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Je suis heureuse à cet instant de seulement te regarder - Prima Ortie ♥ [100%]

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Invité
Invité
Mar 6 Sep - 4:07


PRIMA O. CONSTANTINE
NOM : Constantine
PRÉNOMS : Prima Ortie
ÂGE : Vingt ans
SEXE : Féminin
NATIONALITÉ : Française
ORIENTATION SEXUELLE: Bisexuelle
SITUATION AMOUREUSE : En concubinage avec Zachary M. Nymphalidae ♥
GROUPE : Etudiant
ANNÉE / MÉTIER : L1 en Droit international
OPTION(S) : Sociologie & Psychologie
AVATAR : Mayu de Vocaloid
IN REAL LIFE
PSEUDO : Zula
ÂGE : 21 ans
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PETIT MOT : Amour sur vous ♥
CODE : ♕ codé mnomnom par Sidé. ❤️ ♕

PHYSIQUE / MENTAL

Appuyée contre la fenêtre. Réfléchie. Perdue. Peut-on dire qu'elle est belle alors que son regard distant se pose sur la rue qu'elle ne connaît pas ? Elle semble ailleurs, elle semble venir d'un autre monde. Elle n'est pourtant jamais distante, personne n'aurait jamais dû la voir comme ça.

En société Prima se tient droite, bien, elle sourit continuellement et elle est emplit de bonnes manières. Elle n'est jamais brusque, contrôle tout ses mouvements et sait paraître parfaite en tout circonstance. Mais tout cela n'est qu'un énorme mensonge.

Regardez-là maintenant. Observez-là et voyez ses noisettes vides de toutes émotions. Elle n'est plus là. Elle est partie et enfin transparaît sa souffrance que personne ne connaît.

Avachie contre la vitre, elle se croit seule alors elle entortille quelques unes de ses mèches blondes et bien ordonnées entre son petit majeur blanc comme la neige. Sa bouche pleine, rougeoyante, tremble alors que ses cils noirs et épais se ferment sur ses douces pupilles. Quelques larmes roulent le long de ses joues blanches et rondes avant d'aller découvrir son cou laiteux où trône un collier de chien symbolisant son appartenance à Zachary.

Son corps est faible, emplit de cicatrices cachées par des vêtements de bonne factures. Beaucoup de robes, de bonnets, de chemises et de chaussures plates à bout rond. Des vêtements de tulles, parfois colorés, ceux d'une petite fille qui ne sait pas bien s'habiller.

Elle porte à ses oreilles et à ses poignets des multitudes de bijoux qu'elle se fabrique seule. Ils ne sont pas forcément beaux, ils ne sont pas forcements bien construit mais elle tient à eux comme à la prunelle de ses yeux.

Rien de plus à décrire sauf peut-être la peluche, changeante en fonction des journées, qu'elle serre de sa main libre. Aujourd'hui une ourse polaire en robe de ballerine en tulle verte. Elle aime les peluches, cela la rassure grandement.

Prima Ortie n'est pas forcément belle. Elle est cette fleur blanche entourée de feuilles irritantes. Elle est admirable de loin mais rien ne sert de s'approcher, rien ne sert de la découvrir réellement sinon seule l'errance transparaîtra et finalement tout cela est bien décevant.


…......................

Souffrance : peut être le meilleur qualificatif pour une enfant tel que Prima.
Tourment continu, caché, perdu, attentionné. Douleur intrinsèque, indiscutable, imperturbable. Que dire de plus ? Que comprendre du deuil ? De la perte ? Que savoir de l'affliction constante qui reste bloqué, inhérente à un être tout entier ? Rien. Peut être le néant.

