : 129
Age (du personnage) : 25 ans.
Orientation sexuelle : Guitarophile.
Etudes/Métier : Musicien des rues + caissier à une supérette de quartier de 16h à 20h, quatre jours de la semaine.
Pounds : 966
Jeu 8 Oct - 18:46
Hey bienvenue lovely !

Ohoh j'adore ton gif pour commencer, mais genre, VRAIMENT. J'ai hâte de voir ce que va donner ta fiche ! Bon courage, & n'hésites pas si tu as des questions ! :yipee:
avatar
Invité
Invité
Jeu 8 Oct - 19:51
Bienvenue Miss! ♥️

Bon courage pour ta fiche, n'hésites pas si tu as des questions! :veryhappy:
avatar
Invité
Invité
Jeu 8 Oct - 20:00
Bienvenue à toiiii ! *w* J'aime tellement ton avatar... C'est... Je sais pas, j'aime /PAN/ (Il me rappelle aussi Amy Pond, comme celui de Sinead, du coup ça parle à ma Whovian intérieure... :B)

Bon courage pour finir ta fiche ! :love:
avatar
Invité
Invité
Jeu 8 Oct - 20:33
Coucou toi.
Je sais que je suis merveilleuse.
Merci. ♥
Courage pour ta fiche.
Hâte de voir ce que tu vas nous faire !
Tysha K. Reed
Tysha K. Reed
Sophomore
Date d'inscription : 08/09/2015
Messages : 2122
Age (du personnage) : 17 ans
Orientation sexuelle : Ace.
Etudes/Métier : Lycéenne.
Pounds : 10737
Jeu 8 Oct - 20:48
... Cette image de vava est juste splendide, my love.
Bienvenue.

J'ai hâte de découvrir Victoria, vraiment hâte.
Même si, je l'avoue, je pige rien à l'économie estudiantile.
avatar
Invité
Invité
Jeu 8 Oct - 21:33
WELCOME! **
Cet avataaaar ilsrhtgldrjgltdj ♥
avatar
Invité
Invité
Jeu 8 Oct - 21:43
J'over like le gif de ta présentation.
Le livre de la viiie ! ♥♥♥

Bienvenue sur le forum et bonne chance pour ta fiche !
Aria L. Cathrew
Aria L. Cathrew
Étudiant en informatique
Date d'inscription : 05/09/2015
Messages : 84
Age (du personnage) : 24 ans.
Orientation sexuelle : Pansexuel.
Etudes/Métier : 1ère année de master informatique.
Pounds : 981
Ven 9 Oct - 7:40
Bienvenuuuue ! Oh que le gif est trop bien. ** J'ai hate de voir la suite de ta fichouille ! Bon courage ! :3
avatar
Invité
Invité
Ven 9 Oct - 14:15
Roh, vous êtes cuties, merciiii ! ♥

Pour le gif, j'avoue l'avoir pris au pif, je ne connais pas du tout ce film ! xD Je voulais simplement quelque chose qui rappelle le Mexique. Pour l'avatar, si vous connaissez pas l'auteur, allez voir ses créations, c'est juste... waouh ! **

Avec un peu de chance, je termine aujourd'hui ! ~

P.S. : Abbey... ♥
June Marshall
June Marshall
Patissière
Date d'inscription : 04/10/2015
Messages : 226
Age (du personnage) : 24 ans
Orientation sexuelle : Hétérosexuelle
Etudes/Métier : Pâtissière - Chocolatière
Pounds : 1421
Ven 9 Oct - 20:31
Bienvenuuuuuue belle rousse C: Bon courage pour le reste de ta fiche ♥
avatar
Invité
Invité
Sam 10 Oct - 19:26
Elle est censée être brune, mais c'est vrai que l'avatar fait rousse !
Merci encore une fois ! ♥

J'en profite pour dire que c'est bien tout pourri terminé ! \o/ Si quelque chose ne va pas, dites le moi ! ~
S. Cartwright El'Hocine
S. Cartwright El'Hocine
Musicien des rues
Date d'inscription : 18/09/2015
Messages : 129
Age (du personnage) : 25 ans.
Orientation sexuelle : Guitarophile.
Etudes/Métier : Musicien des rues + caissier à une supérette de quartier de 16h à 20h, quatre jours de la semaine.
Pounds : 966
Dim 11 Oct - 12:56

Validation
Oh my. OH MY. Voilà, c'est tout ce que j'ai à dire. Quelle femme, cette Isabela. Je l'adore, ej dosi dire, et c'est bien dommage que l'on ne sache pas comment elle a terminé. Mais je suppose qu'un peu de suspens, ça fait du bien. En tout cas, j'adore comment tu écris !

Bref, tu es validé ! Maintenant que tu as ta couleur et ton rang, tu vas pouvoir t'acquitter de tâches administratives ! (Youhou, Ô joie !)

♙ Aller recenser ton avatar ;
♙ Créer ta fiche de relations ;
♙ Demander un rp ;
♙ Demander un logement ;
♙ Créer ton téléphone et ton Twitter si tu le souhaites.

Bon jeu à toi et surtout : HAVE FUN !
©Riva
avatar
Invité
Invité
Dim 11 Oct - 14:26
Merciiiiiiiii ! ♥

(Par contre, je suis étudiante en économie, pas en droit. /PAN/)
S. Cartwright El'Hocine
S. Cartwright El'Hocine
Musicien des rues
Date d'inscription : 18/09/2015
Messages : 129
Age (du personnage) : 25 ans.
Orientation sexuelle : Guitarophile.
Etudes/Métier : Musicien des rues + caissier à une supérette de quartier de 16h à 20h, quatre jours de la semaine.
Pounds : 966
Dim 11 Oct - 16:03
Non mais shame on me en fait, tue-moi, fouette-moi, voilà. En ce moment j'ai du mal avec les rangs, ça se voit que j'ai besoin de faire une pause mon dieu.

En tout cas, problème réglé, merci de l'avoir signalé !
Contenu sponsorisé
Page 1 sur 1

 Sujets similaires

-
» Acapulco, ton univers impitoyable ♥ Victoria de Acosta
» Portable de Victoria
» +44 xxx xxx Call me later or leave a message
» leave out all the rest ; i'm so scared. α ft Sidé. {Terminé}
» whatever causes night in our souls may leave stars ; morgan

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Millenium :: Zone de détente :: Archives :: Fiches membres supprimés-