Et puis vint l'espoir. Si humaine, si stupide. Toujours de l'espoir en l'humanité, en la société, dans son amour de l'autre. Rendre extraordinaire ce qui ne l'est pas avec un regard bien trop enfantin sur le monde. Ne pas comprendre ce qu'il se passe, ce qui coexiste dans notre part de l'Univers. Et que pourrait-elle faire ? Comment pourrait-elle avancer alors que jamais elle ne c'est occupé d'elle toute seule ? Encore de la force et beaucoup de solitude. Encore de la force mais heureusement que Zachary est là. Heureusement qu'il sera toujours là.

Prima est stupide, larmoyante, peureuse. Elle comprend si peu ce qui se passe autours d'elle que bon nombre de gens pourraient juste jouer avec elle sans la moindre honte. Et pourquoi devraient-ils en avoir ? Profité de la faiblesse ? Profité de la stupidité ? Ce n'est pas comme si c'était de leur faute. Plutôt de la sienne qui est offerte sur un plateau doré. Seulement de la sienne qui n'a jamais su s'endurcir et discerner le vrai du faux.

Naturelle, jusqu'au dernier degré, presque mais pas toujours. Étrangement Prima est capable du mensonge, de la destruction, de la souffrance, de taper là où ça fait mal. Peut être parce qu'elle l'a trop connue. Capacité de briser en mille morceaux quelqu'un, simplement pour se punir elle même. Simplement pour se rendre un peu plus malheureuse, coupable.

Car Prima n'est pas capable d'être heureuse. Elle ne sait pas comment faire, elle ne le comprend pas. Elle à toujours l'impression de se noyer dans une marré de vase, de s’étouffer, de s'enfoncer un peu plus et de ne jamais pouvoir sortir la tête de l'eau. Elle ne se souvient pas l'avoir été, elle ne se souvient pas réussir à découvrir cette parcelle de joie qui anime les autres êtres vivants. De temps en temps, pourtant, sans qu'elle ne s'en rende compte elle découvre cela avec Zachary. Car Zachary la protège, car Zachary l'aime, car Zachary lui apporte tout ce qu'elle ne pourrait jamais avoir seule. Il est l'amour de sa vie, naturellement, il est ce qui la définie, ce qui la conduit, ce qui l'anime. Il est la chose la plus importante dans l'intégralité de son existence.

Il est là et elle est là.

Il est la seule chose qu'elle ne pourra jamais abandonner alors que sur le chemin, amis, famille sont disséminés. Elle abandonne tout, elle brise tout, mais pas lui. Non. Lui est sa lumière. Lui est son espoir.

Mais que dire de plus ? Que dire de plus seulement sur Prima. Qu'elle est intelligente ? Qu'elle est cultivée ? Grandement. Elle apprend tout, assouvie un besoin de connaissance presque infatigable avant de tout archiver, de tout pénétrer dans son cerveau ensevelie sous les dossiers. Connaissances qui ne lui servent à rien, qui ne lui permette pas de réussir une vie convenable.

Prima est aussi altruiste. Elle veut faire le bien pour rendre le monde plus beau. Pour apporter la joie qui lui manque à l'intégralité des êtres vivants de cette planète. Elle veut un monde doucereux, enfantin, d'une vision impossible d'une fille qui à été trop protégée, trop enfermée.

C'est peut être pour ça qu'elle à peur mais aussi pour ça qu'elle ne perd pas la foi, l'espoir, la confiance, qu'importe le nom qu'on lui donne. Peut être pour ça qu'elle continue à avancer comme une grande fille qui veut rendre fière Zachary. Lui montrer qu'elle peut y arriver, lui montrer qu'elle sera toujours là à ses côtés et que jamais, jamais, il n'ose penser à l'abandonner.

Prima est peu de choses. Prima est une enfant perdue, errante, qui est incapable d'avancer convenablement. Elle est forte, parfois, elle tient à la vie sans trop savoir pourquoi. Elle ne s'est jamais tuée, elle n'a jamais abandonné mais Prima est fatiguée. Tellement fatiguée.

Peut être qu'un jour Prima sera heureuse. Peut être que maintenant que tout est laissé de côté elle réussira avec Zachary là où l'intégralité de sa vie a échoué.


HISTOIRE
Il y eu d'abord le bip, incessant, des machines qui engourdit l'âme. Le bip continuel et les regards en coins, appuyés, alors que la première vrai goulée d'air frais était prise. Après il y eu cette impression d'être plongé dans du coton, ensevelie, endormie. Les mouvements impossibles mais la main qui se serre contre la sienne. Ensuite... Ensuite vint lentement, douloureusement, des paupières qui s'ouvrent pour dévoiler deux noisettes embrumés et quelques cris qu'on garde, qu'on retient pour ne pas effrayer la pauvre chose allongée. Et puis on se serre contre elle, on se presse, on l'embrasse. Et elle, si jeune, si douce, si brisée Prima, qui tente de comprendre, de remettre en cause des souvenirs qu'on lui interdit d'avoir réellement.

Au début elle ne se souvient pas, au début elle ne comprend pas. Elle en met du temps avant de reconnaître le moindre visage. Celui de sa sœur, Rose, qui serre contre elle le bras de leur père, Marc. Ensuite, lentement, transcendante, sa mère qui lui tient la main, qui caresse sa joue, Alice, si imperceptiblement fausse, si désunie avec le reste de sa famille. Et dans le fond... Dans le fond quel est donc cet homme ? Un visage si fin, si beau, si important. Mais pas de nom. Il ne leur ressemble pas, il ne fait pas partie de la famille elle en est certaine. Mais il est plus, il est plus important que tout le reste du monde. Il est le centre de son univers. Mais le nom ne vient pas et puis la panique, les larmes, le souffle court et le corps qu'on tente de lever. Sans succès, quelques pas et la voilà au sol, en larmes, tandis que sa famille tente de la rattraper. Elle tend la main vers l'homme qui bien vite la serre dans ses bras. Et enfin son odeur, et enfin son souffle contre sa peau et des mots qui la rassurent.

« Zachary ? Zachary... »

…......................

Aussi loin qu'elle s'en souvienne, aussi loin qu'elle puisse remonter, chacun des moments importants de sa courte vie se sont déroulé en Octobre. Chaque joie, chaque tristesse, chaque rencontre. Zachary fut le seul à échapper à la règle, intransigeant dans l'anormalité pour Prima, il n'en resta pas moins la seule chose qu'elle ne pouvait garder de son existence. Ce fut donc en plein mois de décembre, ensevelie sous la neige, qu'il croisa son regard. Seule, perdue, tremblante, il l'a choisie et sans lui laisser le choix il se pencha vers elle pour lui murmurer quelques mots à l'oreille. Pas besoin de plus, pas besoin d'explication, l'évidence était là. Et inexorablement, profondément, transpercée en plein cœur la pauvre enfant se retrouva amoureuse. Autant que lui. Le jeu était joué, les dés lançaient, les voilà liés pour l'éternité.

Quinze ans. Trop jeune pour lui. Incompréhension dans le clan Constantine. Une si bonne famille, une enfant promise à de grandes choses et la voilà irrémédiablement amoureuse d'un de « ces types de quartiers ». Bien trop vieux d'autant plus. On cherche à les séparer, on cherche à la protéger, mais c'est trop tard. Elle quitte tout, elle fugue pour se retrouver chez lui. La honte s'abat sur la famille, on ne cherche plus à récupérer celle qui a bien trop déçu et qui se retrouve maintenant répudier. Bien trop vite Prima se retrouve seule.

Au début elle croit trouver la liberté. Elle croit abandonner la peur de la déception, la perfection, les contraintes bien trop durs à supporter. Au départ elle croit pouvoir avancer. Mais Zachary l'enferme, elle finit par suivre des cours par correspondances, elle ne voit plus personne. Plus personne sauf lui qui la garde sous cloche constamment. Ensuite vint le temps des premières sortis. Les rencontres brutales avec le monde de la rue qu'elle ne peut pas comprendre, pas connaître. Prima est trop douce, trop sage, trop gentille pour saisir la violence, l'honneur, le respect. Trop jeune pour accepter la prostitution, les combats de rues, les trafics en tout genres. Alors Prima plonge, alors Prima se bloque et lentement elle perd la parole. Lentement elle le suit partout. Elle perd de sa saveur et de sa non compréhension sort la souffrance, l'isolement, l'inconsistance. Prima n'est plus. Prima s'éteint aux yeux des autres et seul Zachary, juste Zachary ne compte pour elle. Il est le centre de son monde, son soleil, son univers. Et elle l'aime. Il l'aime aussi. A en crever. A en perdre tout sens des réalités. Ils s'aiment à en sombrer, à s'en noyer. Ils s'aiment d'un amour brutale, véritable, indissociable, imperturbable.

…......................

Au bout de deux semaines elle arrive à manger seule. Une première victoire, mais toujours pas de pas l'un devant l'autre. Toujours pas de consistance propre et le regard perdue dans les vagues elle recherche doucement la flamme de ses souvenirs. Pourtant rien ne vint, aucun murmure qui ne puisse la guider et seule la voix de Zachary, seules ses explications, persistent. Il n'y a pas vraiment de détail, pas vraiment d'annotation. Seule la désobéissance dont elle aurait fait preuve perpétue, existe, hurle dans son existence. Elle fut brisée, frappée, séquestrée, violée tout ça parce qu'elle avait osée sortir sans lui. Tout ça parce que le monde était juste fondamentalement mauvais. Maintenant il faudrait tout approfondir, maintenant il faudrait d'autant plus lui interdire l'extérieur, la surveiller, l'enfermer avec des chaînes et des portes blindés.

Et innocemment elle y croit. Stupidement elle admet sa propre faute et accepte le tout sans rechigner, sans chercher à en savoir plus. Une nouvelle coupure avec sa famille, un nouvel abandon et de l'incompréhension encore plus poussé. La voilà qui part de l'hôpital, elle retourne chez Zachary et plus une seule fois elle ne sort en dehors des limites bien précise de leur chambre et de la salle de bain. Par peur, par amour, par stupidité, par naïveté. Plus rien à faire et seules les pensées, la souffrance, la douleur, hantent leur appartement alors qu'inlassablement elle reste assise. Alors qu'elle reste à ses côtés, alors qu'elle l'entend lui parler. Mais elle ne répond plus, mais muette, elle attend que le temps passe et elle perd toute notion du temps et de l'espace. Seule sa main contre la sienne, seule son souffle dans son cou lui permet encore d'exister. L'amour. Seulement l'amour et rien d'autre ne pouvait survivre à pareille perdurance.

…......................

Ce jour là elle eu besoin de sortir, sans réel raison, peut être par défi. Une dispute trop violente, un désir de liberté inavoué et sans la moindre concessions Prima était déjà dehors entrain de parcourir les rues clairs de Paris. Quelques pas, quelques minutes inlassables de pur bonheur avant que rapidement, violemment, elle se fit arrêter. Un groupe jalousant la place de Zachary, un cauchemar qui se lance, et enfin la véritable souffrance.

Dix-neufs jours. Dix-neufs jours de douleur incessante avant qu'il ne la récupère enfin. Dix-neuf jours où elle auraient dû mourir, où une force incongrue, inconnue, la tient en vie. La rassura, l'approfondit, la fit exister. Et dans la douleur, et dans la perte, et dans son âme qui s'envolait seul le visage de Zachary subsistait, seule sa voix, son souffle, les battements de son corps n'existait. Et elle attendue, courageusement, elle tient jusqu'à ce qu'il ne la récupère enfin avant de s'effondrer, avant de sombrer totalement.

…......................

Elle le regarde, interdite, les joues blanches, les lèvres tremblantes. Quelques larmes qui roulent contre son cou et le silence qui perdure. Elle n'arrive pas à parler, elle n'arrive plus à s'expliquer. Le déchirement est trop grand, la colère la submerge alors qu'elle s'approche encore un peu plus. Quelques centimètres de son être tout entier, elle sent sa chaleur, son pouls, son corps qui s'accélère. Elle à peur, peur de tout briser, de tout perdre. Pourtant elle doit le faire, elle ne peut plus garder ça pour elle.  

« Vous m'avez menti. »

Furent les premiers mots qu'elle prononça depuis de ses longs mois. Sa voix déraille, la brûle et comme une blessure indélébile elle fond d'autant plus en larmes.

« J'avais confiance en vous, en votre jugement... Mais vous m'avez menti. Vous... »

Alors il se rapproche à son tour, il glisse pour remonter sa main contre sa joue. Caressant son grain, séchant ses larmes, il tente de la rassurer, de la faire se calmer. Mais c'est trop tard, mais le cocktail est trop explosif. Elle hurle, elle se déchaîne, elle frappe dans son torse alors qu'il l'enserre de ses bras. Quelques insultes et puis elle tombe au sol, et puis elle s'effondre tout bonnement et dans une léthargie totale elle se laisse porter jusqu'à leur lit. Où il s'occupe d'elle, il la berce, il lui dit qu'il l'aime, inlassablement. Elle finit par s'endormir, elle finit par lâcher prise totalement.

« Je veux partir. »

Furent les premiers mots qu'elle prononça à son réveil, la voix encore endormie mais les yeux bien ouvert tandis qu'elle trônait dans ses bras. Elle avait du mal à construire de véritables phrases, mais elle devait se concentrer, elle ne devait pas perdre tout son courage maintenant.

« Vous m'aviez dis que le monde était mauvais. Vous m'aviez dit que je ne pouvais vivre dehors, que je devais être enfermé... Mais... Vous aviez tord, mais vous m'avez menti... Eux... Ca... C'est de votre faute. »

Elle se relève doucement, elle l'observe et elle s'approche de son visage. Elle souffle un peu contre son cou alors qu'elle se penche un peu plus et qu'enfin elle l'embrasse tendrement.

«  Je vous aime Maître et je sais que c'est partagée alors maintenant il faut m'écouter. »

Elle déglutit difficilement, mais il faut tenir, il faut juste le faire. Enfin.

« Je veux partir de cette ville. Je veux même changer de pays, on fuit, on n'existe plus pour personne. Et là bas... N'importe où je m'en moque... Mais de là bas je veux être libre. Je veux avoir une vie normale Maître. »

Elle l'observe, elle ne dit rien de plus et lentement elle se détache. Elle part contre la fenêtre et elle observe l'extérieur, silencieuse.

« On partira. On partira ensemble, loin de tout ça. Je t’emmènerai ailleurs pour vivre une nouvelle vie… Mais tu ne peux vivre une vie normale… Le monde extérieur est bien trop sombre et moche pour que tu puisses y survivre seule. Il existe bien trop de mal en chaque personne pour que je puisse leur accorder assez de confiance pour te confier à eux. Je ne peux te permettre d’être totalement libre Prima. Tu le sais parfaitement, ce monde n’est pas fait pour toi. »

Alors elle se retourne enfin. Elle l'observe. Elle ne dit plus rien et lentement, comme un animal blessé mais fort elle finit par venir à ses côtés, par se blottir dans ses bras en tremblant.

« J'aurais une vie normale. »

…......................

Alors ils partirent pour Londres, simplement, abandonnant derrière eux la France et sa ville Lumière. Prima fini par s'inscrire à Millenium, un choix de Zachary bien évidemment qui trouvait dedans une facilité déconcertante à sa surveillance. Elle choisit de faire du Droit internationale, de la Sociologie et de la Psychologie pour s'ouvrir au monde, le comprendre et pour faire respecter son sens exacerbé de la justice et du devoir.
E. Sidé Carell
E. Sidé Carell
Etudiant en linguistique
Date d'inscription : 17/05/2016
Messages : 243
Age (du personnage) : 20 YO
Orientation sexuelle : HOMOSEXUEL
Etudes/Métier : LINGUISTIQUE - LANGUES ANCIENNES
Pounds : 2101
Mar 6 Sep - 6:44
Coucou jolie toi, bienvenue ici. :friend:
J'aime trooop ton pseudo omg avec celui de Zach, vous avez le swag héhé.
Anyway, si t'as des questions ou quoi que ce, n'hésite surtout pas et bon courage pour le reste de ta fiche. :love:
Tysha K. Reed
Tysha K. Reed
Sophomore
Date d'inscription : 08/09/2015
Messages : 2122
Age (du personnage) : 17 ans
Orientation sexuelle : Ace.
Etudes/Métier : Lycéenne.
Pounds : 10737
Mar 6 Sep - 8:12
... Ton pseudo meuf. I love you already. Toi et Zaza, vous gérez sur ce point.
Et de ce que j'ai pu lire de ton histoire... t'as un beautiful style d'écriture, sweetie.

Bienvenue ici, sweetie. ~
J'ai vraiment hâte de lire ta fiche en entier, fufufu... ♥
Alec L. Turner
Alec L. Turner
étudiant en photographie
Date d'inscription : 03/08/2016
Messages : 37
Age (du personnage) : dix-huit ans.
Orientation sexuelle : inconnue à ce jour.
Etudes/Métier : étudiant en photographie.
Pounds : 915
Mar 6 Sep - 12:44
Hello lovely !

J'aime beaucoup ton avatar, huhu. Hâte devoir le reste de la fiche, bon courage ! :yipee:
avatar
Invité
Invité
Mar 6 Sep - 15:54
Bienvenue, oui c'est la deuxième fois. T'es très bienvenue ! ♥
Kiseki Nakajima
Kiseki Nakajima
Éducateur de jeunes enfants
Date d'inscription : 18/06/2016
Messages : 213
Pounds : 1219
Mar 6 Sep - 18:40
Hello little toi ! (Ouais c'est du franglais et alors?)

Bienvenue ici ! J'espère que tu te plairas parmi nous ! Tu verras on est gentils (un peu cons parfois mais gentils dans le fond, ça compense !)
N'hésite pas si tu as des souci, love sur toi !
avatar
Invité
Invité
Mer 7 Sep - 17:08
Sidé chéri > Merci, ton pseudo aussi à trop la classe ! ** ♥

Catherina sweetheart > Déjà je viens de m'avaler l'intégralité de ta fiche et j'ai grandement envie de te faire des bisous partout ! Ensuite, merci et puis et puis j'espère que ma fiche ne te décevras pas o/

Sexy Alec > Merci ♥

Mickey d'amour > Toujours pas OK pour des coups de fouets ? ;) Sinon merci ♥

Kiseki BG > Huhu j'ai vu ça mais je vous aime déjà ! Ah et merci ♥

All > Bon voilà j'ai enfin fini le monstre, plein de fautes je suis désolée d'avance ! Espérons que tout conviendra ! o/
Arthur Gardner
Arthur Gardner
Étudiant en art
Date d'inscription : 11/09/2015
Messages : 93
Age (du personnage) : 21 ans
Orientation sexuelle : Bi sûrement
Etudes/Métier : Arts Plastiques
Pounds : 1151
Mer 7 Sep - 18:09


VALIDATION
AHHH JESUS C'EST TRISTE.

Sa vie est triste, je suis triste. Mais c'était super plaisant à lire ! T'es validé no problemo señorita ! En espérant que tu retrouves la joie ;w;

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